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Maroc : Prison locale AIN QUADOUS-FES

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  • Maroc : Prison locale AIN QUADOUS-FES

    (1)

    Prélude :
    Les pages ci-dessous n’ont pas pour but de susciter les émotions ou de choquer les affections ; voire elles n’incitent non plus seulement les opprimés à liquider leur compte avec les opprimants ; mais elles visent plutôt à refléter la réalité des prisons à travers le miroir de la vérité objective sans plus. Ceci se fait au moyen de divulguer des réalités et des faits latents et de déshonorer et dépouiller les diffuseurs du discours falsifiant, trompeur et frauduleux Il s’agit d’ un discours qui a été et qui est encore l’entérinant des réalités accablantes et le cachant des méthodes et des procédés criminels, de torture et de joug modélisé et exercé sur les détenus politiques et non
    politiques au sein des prisons de la merde et dans lesquelles s’exercent des tortures dont la sévérité dépasse celle des célèbre postes qui en sont spécialisés.

    La peur et les pratiques tyranniques continues et produites par les bourreaux
    épaississent de plus en plus le mur de silence et de réticence imposé sur les réalités et faits ; ce qui entravent les éventuelles mobilités et activités des militants, des propriétaires des consciences humaines vives que ce soit des apprentis ou des conscients qui sont hostiles aux conditions inhumaines dominant les arrières barreaux de la prison. En fait ces défis ainsi que d’autres compliquent l’achèvement des taches comme il le faut. Le fait qui affaiblie la possibilité d’entourer tous les détails et circonstances du vécu dans la prison ainsi que les coulisses et secrets caché dont les clefs sont à l’intérieur des boites noires gérées exclusivement par les décideurs politiques de ce pays ;

    les chefs et directeurs des établissements d’oppre ssion et leurs
    adjoints suivant une démarche criminelle et qui travaillent par des méthodes
    sécuritaires extraordinaires et des styles extra-professionnels dans la gestion et l’application de la torture et sa généralisation.

    Cette réalité qui est à la fois difficile et épineuse complique en effet les conditions de diffusion des opinions et des expressions politiques honorées, sincères et probantes et fertilise le climat prisonnier en perplexité pour assurer l’œuvre de falsification et les voix de complaisance qui fréquentent tous les types des médias et de propagande faite par les cultivés les mercenaires les journalistes ainsi que l’ensemble des tambourineurs ayant eu l’habitude de s’asseoir autour des tables pleines des miettes et des ordures de ce régime réactionnaire.

    Ils concourent à manifester leurs compétences en matière de
    l’entérinement d’une réalité pleine de crimes et font apparaitre leurs innocences vis-à-vis les réformes et la réinsertion des prisonniers pour les réintégrer dans la société.

    Leurs allégations sont complètement érodées par l’amertume vécue au sein de la prison qui crée des conditions destructives d’un potentiel humain important au lieu d’être investi utilement à travers l’ouverture des écoles des universités et des sociétés pour que ces gens vivent une vie digne et décente.

    Contenu du rapport :

    On va essayer de divulguer le plus maximum possible la réalité d’une prison qui
    est considérée la plus réputée sur l’ensemble des parties de notre patrie et qui a été construite par le colonisateur après la promulgation d’un décret du 11 avril 1915 relatif à la création des prisons dont la structure est calquée sur celle des prisons européennes.

    Pourtant cette prison s’est faite un annexe à l’université de DHAR MRHRAZ du fait de l’effervescence que connaît celle -ci en matière des luttes et des batailles héroïques abordées par les militants, militantes et masses estudiantines; C’est durant ces dernières années que cette prison ait été transformée en une véritable forteresse consacrée aux actions de lutte et de résistance menées singulièrement par les militants de la voie démocratique basiste et l’organisation de l’UNEM généralement Il s’agit des grands
    sacrifices dont les lettres se sont écrites par le sang et la résistance des camarades à l‘intérieur des maudites cellules Il en est ainsi de la bataille 2008/200 9.

    La grève de faim à durée illimitée 2011/2012 et qui est arrivée à 86 jours menée essentiellement par les camarades ; MOHAMMED GHALLOUT ; IBRAHIM ESSAIDI ; MOHAMMED ZAGHDIDI ; MOHAMMED FETAL auxquelles rejoignirent MOHAMMED KACHKACHI ; ALALAMI ISMAILI.

