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IL était une fois...

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  • IL était une fois...

    IL était une fois

    Deux amoureux et un océan

    Deux malheureux et un horizon

    S’aimant malgré les distances

    Purement noblement en silence

    Les deux âmes s’imbriquèrent

    L’un l’autre s’envahissait

    Tout en douceur.



    LUI, grand et doux

    ELLE, lésée et malheureuse

    Y trouve refuge

    Prise par l’assaut de dépendance

    S’enrage et revendique d’avantage

    Sa présence comme une gamine capricieuse

    Dans une brume d’égoïsme

    Déboussolée perd le nord

    Le blesse… et se blesse

    Pleure leurs blessures.



    LUI pardonne ELLE ?

    LUI, please oh please pardonne ELLE

    auteur inconnu

  • #2
    très beau et très touchant. merci

    Commentaire


    • #3
      Très jolie, Virginie....tu me rappelles quelqu'un!!!
      «On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux» Extrait du livre "Le Petit Prince"

      Commentaire


      • #4
        merci, même s'il n'est pas de moi...

        Je suis curieuse de savoir qui je te rappelle Ferouse

        Commentaire


        • #5
          Chut!!!! je te le dirai par MP, ma belle.
          «On ne voit bien qu’avec le coeur. L’essentiel est invisible pour les yeux» Extrait du livre "Le Petit Prince"

          Commentaire


          • #6
            @ virgnie très beau, plein de sensibilité

            Est ce que je suis plus proche
            De la mort que de ton corps ?
            Mon coeur soupir, souffle d'amour
            Tu es mon ultime secours
            Viens prendre mon âme
            Elle te réclame

            Tu n'entends pas ?
            Les oiseaux chantent nos louanges
            La fantaisie de nos désirs
            On créé un lac de passion
            Riche de reflets

            Impudique et érotique
            Viens, viens prendre mon âme
            Elle te réclame
            Les oiseaux chantent nos louanges
            Caprice du destin ?
            Je n'en crois rien

            Le corps où habite mon âme
            M'étouffe serrée par l'étoffe
            mon sang bouillonne
            Trop rigide, trop droit
            Pour mon âme exaltée

            Chair en peril...
            Abondance des sens...
            Duel perpétuel
            Splendeur est la vie !

            Opulente et féconde
            comme les secondes
            Viens, viens me rassurer
            me dire que la mort
            N'existe pas pour l'âme

            Viens, viens éteindre le feu
            De ma douleur, m'apaiser
            De tes caresses...
            Ô toi, ma substance

            De tes mains chaudes
            apprends-moi la tendresse
            Brise la glace de mes tourments
            Montres-moi la justesse
            La délicatesse, toi je ne peux
            Que t'aimer, que te chérir...

            Ta voix parfois rauque
            Parfois velours
            Présage de toujours
            Sous un ciel de tendresse
            Partageons nos essences

            Toi qui m'inspire
            Tant de volupté
            Excitant mon désir
            Et le savoure
            Sous la chapelle
            De mon amour


            inconnu
            Contrairement a la douleur, le bonheur ne s'écrit, pas il se vit... Moi je ne sais qu'écrire

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