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Bachar El-Assad : "La Syrie ne deviendra jamais la marionnette de l'Occident"

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  • Bachar El-Assad : "La Syrie ne deviendra jamais la marionnette de l'Occident"

    "Il ne faut pas être pour le terrorisme en Syrie et contre au Mali, le soutenir en Tchétchénie et le combattre en Afghanistan"
    - A Damas, Bachar El-Assad donne une interview au quotidien russe Izvestia. - AFP / HO / SANA
    Monsieur le président, la question d'actualité la plus brûlante aujourd'hui est la situation en Syrie. Quels sont les territoires qui restent sous le contrôle des insurgés ?
    Notre terre n'est occupée par aucun ennemi. Nous avons affaire à des terroristes qui pénètrent dans nos villages et la périphérie de nos villes. Ce sont des criminels qui tuent des citoyens innocents et détruisent des infrastructures. L'armée et la police tentent de les déloger des agglomérations, et de les anéantir. Ceux qui parviennent à survivre passent sur d'autres territoires et se joignent à d'autres bandes de criminels. Les combats ne cessent à cause du nombre impressionnant de terroristes qui débarquent en permanence sur le territoire de la Syrie. Chaque mois, ils sont des dizaines de milliers à affluer, et leur financement et leur armement depuis l'étranger ne se tarissent pas non plus.

    Notre entretien va être traduit dans de nombreuses langues, de nombreux chefs d'Etat, dont certains sont vos adversaires, vont le lire. Que voulez-vous leur déclarer ?

    Parmi les chefs d'Etat, il y a aujourd'hui de nombreux politicards, et peu de dirigeants. Le fait est qu'ils ne connaissent pas l'histoire et n'en tirent pas les leçons. Certains oublient même le passé très récent. Ont-ils appris quelque chose des cinquante dernières années ? Ont-ils seulement feuilleté les documents de leurs prédécesseurs qui ont perdu toutes les guerres depuis celle du Vietnam ? Ont-ils compris que toutes ces guerres n'ont apporté que destruction et instabilité au Proche-Orient et dans d'autres régions du monde ?

    C'est précisément à ces hommes politiques que je voudrais expliquer que le terrorisme n'est pas un atout que l'on peut sortir de sa poche, l'utiliser comme bon vous semble, puis le remettre en place. Le terrorisme, c'est comme un scorpion qui pique n'importe quand. Par conséquent, il ne faut pas être pour le terrorisme en Syrie et contre lui au Mali, le soutenir en Tchétchénie et le combattre en Afghanistan. Certains chefs d'Etat occidentaux feraient bien de ne pas s'immiscer dans les affaires d'autres pays en y instaurant leurs régimes fantoches, mais de prêter l'oreille à leur opinion publique.

    Puisque vous insistez pour que je m'adresse au monde, alors j'affirme que si quelqu'un rêve de faire de la Syrie une marionnette de l'Occident, c'est perdu d'avance. Nous sommes un Etat indépendant et nous combattrons le terrorisme, nous serons libres d'avoir des relations avec qui bon nous semble, dans l'intérêt du peuple syrien.

    La Syrie est accusée d'avoir employé des armes chimiques. Que répondez-vous à cela ?

    Les déclarations de politiciens américains, occidentaux et d'autres pays sont des insultes au bon sens et trahissent leur mépris pour leur opinion publique. C'est absurde : d'abord, on brandit des accusations et ce n'est qu'après qu'on rassemble des preuves. Et cela est le fait d'un pays puissant, les Etats-Unis. Mercredi, nous sommes accusés et, deux jours plus tard, le gouvernement américain annonce le début de la collecte des preuves. On accuse notre armée d'avoir utilisé des armes chimiques dans la région qui se trouverait sous le contrôle des insurgés. Mais, en fait, il n'y a pas de ligne de front nette entre l'armée et les insurgés dans cette région. Pensez-vous vraiment qu'un Etat puisse utiliser des armes chimiques ou toute autre arme de destruction massive dans un lieu où sont concentrées ses troupes ?

    En ce qui concerne les enquêtes sur les crimes de guerre en Syrie, nous avons été les premiers à demander l'arrivée d'une commission internationale. Lorsque les terroristes ont lancé une roquette au gaz toxique sur Alep, nous avons demandé la visite d'experts étrangers. Nous nous étions mis d'accord avec la Russie pour que les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne se convainquent eux-mêmes que ce n'était pas nous, mais nos adversaires qui avaient utilisé des armes chimiques. Ces dernières semaines, nous avons négocié avec les Nations unies la création d'une commission, et des spécialistes sont enfin arrivés. Les résultats de leur travail seront présentés à l'ONU. Nous espérons que la Russie n'autorisera pas d'interprétation de ces documents favorable à la politique américaine et occidentale en général.