    Et en 2012/2013 on a assisté à une autre batailles conduite notamment par
    MOHAMMED SALAH ; ABDALWAHAB ERRMADI ; MOHAMMED AIT RAISS ; TARIK
    BOURASS et ABDANNABI CHAAOUL(ABDALLAH); ce dernier a été réincarcéré, il passe aujourd’hui une deuxième privation de liberté à coté des autres détenus récemment arrêtés ; OMAR TAIBI, OUSSAMA ZENTAR, MOHAMMED R2DA DERKAOUI, JABER ROUIJEL, MIMOUN BENZIZA, SALAH ED-DINNE CHAFIK, MOUSSA ASMOUNI, YASSIN TOURID, ANASS ALBACHIRI et enfin MOHAMMED BOUJNAH qui vient de leur rejoindre après avoir été arrêté le 19 juillet 2013, sans pour autant oublier les autres qui ont pu interrompre la liste après avoir été libérés par la force de résistance .

    De même, il faut avouer que ces batailles ainsi que celles précédentes se sont
    produites et le sont toujours au sein de cette prison (AIN QUADOUSS FES) puisqu’elle est un centre de torture physique et psychique par excellence.

    Cependant, elle est devenue un centre à double types de dirigeants son administration s’est faite par le système en place et ses bourreaux d’une part, et la production des batailles héroïques, de la résistance et des défis sont une œuvre des prisonniers politiques d’autre part

    Ladite prison est un campus qui comporte un ensemble des quartiers dans
    lesquels croupissent les prisonniers, ils se distribuent comme suite :

    Quartier criminel

    c’est le plus ancien par rapport aux autres, il avait été construit par
    le colonisateur français et il porte le nom du quartier français jusqu’à maintenant Il s’y trouve plus de 410 prisonniers (21 Sillons et 4 chambres) Si l’on répartie le nombre des prisonniers sur ces cellules selon une opération mathématique simple, on arrivera au résultat suivant 40 d’entre eux se condensent dans une seule chambre c’est-à-dire que 160 prisonniers pour ce quartier qui renferme 4 chambres.
    250 prisonniers sont répartis sur 31 sillons c’est-à-dire 8,04 par chaque sillon. En conséquent un nombre de 8 par sillon sachant que la surface de celui-ci ne dépasse pas 3 mètres de longueur sur 1 5 de largueur et le même constat est valable pour la chambre dont la capacité d’accueil ne doit pas en fait dépasser 20 mais on y trouve plus de 40 détenus.

    Quartier délictuel

    : il est connu sous le nom de quartier arabe C’est le pire du fait de
    l’entassement de la saleté et de la torture exercée à son sein Il s’y retrouve plus de 750 prisonniers répartis sur 10 chambres et 6 sillons :

    36 prisonniers se trouvant répartis sur ces 6 sillons c’est-à-dire 6 par sillon
    sachant que la surface de ce dernier s’étale sur (2 mètres longueur/ 0 5m
    largeur) en plus c’est souterrain (cave) qui est sans débouchés pour l’aération
    avec un WC trop étroit.

    Tandis que les 10 chambres ; elles comprennent plus de 714 prisonniers, en fait, 71.4 par chambre dont la surface ne dépasse même pas (6 m de longueur/4 m de largeur)

    Ce nombre des prisonniers n’est pas toujours le même car on trouve
    parfois des chambres qui comportent plus de 100 et autres contiennent un
    nombre qui varie entre 30et 40.

    Cette étude chiffrée présente un constat selon lequel 3 prisonniers vivent dans un endroit qui aurait du être réservé pour un seul.

    Le nouveau quartier
    :
    il comporte 4 chambres dans lesquelles vivent plus de 160
    prisonniers, un nombre de 40 par chambre dont la surface ne dépasse pas (4 m/2.5m). Il faut avouer, de surcroit, que dans ce quartier qu’un prisonnier ait été décédé l’an passé (JAOUHAR FETTAH) et les circonstances de cette mort ont été divulguées par les détenus politiques sous un communiqué adressé à l’opinion publique

    Le quartier
    « Touba »

    c’est le quartier à l’intérieur duquel nous nous retrouvons et
    plus particulièrement sa chambre 9 Il s’y trouve presque 500 prisonniers répartis sur 11 chambres (46 par chambre qui est de surface de 4m/3m).

