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Le CPA intéresse le crédit agricole français

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  • Le CPA intéresse le crédit agricole français

    Son capital sera ouvert prochainement, le CPA intéresse le crédit agricole français

    Georges Pauget, le DG de la banque française Crédit agricole (CA), est arrivé, hier à Alger, pour rencontrer le ministre des Finances en vue de soumettre une offre pour une participation au capital du CPA.
    La visite de ce responsable du Crédit agricole (CA), qui est présent en Algérie à travers sa filiale Calyon, intervient une année après la relance du processus de privatisation du Crédit populaire d’Algérie (CPA), date qui coïncide avec l'ouverture (en septembre 2005) des plis des offres techniques en vue du recrutement d'une banque d'affaires pour accompagner la banque publique dans l'opération. Une mission qui a été décrochée par le consortium Rothschild France qui devra trouver acquéreur (à hauteur de 51%). Le ministre des Finances avait assuré que l'opération de privatisation du CPA “finira vers la fin de l’année 2006 ou, au plus tard, au début 2007”.
    L’ouverture des plis de l’offre d’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie CPA est attendue vers la fin du mois de décembre prochain avant la signature de la transaction prévue en février 2007. Il faut savoir que le Crédit agricole est l’une des quelque 40 banques étrangères qui ont manifesté un intérêt à l’appel d’offres et à l’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie. Après l’échec, en 2001, du rachat du CPA par la Société générale, un bon nombre de banques françaises ont manifesté leur intérêt pour l'ouverture du capital du CPA. Il s’agit notamment du Crédit industriel et commercial (CIC), de la BNP Paribas et du Groupe Banque populaire (présent en Algérie par sa filiale Natexis. Il est à signaler que le CPA détient 12% du marché bancaire algérien. Le capital social de cette banque publique, qui emploie environ 2 500 salariés, a été augmenté, en 2005, à 21,6 milliards de DA. Le CPA avait conclu un accord avec la Société financière internationale (SFI, filiale de la Banque mondiale) pour assainir ses comptes et ses créances.


    - Liberté

  • #2
    Bonne chose. Le futur repreneur de la CPA fera certainement du ménage : personnel en surplus dont beaucoup non qualifié, remise à niveau de l’infrastructure …
    Dernière modification par shadok, 10 septembre 2006, 14h02.
    Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

    Commentaire


    • #3
      vivement la privatisation de la CPA et de toute les autres banques publiques algerienne y'en a marre des profiteurs et des voteurs qui vole des milliards sans etre jamais arréter nchallah l'air des gros ventre sera révolu bientot.
      salam

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