    Les Américains n'excluent pas de mener des opérations militaires en Syrie. Permettrez-vous que les Etats-Unis agissent comme ils l'ont fait en Irak, en essayant de trouver un prétexte pour intervenir ?

    Depuis le début de la crise, les Etats-Unis, la France, et la Grande-Bretagne ont tenté d'intervenir militairement mais, malheureusement pour eux, l'affaire a pris un autre tour. Ils ont essayé de convaincre la Russie et la Chine de changer de position au Conseil de sécurité, mais ils n'y sont pas parvenus. Ils n'ont pas pu convaincre leur opinion publique, ni le reste du monde. Il est apparu aussi que la situation ici est bien distincte de celle de l'Egypte et de la Tunisie. Ils ont compris qu'ils ne contrôlaient pas leur scénario. Il y a encore un obstacle à cette intervention : tout le monde a compris que ce qui se passe en Syrie, ce n'est pas une révolution populaire, ni l'expression de la volonté de réformes. C'est du terrorisme. Les dirigeants occidentaux ne peuvent pas dire à leur population : ''Nous allons en Syrie pour soutenir le terrorisme."

    A quoi se heurteront les Etats-Unis s'ils se décident tout de même à frapper la Syrie ou même à y intervenir ?

    Les Etats-Unis doivent s'attendre à un échec, comme dans toutes les guerres qu'ils ont déclenchées depuis celle du Vietnam. L'Amérique n'a pu ni convaincre sa propre population multiethnique du bien-fondé de ces guerres, ni imposer son idéologie à d'autres contrées.

    Que se passera-t-il si la Russie cède à la pression des Américains ? Avez-vous envisagé un tel scénario ?

    Il ne faut pas examiner les relations russo-américaines d'aujourd'hui uniquement à travers le prisme de la crise syrienne. Les divergences de position à ce sujet ne représentent qu'un des motifs de leurs désaccords. Après la chute de l'URSS, les Américains ont pensé que la Russie était finie. Mais, à la fin des années 1990, avec l'arrivée de Vladimir Poutine, la Russie a repris du poil de la bête et s'est mise à défendre plus âprement ses positions. Une nouvelle guerre froide a commencé pour l'influence politique. Les Etats-Unis avançaient sur plusieurs fronts, s'efforçant de bloquer les intérêts russes à travers le monde.

    La Russie n'est pas en train de défendre le président Bachar El-Assad ou son gouvernement. Elle défend des principes qui sont les siens depuis au moins cent ans : des principes d'indépendance et de non-ingérence dans les affaires intérieures d'autres Etats. Par ailleurs elle défend ses intérêts dans la région, et c'est son droit. Ses intérêts ne se limitent pas au port de Tartous [deuxième port de Syrie, où la Russie possède une base navale], ils sont beaucoup plus larges : le terrorisme met en péril la stabilité de l'ensemble du Proche-Orient. Et cette instabilité peut avoir des répercussions sur la Russie.

    Menez-vous des pourparlers avec la Russie sur des livraisons de carburant, armes et autres marchandises ? Les systèmes russes de missiles sol-air S-300 vous ont-ils été livrés ?

    Je tiens à dire que tous les contrats signés avec la Russie sont honorés. Ni la crise, ni la pression des Etats-Unis, de l'Europe ou des pays du Golfe n'ont empêché qu'ils le soient. La Russie livre à la Syrie tout ce qui est nécessaire à sa défense et à la défense de son peuple. Les sanctions économiques actuelles privent les citoyens syriens de produits de première nécessité, indispensables à la survie – aliments, médicaments et carburant. Et par conséquent tous les contrats que signe l'Etat syrien avec la Russie et d'autres pays alliés visent à pallier ce manque.

    Monsieur le président, qui pouvez-vous qualifier de principaux alliés et de principaux adversaires ?

    Nos principaux alliés sur la scène mondiale sont la Russie et la Chine ; au niveau régional, l'Iran. Mais je peux vous dire qu'une évolution positive se dessine dans le monde : certains pays qui étaient radicalement contre nous sont en train de changer de point de vue, d'autres renouent carrément leurs relations avec la Syrie. Et il y a aussi des pays qui nous soutiennent indirectement.

    En revanche, le Qatar est le sponsor des terroristes, et la Turquie les entraîne et leur ménage des points de passage. L'Arabie Saoudite a pris le relais du Qatar comme sponsor du terrorisme. C'est un Etat qui ne possède que de l'argent. Or celui qui ne possède que l'argent ne peut créer de société civilisée, ni soutenir la paix. Malheureusement, un grand pays comme la Turquie, jouissant d'une position stratégique et d'une société progressiste, est dirigé par l'un des pays du Golfe. Et le Premier ministre Erdogan est le seul responsable de cette situation. Pas le peuple turc, avec lequel nous partageons beaucoup de traditions et un même héritage historique.