    Le quartier des pupilles

    il s’y tr ouve environ 50 mineurs-juvéniles dont l’ âge est
    moins de 16 ans voire parfois moins de 12 ans. Ce quartier comporte 6 chambre de surface très étroite 9 prisonniers par une Parmi ces pupilles il y a 4 élèves que l’on avait déjà l’occasion de les parler dans certains de nos précédents écrits.

    Le quartier féminin

    il comprend 56 prisonnières Nous n’en avons en fait aucune
    autre information jusqu’à maintenant

    Chambre des plus âgés

    : c’est une salle d’une surface de 10m/ 5 et dans laquelle se
    trouve environ 50 âgés. Ceux-ci vivent des situations catastrophiques du fait de l’avancement de leur âge et l’incapacité de servir leur soi-même ce qui crispe les circonstances de leur vie. En plus, ils sont touchés par des maladies contagieuses et psychiques (diabète,..) qui creusent leur santé dans l’absence totale de tout soin médical

  • #2
    (2)

    Salle de ‘’kalf’’

    : elle existe à l’entre -quartier, antérieurement appelée (avant presque 2
    ans) chambre DIYAFA «d’hôte » dans laquelle s’entassaient un grand nombre de prisonniers pour une période qui dépasse 30 jours, et après cette période ils se font répartir sur les autres quartiers Cependant l’apparition de certains phénomènes sociaux et maladies dangereuses dans cette chambre fit transformer celle-ci en une chambre pour la résidence perpétuelle des prisonniers et notamment pour ceux qui sont au bout de quitter la prison.
    Les insectes nocifs comme, les poux, cafards y trouvent un bon abri. Sans oublier la saleté et les mauvaises odeurs. Le nombre des
    prisonniers y atteint les trentaines.

    La cuisine

    c’est une chambre à l’intérieur de laquelle habitent environ 40 prisonniers
    soi-disant cuisiniers et distributeurs des repas sur les autres prisonniers. Ils y travaillent pendant toute la journée y compris la nuit sans salaire ni allocation sur les prestations et les efforts qu’ils fournissent Et en cas de réclamation ils se font punir voire parfois déplacer au quartier arabe dont la situation à l’intérieur est un véritable enfer

    La salle de soin

    c’est une salle qui existe à l’intérieur d’un petit dispensaire et dans
    laquelle se trouvent les prisonniers paralysés ou touchés par des maladies dangereuses, ceux qui leur est amputé un organe. Ils sont au nombre de 14 il ya deux cas sains parmi eux et dont la raison de leur existence n’est connue que par l’administration
    pénitentiaire et le médecin qui leur a accordé l’autorisation d’y exister

    C’était en bref un panorama des chambres et quartiers abritant les prisonniers à l’intérieur d’AIN QUADOUSS et dont le nombre aujourd’hui de ceux-ci dépasse 2030 qui
    sont tous dans la situation de la détention réservée, et après directement qu’ils reçoivent leurs jugements définitifs, ils se déménagent soit à la prison BOURKAIZ à Fès ou à celle d’AIN AICHA pour passer le reste du jugement

    Chef des prisonniers est une appellation d’un plus ancien prisonnier (ABDELMOUMEN SLIMANI) qui a passé une période de
    privation de sa liberté de 5 ans dans l’attente toujour de recevoir le jugement définitif

    Cette prison comme d’ailleurs tous les autres établissements pénitentiaires de ce régime réactionnaire, est une école de la production et de la reproduction des mêmes rapports culturels qui dominent cette société avec des mauvais aspects pathologiques.

    En fait c’est une société réduite dans laquelle se concentrent tous les phénomènes sociaux à partir du clientélisme du népotisme de la torture psychique et physique et de la frustration en passant par le viol jusqu’à le traçage d’un lexique des termes inappropriés à la bonne morale que l’on entend quotidiennement.

    Ce climat général
    caractérisant la situation de la prison d’AIN QUADOUSS n’est pas d’une création récente mais il décrit une réalité sociale dont l’existence effective se trouve à l’intérieur de la prison et les racines se plongent en dehors de ses murs.

