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Par : Outoudert Abrous
Ils sont Algériens de souche et occupent des postes et des chaires dans des universités de grande renommée, mais comme on ne renie jamais ses origines et le village dont on est issu, et surtout le pays dont nous portons la nationalité avec fierté, des universitaires spécialistes ont décidé d’un commun accord de tourner dans un documentaire, réalisé par la Fondation algérienne pour l’action ctoyenne. Le sujet ou le thème : la bonne gouvernance en Algérie.
Vaste sujet que maîtrisent admirablement aussi bien Hafsi qu’Aktouf, professeurs titulaires à HEC, Montréal, ainsi que le reste du groupe.
À aucun moment, ils ne tiennent à jouer un rôle d’hommes politiques et donc se limitant à rester dans le domaine qui est le leur : la pédagogie et des éclairages, des pistes à suivre et un seul trémolo, l’Algérie au cœur.
Ils s’interrogent sur ce pays qui est le leur, béni des dieux mais qui reste à la traîne de l’évolution que connaissent les autres nations qui ont bien moins de richesses humaines et de ressources naturelles.
Loin d’engager un combat frontal parce que loin du théâtre des événements, ils expliquent doctement ce qu’est la bonne gouvernance, la gestion des affaires publiques, les outils à mettre en œuvre et les minima requis pour croire en une amorce comme par exemple l’indépendance du pouvoir judiciaire, l’embourbement dans un cadre de gestion administratif (pour ne pas dire bureaucratique). Ils disent aussi que la mamelle de l’incompétence est l’impunité. Cette règle établie qui fait qu’on ne demande à rendre des comptes à une personne que quand cette dernière sort du cadre où elle a été “punaisée”.
La saine gouvernance a pour éléments constitutifs la transparence, la participation, la performance pour un État-institution au “service d’un espace national” qui préserve avant tout la dignité du citoyen.
Les intervenants revenant sur les conditions de mise en œuvre de cette opération citoyenne pour les Algériens, en mal de repères et en mal d’être, affirment que seule la condition de placer l’Algérie au-dessus de tout est suffisante pour faire ce grand bond en avant pour faire partie d’un monde digne et être citoyen à part entière.
O .O
[email protected]
Ils sont Algériens de souche et occupent des postes et des chaires dans des universités de grande renommée, mais comme on ne renie jamais ses origines et le village dont on est issu, et surtout le pays dont nous portons la nationalité avec fierté, des universitaires spécialistes ont décidé d’un commun accord de tourner dans un documentaire, réalisé par la Fondation algérienne pour l’action ctoyenne. Le sujet ou le thème : la bonne gouvernance en Algérie.
Vaste sujet que maîtrisent admirablement aussi bien Hafsi qu’Aktouf, professeurs titulaires à HEC, Montréal, ainsi que le reste du groupe.
À aucun moment, ils ne tiennent à jouer un rôle d’hommes politiques et donc se limitant à rester dans le domaine qui est le leur : la pédagogie et des éclairages, des pistes à suivre et un seul trémolo, l’Algérie au cœur.
Ils s’interrogent sur ce pays qui est le leur, béni des dieux mais qui reste à la traîne de l’évolution que connaissent les autres nations qui ont bien moins de richesses humaines et de ressources naturelles.
Loin d’engager un combat frontal parce que loin du théâtre des événements, ils expliquent doctement ce qu’est la bonne gouvernance, la gestion des affaires publiques, les outils à mettre en œuvre et les minima requis pour croire en une amorce comme par exemple l’indépendance du pouvoir judiciaire, l’embourbement dans un cadre de gestion administratif (pour ne pas dire bureaucratique). Ils disent aussi que la mamelle de l’incompétence est l’impunité. Cette règle établie qui fait qu’on ne demande à rendre des comptes à une personne que quand cette dernière sort du cadre où elle a été “punaisée”.
La saine gouvernance a pour éléments constitutifs la transparence, la participation, la performance pour un État-institution au “service d’un espace national” qui préserve avant tout la dignité du citoyen.
Les intervenants revenant sur les conditions de mise en œuvre de cette opération citoyenne pour les Algériens, en mal de repères et en mal d’être, affirment que seule la condition de placer l’Algérie au-dessus de tout est suffisante pour faire ce grand bond en avant pour faire partie d’un monde digne et être citoyen à part entière.
O .O
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