Ce sont huit figures très représentatives des écritures de ce pays, toutes identités et tous sexes confondus, qui nous accompagnent au cours d’un vagabondage littéraire dépaysant et qui inspirent ces quelques notes et réflexions sur le genre de l’écriture et surtout sur celui de la lecture : Isabelle Eberhardt (1877-1904), Albert Camus (1913-1960), Kateb Yacine (1929- 1989), Leïla Sebbar (1940), Rachid Mimouni (1945-1995), Rabah Belamri (1946-1995), Malika Mokeddem (1949) et Maïssa Bey (1950).
Christiane Chaulet Achour
est professeure de littérature comparée et francophone à l’université de Cergy-Pontoise. Elle a publié de nombreuses études sur la question du féminin/masculin dans l’écriture. En 1998, elle publiait, Noûn, Algériennes
dans l’écriture (Biarritz, Atlantica) ; elle a co-dirigé avec Françoise Moulin-Civil, en 2010, Le féminin des écrivaines-Suds et périphéries (Amiens, Encrage édition). Voir son site : http/www.christianeachour.net.