    Il s’agit des sécrétions hémorragiques intenses émanant d’une réalité socio-économique, politique et culturelle arriérée et périmée dont la persistance lui est attribuée par une politique des classes qui encadre l’ensemble de la vie sociale que ce soit à l’intérieur de la prison ou à son extérieur

    De même il faut noter que l’administration de la prison fertilise de surcroit cette réalité pathologique tout en la noyant dans une mer pleine, selon elle, des interdictions comme les drogues solides et non solides qui pénètrent indirectement par l’administration elle-même et ses fonctionnaires, et directement par les prisonniers à travers leurs intestins, artères et leurs poches par complicité des fonctionnaires ; et le
    reste, il tombe par le haut de la cour sous forme des faisceaux L’administration et pour mettre fin à ce dernier cas a couvert l’ensemble des quartiers sauf celui criminel afin qu’elle prenne la relève en matière des trafics des stupéfiants et impose aux trafiqueurs des redevances mensuelles pour qu’ils exercent cette activité de manière réglementaire.

    Et en cas de l’absence de ces drogues ou la majoration de leur prix les prisonniers s’adonnent à des phénomènes dangereux et douloureux ils s’agressent les corps avec des outils coupants.

    Les puissants dominent les autres et certains prisonniers
    s’agressent délibérément pour se prétexter et s’approvisionner de certaines quantités de drogues des autres quartiers lorsqu’ils ont l’occasion d’aller se soigner
    En fait, l’administration est seule responsable de ces secrets invisibles et ce commerce lucratif au cœur de la prison

    Elle en a toutes les informations mais elle prend la position de
    neutralité tout en laissant ces drogues empoissant la santé des milliers de prisonniers sans aucune intervention positive à cet effet.

    Quant à l’hospitalisation la prison n’en contient qu’un petit dispensaire avec un bureau et deux chaises pour plus de 2000 prisonniers

    Le jour où l’on veut se soigner est un jour de conflit. Les patients ne reçoivent en réalité aucune hospitalisation du fait de l’absence d’un nombre suffisant des médecins et infirmiers Il n’y existe qu’un seul médecin et 6 infirmiers qui font du tour entre eux ce qui laisse subsister des maladies contagieuses et chroniques creusant la santé des prisonniers. De cette situation découlent plusieurs cas de mort et de suicide de ces derniers au lieu d’accepter de vivre dans ce concret.

    Pendant le mois d’avril on enregistrait 6 tentatives de suicide ; 5 cas ont
    été sauvés prodigieusement et le sixième cas a trouvé la mort en quartier de TOUBA.

    En plus, il est enregistré encore que la distribution du médicament se fait en contrepartie d’une somme pécuniaire voire aussi il ya des prisonniers qui revendent certains trucs comme « Rosina, valuim » avec des prix élevés aux autres prisonniers qui sont en situation saine.

    Pis encore c’est la nourriture qui est insalubre et déséquilibrée.

    chaque prisonnier reçoit vers 11 heure un repas de petit déjeuner composé d’un petit pain à mauvaise qualité et un vers de thé qui est sous forme d’une eau chaude à couleur rouge -à noter que l’eau de la prison a une couleur rouge pour ne pas s’étonner -.quant au déjeuner, il se présente souvent des plats de légumes appelés « 7 types de légumes », parfois des lentilles ou de l’haricot avec des grains calleuses et cristallisées sous forme de vitre ; ceci
    est accompagné d’un petit pain Et le diner la soupe qui domine dans la plupart du temps Aujourd’hui et durant le jeune « Ramadan » on entend souvent les crieries des prisonniers vers minuit en demandant des morceaux de pain [B][COLOR="DarkRed"]à cause de la faim.


    Par ailleurs, entre les prisonniers et les fonctionnaires chargés de la surveillance ils s’établissent des rapports commerciaux Les gardes reçoive nt des pots-de-vin de la part des prisonniers pour profiter d’un service. Pareil cas se rencontre quand un conducteur veut garder ses papiers de véhicule, il doit verser aux agents de gendarmerie pour traverser En fait à l’intérieur de la prison si tu ne paies pas tu ne vives plus car la vie y
    est conditionnée par le versement C’est le cas des démunis qui vivent sous les
    conditions de l’humanité puisqu’ils n’ont rien à payer

    Concernant les activités culturelles, sportives et scolaires; elles sont presque
    absentes à l’exception d’une salle qui comprend 10 chaises et 5 tables et une autre petite salle prétendue être l’école de la prison et qui demeurait longtemps abandonnée jusqu’à notre arrivée elle commença à fonctionner mais de façon très limitée.

