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« Carthago delenda est » disait Caton l’ancien. Lors de la 3ème guerre punique, Carthage fut rasée sans l’aide de bulldozers, les femmes, enfants vieillards tous exterminés et les hommes mûrs finirent leurs jours en esclaves.
Lors de ma jeunesse, les enseignants d’histoire me décrivirent l’empire romain comme un modèle de raffinement et de civilisation.
Au Moyen Age les Français emmenés par Jehanne d’Arc , qui fut par la suite brûlée vive par l’évêque français Cauchon, après le siège d’Orléans, procédèrent comme de coutume à l’exécution un par un à l’épée des prisonniers. Ce qui n’empêcha pas Benoît XV d’en faire une sainte, quelques siècles plus tard.
Lors de la première guerre mondiale, les Allemands d’Hindenburg, les Anglais de Churchill et les Français de Clémenceau balancèrent à volonté des gaz mortels. Aujourd’hui en Syrie il paraît que cela n’est plus à la mode. Il est décent de mourir exsangue d’une rafale de kalachnikov dans le ventre, déchiqueté par un obus, écrasé par un mur écroulé, de faim , de soif mais pas d’une asphyxie.
Lors de la seconde guerre mondiale, les Anglais de Churchill, encore lui, et les Américains d’Eisenhower balancèrent des bombes incendiaires sur la ville de Dresde qui en 3 jours firent 220 000 victimes civiles, soit plus qu’Hiroshima et Nagasaki réunis, seuls exemples à ce jour d’utilisation de l’arme nucléaire contre des populations civiles.
Lors de ma jeunesse, mes enseignants d’histoire me décrivirent les Américains et les Britanniques comme sauveurs de la civilisation face à la barbarie dite nazie.
Plus tard, j’ai lu l’historien Sir Liddell Hart. Son analyse des conflits est la suivante. Les guerres sont des confrontations de deux camps, composés d’alliées de circonstances. C’est le mieux armé sur le long terme qui l’emporte et ce sont toujours les historiens des vainqueurs qui en écrivent le récit. Celui-ci devient ainsi un conflit entre gentils et méchants toujours gagné par les gentils.
En 1995 à Srebrenica, dans une guerre civile qui opposait les islamistes serbes aux orthodoxes serbes, ces derniers gagnèrent la bataille et, comme Jehanne d’Arc , éliminèrent les hommes en armes qui quelques heures auparavant leur tiraient dessus en vue de les tuer. Les Serbes orthodoxes eurent la magnanimité d’épargner femmes, enfants et vieillards à l’opposé de ce que faisaient les éminents civilisés romains de Caton l’ancien.
Aujourd’hui ces Serbes sont poursuivis pour crime contre l’humanité ! Je trouve cela aberrant. D’abord parce que les exécutions n’ont concerné que quelques milliers d’hommes et non l’humanité. Ensuite parce qu’il s’agissait d’hommes en armes, combattants prêts à tuer. Je ne comprendrai jamais pourquoi dorénavant il n’est plus d’usage de trucider un soldat qui quelques instants plus tôt n’avait qu’un seul but : me trucider. Alors que de tous temps cela faisait partie des saines pratiques de la guerre, dont le but est d’éliminer les adversaires.
Je ne vois que deux issues pour la guerre : on ne la fait pas du tout ou, si on la fait, on va jusqu’au bout.
En 1991, en Algérie, le Front Islamique du salut gagna les élections : 40% d’élus directs au premier tour à faire pâmer d’envie une quelconque branche de l’UMPS. Les militaires annulèrent les élections, emprisonnèrent et massacrèrent par centaines de milliers les citoyens algériens. Aucune voix d’ Occidentaux ne se fit entendre pour protester.
En 2011, d’ anciens dignitaires du régime libyen, emmenés par un ancien premier ministre de Kadhafi, se révoltèrent armes à la main, chars d’assaut en avant. La rébellion allait être écrasée dans l’œuf quand les Occidentaux décidèrent alors d’intervenir. Conclusion : Kadhafi fut renversé et assassiné alors qu’en 2007 il était reçu avec les honneurs de chef d’état par le « nabot » de France dont il avait financé la campagne électorale. Les Occidentaux arrivèrent à leurs fins après une première demi-journée où 105 missiles tomahawk à 250 000 $ pièce furent tirés, suivie de 6 mois de bombardements ininterrompus et 80 000 civils tués.
En 2013, en Egypte, le président Morsi, élu du suffrage universel, est destitué par les militaires qui envoient les chars d’assauts dans les rues et le général Sissi prend la direction du pays. Les électeurs manifestent cailloux contre chars d’assaut et se font massacrer par milliers. C’est à mon humble avis le prototype du coup d’état militaire. Que font les Occidentaux ? Ils « invitent » les militaires au pouvoir à un peu plus de retenue.
