Le régime de Bachar Al-Assad a accepté que des inspecteurs de l'ONU se rendent dans la banlieue de Damas, sur le site de l'attaque chimique présumée de mercredi. Une décision qui intervient 24 heures après l'arrivée dans la capitale syrienne d'une émissaire de l'ONU, et alors que les pays occidentaux se montrent de plus en plus menaçants à l'encontre du régime syrien.
C'était une demande pressante de la communauté internationale. Le régime syrien accepte que des inspecteurs de l'ONU se rendent sur le site de l'attaque chimique présumée de mercredi, près de Damas, selon un communiqué du ministère syrien des Affaires étrangères. "Un accord a été conclu aujourd'hui à Damas entre le gouvernement syrien et les Nations unies pendant la visite de la haute représentante de l'ONU pour le désarmement, Angela Kane, pour permettre à l'équipe des Nations unies d'enquêter sur les allégations d'usage d'armes chimiques dans la province de Damas", a indiqué le ministère. Cet accord "entre en vigueur immédiatement", a-t-il précisé.
Le régime syrien nie toute implication.
Des inspéecteurs de l'ONU sont déjà en Syrie depuis 18 août, mais ils n'avaient jusqu'à présent pas l'autorisation de se rendre sur ces sites-là, situés dans la périphérie de la capitale. Ils commencerton à enquêter dès lundi. Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a assuré que la Syrie était "disposée à coopérer avec l'équipe des inspecteurs pour prouver que les allégations des groupes terroristes (rebelles, ndlr) sur l'utilisation par les troupes syriennes d'armes dans la région de la Ghouta orientale sont mensongères". L'attaque chimique présumée de mercredi a fait, selon les rebelles, de 500 à 1 300 morts.
Par Rédaction de France Info
C'était une demande pressante de la communauté internationale. Le régime syrien accepte que des inspecteurs de l'ONU se rendent sur le site de l'attaque chimique présumée de mercredi, près de Damas, selon un communiqué du ministère syrien des Affaires étrangères. "Un accord a été conclu aujourd'hui à Damas entre le gouvernement syrien et les Nations unies pendant la visite de la haute représentante de l'ONU pour le désarmement, Angela Kane, pour permettre à l'équipe des Nations unies d'enquêter sur les allégations d'usage d'armes chimiques dans la province de Damas", a indiqué le ministère. Cet accord "entre en vigueur immédiatement", a-t-il précisé.
Le régime syrien nie toute implication.
Des inspéecteurs de l'ONU sont déjà en Syrie depuis 18 août, mais ils n'avaient jusqu'à présent pas l'autorisation de se rendre sur ces sites-là, situés dans la périphérie de la capitale. Ils commencerton à enquêter dès lundi. Le ministre syrien des Affaires étrangères Walid Mouallem a assuré que la Syrie était "disposée à coopérer avec l'équipe des inspecteurs pour prouver que les allégations des groupes terroristes (rebelles, ndlr) sur l'utilisation par les troupes syriennes d'armes dans la région de la Ghouta orientale sont mensongères". L'attaque chimique présumée de mercredi a fait, selon les rebelles, de 500 à 1 300 morts.
Par Rédaction de France Info
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