    Les visites des familles elles-mêmes connaissent une gestion anormale. Pendant le moment de visite les visiteurs s’entassent dans une salle sans chaises ni tables. Ils s’exposent à de véritables tracasseries avant d’y arriver ils passent d’abord par un long moment d’attente accablante du tour puis par des inspections humiliantes par les fonctionnaires.

    Le phénomène le plus diffus est celui du traitement inhumain des prisonniers, et ce, devant le public Les chargés de cette mission enchainent le détenu et l’emmènent au poste qui en est spécialisé pour y continuer le massacre Ensuite ils l’envoient à une cellule individuelle dite « cachot » pour une période qui peut atteindre 45 jours ou plus, et parfois lorsque les coups de frappe étaient sévères ils l’envoient au centre de soin qui existe dans la prison. Si la privation de la liberté est une sanction prononcée par un jugement judiciaire c’est à l’intérieur d’AIN QUADOUS que le prisonnier s’expose à de véritable torture.

    Les pratiques que connaît AIN QUADOUSS ne s’arrêtent pas là mais plutôt on a ura l’occasion d’en présenter plus de détails prochainement Ce qu’il faut retenir c’est que cette prison constitue un véritable centre de torture et de traitement inhumain des prisonniers, voire il se fait une école pour faire apprendre les leçons des agressions et de déviation sociale que l’on a appris les ABC dans la société
    Enfin, nous sommes sûrs et certains que nous recevrons une si grande attaque de la part de l’administration de la prison lors nous publierons ce rapport. Mais notre responsabilité nous impose de le faire car le silence vaut complicité avec une réalité pathologique qui suppose la divulgation au lieu de cohabitation paisible.

    Etre ou ne pas être
    Ni paix Ni capitulation
    Liberté pour les détenus

    blog jacques tourtaux

    Commentaire


    • #3
      يا أمير المؤمنين ، أين الإسلام ، أين الرحمة في كل هذه المعاملة ضد مغاربة، ضد مسلمين؟

      O! Amir Al Mouminin : Où est l'Islam, Où est la Rahma dans toutes ces tortures en prison envers ces Marocains, ces Musulmans, ces prisonniers politiques, dignes fils du Peuple Marocain??

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      • #4
        Solidarité avec ces prisonniers politiques qui survivent dans des conditions infra-humaines et avec les justes luttes des masses populaires marocaines pour la dignité, la justice sociale et la fin du pillage du Maroc par le Makhzen et ses complices : les multinationales et le sionisme...

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        • #5
          Pour les criminels et voyous dans les prisons ils sont en vie et c'est déjà beaucoup !

          Qu'ils s'estiment heureux de ne pas être exécuté et c'est domage ! Car celui qui agresse ou tue ou blesse devra être executer pour netoyer la société

          Commentaire


          • #6
            Pour les criminels et voyous dans les prisons ils sont en vie et c'est déjà beaucoup !
            .

            @BMW

            Faut etre un Daniel NON MAROCAIN (non sujet ) chez M6 ou Ma9la française pour être libre comme un oiseau
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              Pour les criminels et voyous dans les prisons ils sont en vie et c'est déjà beaucoup !

              Qu'ils s'estiment heureux de ne pas être exécuté et c'est domage ! Car celui qui agresse ou tue ou blesse devra être executer pour netoyer la société
              Achtung!

              Ces "criminels", ces "voyous" sont le produit d'une "société" injuste, inégalitaire en droits et en devoirs, un régime qui marche à deux vitesses, l'une pour les soumis et corrompus et l'autre pour les démunis c'est à dire la grande masse du peuple, le tout coiffé par le pillage des richesses du peuple par le Makhzen et les multinationales, sous la direction des lobby sionistes

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              • #8
                la prison c'est un lieu de punition pas le club med comme en france

                mais de là a réclamé leurs nettoyage de la société a part pour ceux qui ont violé et tuer je trouve que c'est beaucoup trop car tout le monde peux se repentir

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