Conclusion : de tous ces faits je me suis fait une opinion sur qui sont les vraies et infâmes charognes de cette terre et, pourquoi ne pas l'avouer, ce qui m'insupporte de plus en plus c'est .......... de vivre parmi elles !
Lors de ma jeunesse, les enseignants d’histoire me décrivirent l’empire romain comme un modèle de raffinement et de civilisation.
Au Moyen Age les Français emmenés par Jehanne d’Arc , qui fut par la suite brûlée vive par l’évêque français Cauchon, après le siège d’Orléans, procédèrent comme de coutume à l’exécution un par un à l’épée des prisonniers. Ce qui n’empêcha pas Benoît XV d’en faire une sainte, quelques siècles plus tard.
Lors de la première guerre mondiale, les Allemands d’Hindenburg, les Anglais de Churchill et les Français de Clémenceau balancèrent à volonté des gaz mortels. Aujourd’hui en Syrie il paraît que cela n’est plus à la mode. Il est décent de mourir exsangue d’une rafale de kalachnikov dans le ventre, déchiqueté par un obus, écrasé par un mur écroulé, de faim , de soif mais pas d’une asphyxie.
Lors de la seconde guerre mondiale, les Anglais de Churchill, encore lui, et les Américains d’Eisenhower balancèrent des bombes incendiaires sur la ville de Dresde qui en 3 jours firent 220 000 victimes civiles, soit plus qu’Hiroshima et Nagasaki réunis, seuls exemples à ce jour d’utilisation de l’arme nucléaire contre des populations civiles.
Lors de ma jeunesse, mes enseignants d’histoire me décrivirent les Américains et les Britanniques comme sauveurs de la civilisation face à la barbarie dite nazie.
Plus tard, j’ai lu l’historien Sir Liddell Hart. Son analyse des conflits est la suivante. Les guerres sont des confrontations de deux camps, composés d’alliées de circonstances. C’est le mieux armé sur le long terme qui l’emporte et ce sont toujours les historiens des vainqueurs qui en écrivent le récit. Celui-ci devient ainsi un conflit entre gentils et méchants toujours gagné par les gentils.
En 1995 à Srebrenica, dans une guerre civile qui opposait les islamistes serbes aux orthodoxes serbes, ces derniers gagnèrent la bataille et, comme Jehanne d’Arc , éliminèrent les hommes en armes qui quelques heures auparavant leur tiraient dessus en vue de les tuer. Les Serbes orthodoxes eurent la magnanimité d’épargner femmes, enfants et vieillards à l’opposé de ce que faisaient les éminents civilisés romains de Caton l’ancien.
Aujourd’hui ces Serbes sont poursuivis pour crime contre l’humanité ! Je trouve cela aberrant. D’abord parce que les exécutions n’ont concerné que quelques milliers d’hommes et non l’humanité. Ensuite parce qu’il s’agissait d’hommes en armes, combattants prêts à tuer. Je ne comprendrai jamais pourquoi dorénavant il n’est plus d’usage de trucider un soldat qui quelques instants plus tôt n’avait qu’un seul but : me trucider. Alors que de tous temps cela faisait partie des saines pratiques de la guerre, dont le but est d’éliminer les adversaires.
Je ne vois que deux issues pour la guerre : on ne la fait pas du tout ou, si on la fait, on va jusqu’au bout.
En 1991, en Algérie, le Front Islamique du salut gagna les élections : 40% d’élus directs au premier tour à faire pâmer d’envie une quelconque branche de l’UMPS. Les militaires annulèrent les élections, emprisonnèrent et massacrèrent par centaines de milliers les citoyens algériens. Aucune voix d’ Occidentaux ne se fit entendre pour protester.
En 2011, d’ anciens dignitaires du régime libyen, emmenés par un ancien premier ministre de Kadhafi, se révoltèrent armes à la main, chars d’assaut en avant. La rébellion allait être écrasée dans l’œuf quand les Occidentaux décidèrent alors d’intervenir. Conclusion : Kadhafi fut renversé et assassiné alors qu’en 2007 il était reçu avec les honneurs de chef d’état par le « nabot » de France dont il avait financé la campagne électorale. Les Occidentaux arrivèrent à leurs fins après une première demi-journée où 105 missiles tomahawk à 250 000 $ pièce furent tirés, suivie de 6 mois de bombardements ininterrompus et 80 000 civils tués.
En 2013, en Egypte, le président Morsi, élu du suffrage universel, est destitué par les militaires qui envoient les chars d’assauts dans les rues et le général Sissi prend la direction du pays. Les électeurs manifestent cailloux contre chars d’assaut et se font massacrer par milliers. C’est à mon humble avis le prototype du coup d’état militaire. Que font les Occidentaux ? Ils « invitent » les militaires au pouvoir à un peu plus de retenue.
Conclusion : de tous ces faits je me suis fait une opinion sur qui sont les vraies et infâmes charognes de cette terre et, pourquoi ne pas l'avouer, ce qui m'insupporte de plus en plus c'est .......... de vivre parmi elles !
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