Les Grandes Lignes de Sont Discours
- Si Dieu le Très-Haut a réservé à chaque pays sa part de biens et de ressources, Il a gratifié le nôtre d’une richesse renouvelable, en l’occurrence nos ressources humaines. Il s’agit, au premier chef, de notre jeunesse ambitieuse, imprégnée d’amour pour sa patrie, fière de ses traditions séculaires, nantie d’une éducation saine.
- comment se fait-il qu’une frange de notre jeunesse n’arrive pas à réaliser ses aspirations légitimes aux niveaux professionnel, matériel et social ?
- En effet, et nonobstant les efforts louables fournis par les cadres universitaires, celles-ci ne devraient pas constituer des usines à chômeurs, surtout dans certaines spécialités dépassées.
- les travaux manuels et les professions techniques, dans leur acception la plus large, doivent être réhabilités. Il faut être fier de les pratiquer et de les maîtriser, comme le préconise, en substance, le Hadith de Notre aïeul, le Prophète Sidna Mohammed-Paix et salut sur Lui- : nul n’a jamais mangé meilleur aliment que celui provenant du travail de sa main .
- C’est pourquoi de nombreux européens affluent vers le Maroc pour travailler dans ce secteur prometteur, et livrent même une concurrence à la main d’œuvre marocaine opérant dans ces créneaux.
- Pour toutes ces considérations, le gouvernement actuel aurait dû capitaliser les acquis positifs cumulés dans le secteur de l’éducation et de la formation, d’autant plus qu’il s’agit d’un chantier déterminant s’étendant sur plusieurs décennies.
En effet, il n’est pas raisonnable que tous les cinq ans, chaque nouveau gouvernement arrive avec un nouveau plan, faisant l’impasse sur les plans antérieurs, alors qu’il ne pourra pas exécuter le sien intégralement, au vu de la courte durée de son mandat.
- Prendre le parti d’énoncer ce diagnostic sur la réalité de l’éducation et de la formation dans notre pays, peut sembler fort et sévère, mais cette démarche émane en toute sincérité et en toute responsabilité du cœur d’un père qui, comme tous les parents, porte l’affection la plus tendre à ses enfants.
- Si ton Serviteur ne vit pas les difficultés sociales ou matérielles que connaissent certaines catégories de la population, cher peuple, il n’en reste pas moins que nous partageons tous les mêmes préoccupations concernant l’enseignement dispensé à nos enfants, et les mêmes problèmes affectant notre système éducatif, d’autant plus que nos petits suivent les mêmes programmes et les mêmes cursus.
Ce qui est important dans ce domaine, ce n’est ni l’argent ni la filiation, ni l’appartenance sociale, mais plutôt la conscience vive qui anime chacun de nous et la sincérité de son patriotisme et de son attachement aux intérêts supérieurs de la nation.
A l’époque où Ton Premier Serviteur était Prince Héritier, Il suivait ses études selon les programmes et les cursus de l’école publique marocaine, puis ceux de la Faculté de droit de l’Université Mohammed V.
Si le Collège Royal dispose des moyens nécessaires pour appuyer ces programmes, ce n’est pas le cas, hélas, pour toutes les écoles publiques.
Quoi qu’il en soit, ces programmes ont permis de former des générations de cadres nationaux.
Néanmoins, il est navrant de voir que la situation actuelle de l’enseignement s’est dégradée encore davantage, par rapport à ce qu’elle était il y a plus d’une vingtaine d’années.
- La franchise de Mon propos, cher peuple, tient à la charge suprême qui M’échoit d’assumer ta direction. En effet, ton Premier Serviteur n’est affilié à aucun parti et ne participe à aucune élection. Le seul parti auquel Je suis fier d’appartenir, Grâces en soient rendues à Dieu, c’est bien le Maroc.
- En outre, les Marocains sont tous égaux pour Moi, sans distinction aucune, et indépendamment de leurs différences de situation et d’appartenance. Par conséquent, il n’y a point de distinction entre un président de banque et un chômeur, un pilote de ligne, un agriculteur ou un ministre. Ce sont tous des citoyens, ayant les mêmes droits et les mêmes obligations.
- En revanche, il faut renoncer à la polémique stérile et détestable qui n’est d’aucune utilité, si ce n’est le règlement de comptes étriqués et la pratique de l’injure et de la calomnie. La stigmatisation des individus ne contribue pas à régler les problèmes, mais plutôt à les exacerber.
