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    Secret d'Etat : Israël et le Maroc dans le secteur des armes.






    Rabat entend inciter la diaspora juive d’origine marocaine à revenir au pays pour s’y installer et faire du business dans l’offshoring, le textile, l’électronique, l’aéronautique, l’automobile, les biotechnologies ou les nanotechnologies.
    Slate (Copyrights) : "Une note du gouvernement israélien soulève la question d’un rapprochement dans les domaines des technologies de pointe: «La Silicon Valley marocaine devra se référer au modèle israélien qui a fait ses preuves, en nouant de réels partenariats entre les universités et les industriels».
    L’armement au cœur des affaires
    C’est dans le militaire que cette «normalisation passive» est la plus discrète. Fait rarissime pour un pays arabe, Rabat a opté pour des achats militaires auprès de l’industrie d’armement israélienne. Le sujet est tellement sensible que les deux pays en font un secret d’État.
    Selon IsraelValley, le site officiel de la chambre de commerce France Israël, l’entreprise publique Israël Military Industries (IMI) a conclu avec Lockheed Martin un accord très juteux portant sur la fourniture de certains équipements et composants électroniques pour les deux escadrilles d’avions F-16 achetés par le Maroc aux États-Unis.
    Le contrat est évalué à plus de 100 millions de dollars et porte sur la fourniture de matériel de navigation, de transmission et des réservoirs de kérosène permettant à ces appareils de se ravitailler en vol. Israël est le 5e exportateur d’armements dans le monde, mais il est très rare qu’il contribue directement à des contrats de vente d’armes à un pays arabe.
    L’armée marocaine a déjà été équipée par la technologie et le matériel des équipementiers israéliens, notamment pour des blindés légers de l’armée de terre ou du matériel électronique qui équipe le mur du Sahara, la ligne de défense édifiée par l’armée royale pour empêcher les incursions des séparatistes du Front Polisario. Ces transactions passaient généralement par des intermédiaires en Afrique du Sud du temps d’Hassan II.
    Le Centre de coopération internationale dépendant du ministère israélien des Affaires étrangères, le Mashav, est souvent le moyen efficace pour conclure des marchés. Les technologies de télécommunication, en plein boom sur le continent, sont également un marché porteur. La société israélienne Alvarion, leader mondial du Wimax prospecte au Maroc. Mais cette haute technologie se déploie aussi dans le monde secret de la surveillance: experts militaires, spécialistes des écoutes téléphoniques, informaticiens, spécialistes des liaisons satellites se concertent et collaborent en secret.
    Autre domaine dans lequel les Israéliens s’illustrent avec succès: le commerce de minerais et de pierres précieuses. Le leader mondial du diamant poli, Israël Diamond Institute, serait un grand fournisseur des joailleries locales".
    Source: Slate

  • #2
    La société israélienne Alvarion, leader mondial du Wimax prospecte au Maroc.
    Seulement .......

    WiMax : Alvarion en redressement judiciaire, des réseaux français touchés ?
    zdnet.


    WIMAX : FIN DE PARTIE POUR L’ISRAÉLIEN ALVARION ?
    .itespresso
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

    Commentaire


    • #3
      Toujours la meme hypocrisie !!!



      Les tentatives de pénétration d’Israël en Algérie se font plus « soft » : petits pas et grandes manœuvre