    Qu'attendez-vous de la conférence Genève-2 ?

    Qu'une pression soit exercée sur les pays qui soutiennent le terrorisme en Syrie. Ils doivent arrêter la contrebande d'armes et l'envoi de terroristes-mercenaires. Quand ce pas aura été franchi, il sera beaucoup plus facile d'entamer la discussion avec toutes les parties syriennes sur un nouveau modèle d'Etat, de législation et de Constitution.

    Paru le 26 août


    IZVESTIA | ALEXANDRE POTAPOV, IOURI MATSARSKI
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Les Etats-Unis doivent s'attendre à un échec, comme dans toutes les guerres qu'ils ont déclenchées depuis celle du Vietnam.

    Ils ont tellement perdu de guerre qu'ils ont étendus leur influence sur quasi toute la planète , y compris le Vietnam , qui est aujourd'hui un dragon économique on ne peut plus capitaliste ......
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Mais, en fait, il n'y a pas de ligne de front nette entre l'armée et les insurgés dans cette région. Pensez-vous vraiment qu'un Etat puisse utiliser des armes chimiques ou toute autre arme de destruction massive dans un lieu où sont concentrées ses troupes ?
      C'est une vérité, mais ça ne sert à rien d'essayer de leur prouver que la Syrie n'a pas utilisé des armes chimiques. Peine perdue d'avance. Quand on veut tuer un chien, on l'accuse de la rage et on l'abat. Même s'il n'a pas vraiment la rage.
      Les sanctions économiques actuelles privent les citoyens syriens de produits de première nécessité, indispensables à la survie – aliments, médicaments et carburant.
      Et dire que les amerloques osent parler de situation humanitaires en Syrie. Ils affament le peuple et pleurent avec eux.

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      • #4
        Menez-vous des pourparlers avec la Russie sur des livraisons de carburant, armes et autres marchandises ? Les systèmes russes de missiles sol-air S-300 vous ont-ils été livrés ?

        Je tiens à dire que tous les contrats signés avec la Russie sont honorés. Ni la crise, ni la pression des Etats-Unis, de l'Europe ou des pays du Golfe n'ont empêché qu'ils le soient. La Russie livre à la Syrie tout ce qui est nécessaire à sa défense et à la défense de son peuple.
        Autrement dit .. la Russie a livré les S-300 .. comme promis

        J'espère qu'ils sont pointés dans la bonne direction ..

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        • #5
          Bachar El-Assad : "La Syrie ne deviendra jamais la marionnette de l'Occident"

          puisqu'il est bien lancé dans son élan, il y a le Golan qui attend..

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          • #6
            puisqu'il est bien lancé dans son élan, il y a le Golan qui attend..
            Pour un simple rocher chez vous, vous vous justifiez par l'OTAN et tu veux que la Syrie affronte en plus de l'OTAN, des voisins fourbes et charognards ?

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            • #7
              Pour un simple rocher chez vous, vous vous justifiez par l'OTAN et tu veux que la Syrie affronte en plus de l'OTAN, des voisins fourbes et charognards ?
              t'as qu'a relire le titre ya bou3ou

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              • #8
                t'as qu'a relire le titre ya bou3ou
                Ya bouq3ou3ou, le titre veut dire que la Syrie est indépendante.

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                • #9
                  Au moment même où les experts en armes chimiques des Nations unies arrivaient en Syrie, le gouvernement s’est vu accusé par les « rebelles » d’un massacre de civils à l’arme chimique dans la banlieue de Damas. Les gouvernements qui cherchent depuis plus de deux ans à renverser le président Assad ont immédiatement repris à leur compte ces accusations.
                  Il en va de même des médias qui, dans leur ensemble, répercutent massivement ce point de vue en ne donnant que très rarement la parole à ceux qui élèvent des doutes sur la fiabilité des « preuves » avancées, ou posent la question de bon sens « À qui profite le crime ? »

                  En trois mois, l’armée arabe syrienne a enregistré des succès militaires retentissants qui agacent les chancelleries occidentales au plus haut point.

                  L’armée est parvenue à chasser les envahisseurs takfiris des gouvernorats de Homs et de Lattaquieh, ouvrant la voie vers la libération d’Alep. Alors qu’ils tentent de prendre Damas en étau à partir des vergers de la Ghouta, les groupes rebelles se sont retrouvés à leur tour encerclés, tel
                  l’arroseur arrosé. C’est précisément au moment où l’armée menait une percée sur le front de Jobar que les armes chimiques ont été utilisées.

