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Abdelmalek Sellal à Jijel : «Nous sommes sur un volcan»

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  • Abdelmalek Sellal à Jijel : «Nous sommes sur un volcan»

    Intervenant devant les représentants de la société civile, jeudi dernier, lors de la visite qui l’a conduit dans plusieurs communes de la wilaya de Jijel, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé à partir de la salle de conférences de la cité administrative, que «nous sommes sur un volcan», en évoquant les soubresauts qui caractérisent la région avec le «printemps ou l’hiver arabe», s’interrogera-t-il, ainsi que la situation aux frontières du pays.


    Il révèlera que certains pays ont voulu que l’Algérie assume un rôle de force régionale, chose, ajoutera-t-il, qui a été rejetée. Et de préciser que l’Algérie «ne s’ingère pas dans les affaires des autres pays» et qu’elle n’a pas de leçon à donner. Refutant le burnous de leadership régional, le Premier ministre a souligné que l’Algérie «prône l’apaisement et nullement l’embrasement». Il insistera sur l’importance de la stabilité, après les difficiles moments traversés par le pays et la politique menée pour satisfaire en premier lieu le citoyen, en dépit du fait qu’il montre parfois sa colère, «et il a raison», indiquera-t-il. Il ne manquera pas, par ailleurs, d’aviser que l’Algérie a les moyens de faire face à toute tentative visant sa stabilité et sa sécurité, mais précisera qu’«on n’utilisera pas la force contre nos enfants».
    M. Sellal reviendra sur la prochaine tripartite prévue en septembre prochain qu’il préfère qualifier de «rencontre économique» destinée à donner un sens au discours récurrent relatif à l’économie hors hydrocarbures et trouver la bonne voie pour la construction d’une économie forte. La rente pétrolière, dira-t-il, ne nous mènera pas vers un avenir radieux, ajoutant que la distinction passe par le travail. Il évoquera à ce propos l’éventualité de créer un fonds national destiné à l’investissement privé, comme cela a été fait pour le secteur public. Le défi d’aujourd’hui est dans la capacité d’exporter plus. «C’est cela notre politique», conclura-t-il.


    Fodil S. le 17.08.13 | 10h00 el watan
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    bla bla bla jusqu'à demain ya monsieur le premier ministre

    faites la sourde oreille en faisant diversion sur le mali, le maroc et l'eternel amendement à la constitution en dépensant tout l'argent à droite et à gauche

    c'est curieux quand même cette amnésie totale à propos du grave problème du logement, ton volcan s'appelle logement et un jour des hordes de sans abris vont errer dans les rues avec leurs enfants.

    depuis toujours, l'algérien est le seul etre humain sur cette planète qui passe sa vie à chercher un toit comme un misérable, c'est un sans abri dans son propre pays toute sa vie, personne n'est bien logé dans ce pays, je me demande si ce n'est pas une clause des accords d'évian de clochardiser le peuple espèce de harkas, c'est une action en profondeur qui détruit l'algérien et l'empêche de penser à autre chose.

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    • #3
      Intervenant devant les représentants de la société civile

      Une "société civile" qui écoute impassible un représentant d'une dictature lui parler du printemps arabe chez les autres et lui avouer cinquante après l’indépendance que l’Algérie est sur un volcan et que

      " La rente pétrolière, dira-t-il, ne nous mènera pas vers un avenir radieux"

      Il faut oser le dire !!

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      • #4
        Envoyé par serpico
        Une "société civile" qui écoute impassible un représentant d'une dictature lui parler du printemps arabe chez les autres et lui avouer cinquante après l’indépendance que l’Algérie est sur un volcan
        T'es un vrai ch'mata toi. T'as même pas honte de t'occuper d'un pays qui ne te fait pas vivre pour s'intéresser à ton pays qui t'a fait fuir.

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