      Mon Journal a déjà consacré plusieurs articles aux actions du Mossad sur le territoire algérien, collectant des informations à partir de son antenne tunisienne et recrutant des agents dans le pays. Depuis quelques jours, des chewing-gums israéliens sont vendus clandestinement dans l’Est du pays. Les services de police algériens ont confisqué une grande quantité de cette marchandise et ouvert une enquête.
      La normalisation des relations entre l’Algérie et Israël n’a cessé, durant ces quinze dernières années, de soulever la polémique. La main d’Abdelaziz Bouteflika, à peine arrivé à la tête de l’Etat, serrant celle du Premier ministre israélien, Ehud Barak, lors des obsèques du roi du Maroc Hassan II en juillet 1999, a été abondamment commentée par la presse internationale et généralement interprétée comme un signe de détente entre les deux pays qui n’entretiennent officiellement aucune relation. Devant le tollé que ce geste de courtoisie a soulevé, le chef de l’Etat a invoqué le verset 86 de la sourate 4 « Lorsqu’un salut vous est adressé, rendez le de façon plus courtoise, mais rendez-le de toute façon » pour dire, d’une part, qu’il s’est plié à une obligation coranique, et, d’autre part, que le geste avait d’abord été fait par le Premier ministre d’Israël.
      De nouveau, le président de la République soulève la tempête, lors de la visite qu’il effectue en France en juin 2000, rencontrant, sans y être contraint par le protocole, le président du Conseil représentatif des institutions juives de France, Henri Hadjenberg, et invitant le chanteur juif originaire de Constantine, Enrico Macias, à venir chanter en Algérie. Le tollé suscité dans certains milieux de la « classe politique », notamment au sein du FLN, a fait renoncer Abdelaziz Bouteflika à son invitation publiquement lancée.
      Se croyant, sans doute, autorisé à franchir un plus grand pas, à moins qu’ils n’aient reçu le feu vert des autorités algériennes, vers « la normalisation », des journalistes et des universitaires algériens se rendent à Tel-Aviv et Jérusalem où ils sont reçus par le ministre israélien des Affaires étrangères, David Lévy, un juif sépharade du Maroc. Selon un membre de cette délégation, les autorités algériennes n’avaient dressé aucun obstacle à cette visite qu’il avait analysée comme un changement d’orientation diplomatique de l’Algérie à l’égard d’Israël. La réaction de Abdelaziz Bouteflika à cette visite fut immédiate et virulente, la qualifiant de « trahison ».
      Pourtant, moins de quatre mois après, le journal israélien Yédiot Aharonot révélait que le chef de l’Etat algérien avait rencontré, le 22 octobre, Shimon Pérès, alors ministre de la Coopération régionale, et Shlomo Ben Ami, ministre de la Sécurité intérieure, au cours du forum de Formentor, à Palma de Majorque. Dans l’interview qu’il a donné à ce journal israélien de centre-droit, Abdelaziz Bouteflika affirmait sa disposition à coopérer avec Israël sur le plan économique. De son côté, le journal français Le Monde rapportait qu’une « délégation israélienne de haut niveau » avait séjourné en Algérie du 15 au 25 octobre 2000.
      La voie avait déjà été ouverte par l’actuelle ministre de la Culture, Khalida Toumi, qui, la première, a transgressé, au milieu des années 90, alors que l’Algérie était à feu et à sang, ce tabou, en se rendant à Jérusalem pour dénoncer « le terrorisme islamiste », au moment où le Hamas palestinien avait intensifié ses attentats suicides.
      Une bombe explose en décembre 2010 lorsque WikiLeaks publie ses câbles sur la diplomatie algérienne, dévoilant les propos de l’ambassadeur d’Algérie en Suisse, Driss Djarairi, qui ont provoqué un scandale dans les réseaux sociaux pour avoir proposé de « se rendre disponible pour les Israéliens » dans les discussions sur le processus de paix au Proche Orient et le désarmement de l’Iran.
      Depuis quelques mois, le Mossad a réactivé ses réseaux au Maghreb et intensifié ses actions en direction, notamment, de l’Algérie, à partir de sa base de Tunis que dirige Jalboagh Nachman, collectant des informations et recrutant des agents.
      La curieuse affaire des Chewing Gum israéliens entrés, selon toute vraisemblance, de la frontière Est du pays, malgré les contrôles jugés draconiens pour des raisons de « terrorisme », est une nouvelle démonstration, après celles, notamment, des médicaments et des vêtements pour femmes que les produits israéliens entrent, sans entrave, en Algérie.
      Brahim Younessi

      Commentaire


      • #4
        l état voyou , que les magouilles ???

        La main d’Abdelaziz Bouteflika, à peine arrivé à la tête de l’Etat, serrant celle du Premier ministre israélien, Ehud Barak, lors des obsèques du roi du Maroc Hassan II en juillet 1999,
        .

        @Serpico
        Si t avait un peu de dignité relit ce qui suit : la magouille préparée
        Ehud Barak au Maroc lors des obsèques du roi du Maroc Hassan II ?? ,
        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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