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Tourisme : Une nouvelle formule vient d’être lancée en Algérie
Les hauts lieux de l’histoire de l’Algérie sont appelés à devenir, dans un avenir plus ou moins proche, des destinations touristiques.
Mieux que ça, les parcours des héros de la révolution algérienne de l’Emir Abdelkader à Abane en passant par Cheikh Belhaddad, El-Mokrani, lalla Fatma N’soumer et d’autres seront revisités. C’est du moins, ce que suggère la nouvelle politique du secrétariat d’État chargé du tourisme. En visite de travail et d’inspection, mardi, dans la wilaya de Béjaïa, le secrétaire d’État chargé du tourisme, M. Mohamed Lamine Hadj Saïd a indiqué que son département a lancé une nouvelle formule de tourisme dite historique. « Il s’agit, concrètement de revisiter les parcours des héros de l’Algérie de l’Emir Abdelkader à Abane Ramdane, le colonel Amirouche en passant par El Mokrani, Lalla Fatma N’soumer et d’autres », a-t-il dit, en rappelant que la première initiative sur les traces de l’Emir Abdelkader fut lancée dernièrement dans la wilaya de Mascara. Il a souligné au passage que son département travaille pour que le tourisme en Algérie ait comme socle « notre histoire et notre culture plusieurs fois millénaires », et même, a-t-il poursuivi, « de booster le secteur ». Dans cette optique, une étude d’extension du musée d’Ifri est en phase d’élaboration. « Le secrétariat d’État, chargé du tourisme, est en train d’élaborer des schémas directeurs touristiques à travers l’ensemble du territoire national », a-t-il encore indiqué. Ces schémas, a-t-il détaillé, sont censés servir d’outils pour la promotion, le développement et la mise sur pied d’une véritable industrie touristique en Algérie. Ainsi, des pôles touristiques, à l’image du musée d’Ifri Ouzellaguen, la Kalâa d’Ath Abbas (armurerie d’El-Mokrani), les massifs de l’Akfadou (PC de la wilaya III historique) devraient être créés pour valoriser le patrimoine historique de ces régions. Il est à relever, par ailleurs, que l’un de ces pôles, le mausolée de Cheikh Belhaddad à Seddouk Oufella est depuis un certain temps à l’abandon. Qu’en sera-t-il des futurs pôles ?
Trente-huit millions d’estivants à l’échelle nationale depuis le début de l’été
Trente-huit millions d’estivants se sont rendus sur les plages et complexes touristiques à l’échelle nationale depuis le début de la saison estivale de l’année en cours, a annoncé par ailleurs M. Mohamed Amine Hadj Said, en marge de cette visite à Béjaïa. « Ce nombre d’estivants est très positif en comparaison de l’année dernière », a déclaré M. Hadj Said à l’issue de sa visite au musée Ifri du congrès de la Soummam à Béjaïa, appelant à « l’amélioration de la qualité des prestations touristiques pour attirer un nombre plus important de visiteurs ». Il a précisé à ce propos, que cet objectif ne sera réalisé qu’à travers le renforcement de l’investissement et la réalisation de nouvelles structures d’accueil en adéquation avec les exigences des familles algériennes outre la gestion des plages par des investisseurs spécialisés. Concernant l’augmentations des tarifs des structures d’hébergement, le secrétaire d’État chargé du tourisme, a imputé cela au « recul de l’offre par rapport à la demande élevée », insistant sur la nécessité d’encourager l’investissement privé et public et le renforcement de la concurrence réelle.
D. S. et APS- la dépêche de kabylie
Les hauts lieux de l’histoire de l’Algérie sont appelés à devenir, dans un avenir plus ou moins proche, des destinations touristiques.
Mieux que ça, les parcours des héros de la révolution algérienne de l’Emir Abdelkader à Abane en passant par Cheikh Belhaddad, El-Mokrani, lalla Fatma N’soumer et d’autres seront revisités. C’est du moins, ce que suggère la nouvelle politique du secrétariat d’État chargé du tourisme. En visite de travail et d’inspection, mardi, dans la wilaya de Béjaïa, le secrétaire d’État chargé du tourisme, M. Mohamed Lamine Hadj Saïd a indiqué que son département a lancé une nouvelle formule de tourisme dite historique. « Il s’agit, concrètement de revisiter les parcours des héros de l’Algérie de l’Emir Abdelkader à Abane Ramdane, le colonel Amirouche en passant par El Mokrani, Lalla Fatma N’soumer et d’autres », a-t-il dit, en rappelant que la première initiative sur les traces de l’Emir Abdelkader fut lancée dernièrement dans la wilaya de Mascara. Il a souligné au passage que son département travaille pour que le tourisme en Algérie ait comme socle « notre histoire et notre culture plusieurs fois millénaires », et même, a-t-il poursuivi, « de booster le secteur ». Dans cette optique, une étude d’extension du musée d’Ifri est en phase d’élaboration. « Le secrétariat d’État, chargé du tourisme, est en train d’élaborer des schémas directeurs touristiques à travers l’ensemble du territoire national », a-t-il encore indiqué. Ces schémas, a-t-il détaillé, sont censés servir d’outils pour la promotion, le développement et la mise sur pied d’une véritable industrie touristique en Algérie. Ainsi, des pôles touristiques, à l’image du musée d’Ifri Ouzellaguen, la Kalâa d’Ath Abbas (armurerie d’El-Mokrani), les massifs de l’Akfadou (PC de la wilaya III historique) devraient être créés pour valoriser le patrimoine historique de ces régions. Il est à relever, par ailleurs, que l’un de ces pôles, le mausolée de Cheikh Belhaddad à Seddouk Oufella est depuis un certain temps à l’abandon. Qu’en sera-t-il des futurs pôles ?
Trente-huit millions d’estivants à l’échelle nationale depuis le début de l’été
Trente-huit millions d’estivants se sont rendus sur les plages et complexes touristiques à l’échelle nationale depuis le début de la saison estivale de l’année en cours, a annoncé par ailleurs M. Mohamed Amine Hadj Said, en marge de cette visite à Béjaïa. « Ce nombre d’estivants est très positif en comparaison de l’année dernière », a déclaré M. Hadj Said à l’issue de sa visite au musée Ifri du congrès de la Soummam à Béjaïa, appelant à « l’amélioration de la qualité des prestations touristiques pour attirer un nombre plus important de visiteurs ». Il a précisé à ce propos, que cet objectif ne sera réalisé qu’à travers le renforcement de l’investissement et la réalisation de nouvelles structures d’accueil en adéquation avec les exigences des familles algériennes outre la gestion des plages par des investisseurs spécialisés. Concernant l’augmentations des tarifs des structures d’hébergement, le secrétaire d’État chargé du tourisme, a imputé cela au « recul de l’offre par rapport à la demande élevée », insistant sur la nécessité d’encourager l’investissement privé et public et le renforcement de la concurrence réelle.
D. S. et APS- la dépêche de kabylie