Il a appelé à une conférence d’unité nationale pour la souveraineté et la légitimité. Tandis que le Chef du Mouvement de la Société pour la Paix (MSP) estime que la révision de la constitution n’est pas une nécessité puisqu’il y en a déjà une qui est excellente.
Dans une émission sur la chaîne satellitaire Elhiwar, Abassi Madani a indiqué qu’il appréciait le travail du Président de la République jusqu’à présent, surtout pour ce qui est de la révision de la constitution.
Il est allé à qualifier de projet de « grande initiative » car il instaure les fondements d’un Etat de souveraineté, de liberté et de justice qui combat l’injustice. Il a critiqué le maintient de l’Etat d’urgence le considérant comme étant une loi de honte et de force.
Il a indiqué que « l’ère de la dictature est finie, le régime doit revenir à la justice et le pouvoir doit résoudre les erreurs du passé, le problème est politique et la solution ne doit être que politique et se faire à l’amiable ».
De son côté le Chef du MSP a préféré ne pas parler du retour au travail politique du parti dissous (FIS) pour le moment et donner le temps à la période de convalescence pour calmer les esprits. Il a déclaré « la priorité est le travail et la sécurité et le jour du droit politique viendra ». Dans le même contexte, il a ajouté « la franchise avant la réconciliation ne nous serait pas bénéfique, le plus urgent est d’éteindre le feu et chercher par la suite l’origine de l’incendie ».
Dans une question autour de l’importance de la révision de la constitution, Abudjerra a indiqué que la révision n’était pas dans les priorités, il a justifié cette position par le fait que l’actuelle était excellente et que le citoyen Algérien avait besoin qu’on s’intéresse à lui. Il a ajouté que le fait de compléter le processus de réconciliation permettrait de retrouver le rôle de l’Algérie sur le plan régional et international en donnant la priorité à la culture de la paix et des valeurs islamiques.
M. Salhi — El-Khabar
Dans une émission sur la chaîne satellitaire Elhiwar, Abassi Madani a indiqué qu’il appréciait le travail du Président de la République jusqu’à présent, surtout pour ce qui est de la révision de la constitution.
Il est allé à qualifier de projet de « grande initiative » car il instaure les fondements d’un Etat de souveraineté, de liberté et de justice qui combat l’injustice. Il a critiqué le maintient de l’Etat d’urgence le considérant comme étant une loi de honte et de force.
Il a indiqué que « l’ère de la dictature est finie, le régime doit revenir à la justice et le pouvoir doit résoudre les erreurs du passé, le problème est politique et la solution ne doit être que politique et se faire à l’amiable ».
De son côté le Chef du MSP a préféré ne pas parler du retour au travail politique du parti dissous (FIS) pour le moment et donner le temps à la période de convalescence pour calmer les esprits. Il a déclaré « la priorité est le travail et la sécurité et le jour du droit politique viendra ». Dans le même contexte, il a ajouté « la franchise avant la réconciliation ne nous serait pas bénéfique, le plus urgent est d’éteindre le feu et chercher par la suite l’origine de l’incendie ».
Dans une question autour de l’importance de la révision de la constitution, Abudjerra a indiqué que la révision n’était pas dans les priorités, il a justifié cette position par le fait que l’actuelle était excellente et que le citoyen Algérien avait besoin qu’on s’intéresse à lui. Il a ajouté que le fait de compléter le processus de réconciliation permettrait de retrouver le rôle de l’Algérie sur le plan régional et international en donnant la priorité à la culture de la paix et des valeurs islamiques.
M. Salhi — El-Khabar
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