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Quand Mohand Tayeb raconte son aïeul cheikh Belhaddad
Il est regrettable qu’il ait été le grand oublié de la cérémonie de remise des prix aux lauréats et écrivains de la commune, organisée le 20 août dernier au siège de la municipalité, par l’APC de Seddouk.
Il s’agit de Belhaddad Mohand Tayeb, un enfant du village de Seddouk Oufella, du douar d’Amdoune n Seddouk. Cet « oubli » ne diminue, du reste, en rien le mérite de l’artiste dont le nom a dépassé nos frontières. Artiste complet aux œuvres lyriques, Mohand Tayeb a débuté dans la maçonnerie où il réalise de belles architectures en bâtiment. Un métier qu’il a appris à Alger où il est parti très jeune. Il a également appris à jouer de plusieurs instruments musicaux comme la guitare, le mandole et le luth. Il a accompagné plusieurs grands chanteurs. Il se consacrera par la suite à la poésie.
Issu d’une famille dont les membres ont le savoir dans les veines, dont l’érudit cheikh Belhaddad, l’arrière petit fils du cheikh vient de sortir son premier recueil de poésie écrite en Tamazight. Il est intitulé ‘’Refdhagh leqlem Ourigh…’’ (J’ai pris le stylo et écrit…) L’oeuvre connaît déjà un franc succès dans les librairies. L’auteur y retrace entre autres l’histoire de son aïeul. Un ouvrage publié à compte d’auteur aux éditions Belles lettres.
Ce digne fils héritier des Belhaddad est un poète au talent avéré qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il promet d’autres publications dans un futur très proche.
L. Beddar
Il est regrettable qu’il ait été le grand oublié de la cérémonie de remise des prix aux lauréats et écrivains de la commune, organisée le 20 août dernier au siège de la municipalité, par l’APC de Seddouk.
Il s’agit de Belhaddad Mohand Tayeb, un enfant du village de Seddouk Oufella, du douar d’Amdoune n Seddouk. Cet « oubli » ne diminue, du reste, en rien le mérite de l’artiste dont le nom a dépassé nos frontières. Artiste complet aux œuvres lyriques, Mohand Tayeb a débuté dans la maçonnerie où il réalise de belles architectures en bâtiment. Un métier qu’il a appris à Alger où il est parti très jeune. Il a également appris à jouer de plusieurs instruments musicaux comme la guitare, le mandole et le luth. Il a accompagné plusieurs grands chanteurs. Il se consacrera par la suite à la poésie.
Issu d’une famille dont les membres ont le savoir dans les veines, dont l’érudit cheikh Belhaddad, l’arrière petit fils du cheikh vient de sortir son premier recueil de poésie écrite en Tamazight. Il est intitulé ‘’Refdhagh leqlem Ourigh…’’ (J’ai pris le stylo et écrit…) L’oeuvre connaît déjà un franc succès dans les librairies. L’auteur y retrace entre autres l’histoire de son aïeul. Un ouvrage publié à compte d’auteur aux éditions Belles lettres.
Ce digne fils héritier des Belhaddad est un poète au talent avéré qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Il promet d’autres publications dans un futur très proche.
L. Beddar