                  Cette agression lâche est survenue à quelques kilomètres à peine du cœur de Damas, quasiment sous le nez des enquêteurs de l’ONU sur les armes chimiques. Tout homme normalement constitué devrait y voir une provocation qui dessert les intérêts du gouvernement syrien, une opération « false flag » évidente qui vient littéralement au secours de l’OTAN et de ses agents djihadistes actifs en Syrie. Les armes chimiques sont le casus belli inespéré pour les ennemis de la Syrie, la dernière chance des rebelles.

                  Et cependant, quasi aucun journaliste occidental digne de ce nom n’ose douter de la version officielle servie sur un plateau d’argent par leurs maîtres à penser. Les journalistes violent impunément le principe de présomption d’innocence.

                  Pourtant, les terroristes takfiris soutenus par l’axe américano-sioniste qui va de Washington à Ankara et de Ryad à Tel Aviv n’en sont pas à leur premier essai .
                  on arrive à la conclusion qu’une brigade rebelle pourrait avoir utilisé de telles armes en périphérie de la capitale. C’est une hypothèse évidente. Qui plus est, jeudi dernier, l’armée russe a remis à l’ONU des images satellites de missiles suspects tirés depuis le quartier rebelle de Douma en périphérie de Damas vers les zones touchées par les intoxications mortelles.

                  Pourquoi, les médias dominants ne nous parlent-ils jamais de ces éléments ?

                  Nos journalistes reconnaissent que la rébellion est atomisée, que plusieurs groupes rebelles s’affrontent férocement. Et en même temps, ils refusent d’établir le moindre lien entre ces groupes et l’attaque chimique. C’est vraiment nous prendre pour des idiots amnésiques.

                  l’implication d’une troisième force, liée à un service secret étranger, américain, israélien ou saoudien, ni le gouvernement syrien ni les rebelles syriens locaux n’avaient intérêt à mener une telle attaque qui a tué les familles de rebelles syriens. Ce point de vue n’a rien de farfelu. La main obscure qui a frappé à l’arme chimique semble être la même que celle qui a assassiné en 2005 le premier ministre libano-saoudien Rafic Hariri et la même qui a visé les mosquées sunnites de Tripoli il y a deux jours.
                  Cette main est celle qui depuis le début du conflit syrien essaie d’embraser la région pour le plus grand bonheur d’Israël.
                  Oui la situation présente est explosive et fait craindre que le pire est à venir pour le peuple syrien.

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                  • #10
                    Ya bouq3ou3ou, le titre veut dire que la Syrie est indépendante.

                    il lui manque juste le Golan dont je parlais ya bouzguandal

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                    • #11
                      En trois mois, l’armée arabe syrienne a enregistré des succès militaires retentissants qui agacent les chancelleries occidentales au plus haut point.
                      Ca les a tellement agacé qu'il a fallu trouver cette parade d'armes chimiques "utilisés" pour intervenir.
                      il lui manque juste le Golan dont je parlais ya bouzguandal
                      Si tu n'étais pas con, tu aurais compris que ce n'était nullement le moment d'ouvrir un nouveau front alors que ça bouillonne à l'intérieur.
                      Ne pas être une marionnette veut dire ne pas bouger par des ficelles tout simplement. Et non pas se prétendre comme une puissance.

                      PS: Ton pauvre Marocain je ne le comprends pas alors garde-le pour tes compatriotes.

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                      • #12
                        Je me demande pourquoi Dieu a privé les dictateurs arabes de cerveaux.. ils savent bien à chaque fois qu'ils vont droit dans le mur mais ils continuent à s'enfoncer dedans.. maintenant il menace que la situation s'aggravera s'il y'aura une intervention comme si actuellement elle n'est pas déjà trés grave.
                        J'espère qu'il sait au moins s'ils appuyent sur la gachette, que ses enfants deviendront orphelins, et surtout quand il demandera refuge à ses amis ils lui diront "vaux mieux que tu meurs chez toi" .. comme ça été le cas du fou libyen qui a fini sans amis.
                        Pas à la tique ..

                        Commentaire


                        • #13
                          Je me demande pourquoi Dieu a privé les dictateurs arabes de cerveaux.. ils savent bien à chaque fois qu'ils vont droit dans le mur mais ils continuent à s'enfoncer dedans.. maintenant il menace que la situation s'aggravera s'il y'aura une intervention comme si actuellement elle n'est pas déjà trés grave.
                          J'espère qu'il sait au moins s'ils appuyent sur la gachette, que ses enfants deviendront orphelins, et surtout quand il demandera refuge à ses amis ils lui diront "vaux mieux que tu meurs chez toi" .. comme ça été le cas du fou libyen qui a fini sans amis. ]


                          Tekbar outansa.

                          Commentaire


                          • #14
                            pour l'instant bashar a fait de la syrie est la marionette des russes et quand il sera ruinee c les occidentaux qui recupereront tous le lot

                            Commentaire


                            • #15
                              tomahawk

                              vivement 10 tomahawks sur le palais de ce criminel et qu'on en finisse.

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