- Si Dieu le Très-Haut a réservé à chaque pays sa part de biens et de ressources, Il a gratifié le nôtre d’une richesse renouvelable, en l’occurrence nos ressources humaines. Il s’agit, au premier chef, de notre jeunesse ambitieuse, imprégnée d’amour pour sa patrie, fière de ses traditions séculaires, nantie d’une éducation saine.
- comment se fait-il qu’une frange de notre jeunesse n’arrive pas à réaliser ses aspirations légitimes aux niveaux professionnel, matériel et social ?
- En effet, et nonobstant les efforts louables fournis par les cadres universitaires, celles-ci ne devraient pas constituer des usines à chômeurs, surtout dans certaines spécialités dépassées.
- les travaux manuels et les professions techniques, dans leur acception la plus large, doivent être réhabilités. Il faut être fier de les pratiquer et de les maîtriser, comme le préconise, en substance, le Hadith de Notre aïeul, le Prophète Sidna Mohammed-Paix et salut sur Lui- : nul n’a jamais mangé meilleur aliment que celui provenant du travail de sa main .
- C’est pourquoi de nombreux européens affluent vers le Maroc pour travailler dans ce secteur prometteur, et livrent même une concurrence à la main d’œuvre marocaine opérant dans ces créneaux.
- Pour toutes ces considérations, le gouvernement actuel aurait dû capitaliser les acquis positifs cumulés dans le secteur de l’éducation et de la formation, d’autant plus qu’il s’agit d’un chantier déterminant s’étendant sur plusieurs décennies.
En effet, il n’est pas raisonnable que tous les cinq ans, chaque nouveau gouvernement arrive avec un nouveau plan, faisant l’impasse sur les plans antérieurs, alors qu’il ne pourra pas exécuter le sien intégralement, au vu de la courte durée de son mandat.
- Prendre le parti d’énoncer ce diagnostic sur la réalité de l’éducation et de la formation dans notre pays, peut sembler fort et sévère, mais cette démarche émane en toute sincérité et en toute responsabilité du cœur d’un père qui, comme tous les parents, porte l’affection la plus tendre à ses enfants.
- Si ton Serviteur ne vit pas les difficultés sociales ou matérielles que connaissent certaines catégories de la population, cher peuple, il n’en reste pas moins que nous partageons tous les mêmes préoccupations concernant l’enseignement dispensé à nos enfants, et les mêmes problèmes affectant notre système éducatif, d’autant plus que nos petits suivent les mêmes programmes et les mêmes cursus.
Ce qui est important dans ce domaine, ce n’est ni l’argent ni la filiation, ni l’appartenance sociale, mais plutôt la conscience vive qui anime chacun de nous et la sincérité de son patriotisme et de son attachement aux intérêts supérieurs de la nation.
A l’époque où Ton Premier Serviteur était Prince Héritier, Il suivait ses études selon les programmes et les cursus de l’école publique marocaine, puis ceux de la Faculté de droit de l’Université Mohammed V.
Si le Collège Royal dispose des moyens nécessaires pour appuyer ces programmes, ce n’est pas le cas, hélas, pour toutes les écoles publiques.
Quoi qu’il en soit, ces programmes ont permis de former des générations de cadres nationaux.
Néanmoins, il est navrant de voir que la situation actuelle de l’enseignement s’est dégradée encore davantage, par rapport à ce qu’elle était il y a plus d’une vingtaine d’années.
- La franchise de Mon propos, cher peuple, tient à la charge suprême qui M’échoit d’assumer ta direction. En effet, ton Premier Serviteur n’est affilié à aucun parti et ne participe à aucune élection. Le seul parti auquel Je suis fier d’appartenir, Grâces en soient rendues à Dieu, c’est bien le Maroc.
- En outre, les Marocains sont tous égaux pour Moi, sans distinction aucune, et indépendamment de leurs différences de situation et d’appartenance. Par conséquent, il n’y a point de distinction entre un président de banque et un chômeur, un pilote de ligne, un agriculteur ou un ministre. Ce sont tous des citoyens, ayant les mêmes droits et les mêmes obligations.
- En revanche, il faut renoncer à la polémique stérile et détestable qui n’est d’aucune utilité, si ce n’est le règlement de comptes étriqués et la pratique de l’injure et de la calomnie. La stigmatisation des individus ne contribue pas à régler les problèmes, mais plutôt à les exacerber.
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