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Ton regard, regard de l'Amour!
Regard, miroir d’une âme que le bonheur naissant éblouit et charme, tu illumines le cœur des moments qui chavirent sous le trouble des instants dont l’éternel commencement s’approprie mes espoirs et mes consentements.
Regard au rayonnement éloquent qui dissipe les inconstances des cœurs en détresse, fige les oscillations des regrets et sublime nos rêves de connivences enfiévrées qui récusent le vide et nous incitent à nous réapproprier notre légitime part de bonheur.
Regard rythmant mes vigilances, chantant mes espérances, tu caresses les frémissements des lèvres des heures assoiffées de durée et avides de la quintessence des moments partagés dans les bras accueillants et complices de nos nuits palpitantes de désirs maintes fois assouvis.
Regard de braise qui toise les ombres d’un vécu effarouché par le vertige des espaces désertés par la lumière de l’amour, tu vaincs les résistances de mes angoissantes visions dont tu tires la substance des lendemains témoins des interférences de nos destins entremêlés par les doigts de la passion.
Regard empreint de la réalité confiante des êtres apaisés, tes éclats condensent et immobilisent la trame des souvenirs endoloris d’une tranche de vie qui se crispe pour engendrer les espaces pacifiés de notre futur si longtemps désiré.
Regard accroché aux volutes des nuages dont il partage le silencieux voyage au-dessus des existences qui se cherchent dans le secret des amours non vécus et le cœur des aventures entraperçues.
Regard limpide qui édifie les moments qui hésitent, cherchent leurs mots et trébuchent quelquefois, troublés par l’inconsistance des heures sevrées d’amour et des turbulences bienfaisantes des frénétiques abandons.
Regard, ami des étoiles, confident des aurores bleuissantes, compagnon des crépuscules qui annoncent les délices de nocturnes ébats dont la seule évocation incendie les sens aiguillonnés par la promesse d’extatiques fusions et d’indicibles émotions.
Regard dont la profondeur abrite le secret des intimités assaillies par les réminiscences de fougueux abandons, tu donnes vie, souffle et consistance à ma vie dont tu ornes de ton nom, les heures et les saisons.
Regard satiné qui exhorte aux rêves des ailleurs flamboyants, incite aux intimes épanchements, pérennise les instants délirants, tu inventes les paroles qui enracinent la folie des désirs dans chaque fibre de la trame de mes espaces attentifs et patients.
Regard, flamme consumante, tu amorces les ineffables envoûtements de mes mots décontenancés, surprends et domptes mes absences, apprivoises mes attentes, modules et modèles les pans de mon existence que tes caresses frôlent avec délicatesse.
Regard, espace intime de mes fragiles insouciances, jardin secret qui abrite l’amour de mon cœur pour ton cœur, la fusion de mon âme dans ton âme, tu éblouis les mirages des moments qui tremblent d’espoir et de connivence.
Regard, ami pudique de l’ombre complice de nos nuits tourmentées par les désirs qui font vibrer nos réalités affolées, tu écoutes et entends
les murmures furtifs des instants attendris et apaisés par les caresses nées dans l’intimité des corps et perlant au seuil des sens vacillants.
Regard qui perçoit la fulgurance de mes lumières, perce la profondeur de mon fol espoir de lendemains qui enlacent les berges de ta vie ornementées de la pureté de l'amour ami de nos deux existences qui se cherchent à travers les mystères des intimités en émoi.
Regard, attendri par mes défaites et mes errances, tu disloques les mensonges et lèves les voiles sur les abdications et les renoncements coupables, sources de regrets et d’amères souvenances.
Regard perspicace, tu lis dans mes absences les chemins des complicités qui font vibrer nos espérances de rivages apaisés dont le silence, ébloui, contemple, ton arrivée dans mon univers assoiffé de ta présence.
Regard, miroir d’une âme que le bonheur naissant éblouit et charme, tu illumines le cœur des moments qui chavirent sous le trouble des instants dont l’éternel commencement s’approprie mes espoirs et mes consentements.
Regard au rayonnement éloquent qui dissipe les inconstances des cœurs en détresse, fige les oscillations des regrets et sublime nos rêves de connivences enfiévrées qui récusent le vide et nous incitent à nous réapproprier notre légitime part de bonheur.
Regard rythmant mes vigilances, chantant mes espérances, tu caresses les frémissements des lèvres des heures assoiffées de durée et avides de la quintessence des moments partagés dans les bras accueillants et complices de nos nuits palpitantes de désirs maintes fois assouvis.
Regard de braise qui toise les ombres d’un vécu effarouché par le vertige des espaces désertés par la lumière de l’amour, tu vaincs les résistances de mes angoissantes visions dont tu tires la substance des lendemains témoins des interférences de nos destins entremêlés par les doigts de la passion.
Regard empreint de la réalité confiante des êtres apaisés, tes éclats condensent et immobilisent la trame des souvenirs endoloris d’une tranche de vie qui se crispe pour engendrer les espaces pacifiés de notre futur si longtemps désiré.
Regard accroché aux volutes des nuages dont il partage le silencieux voyage au-dessus des existences qui se cherchent dans le secret des amours non vécus et le cœur des aventures entraperçues.
Regard limpide qui édifie les moments qui hésitent, cherchent leurs mots et trébuchent quelquefois, troublés par l’inconsistance des heures sevrées d’amour et des turbulences bienfaisantes des frénétiques abandons.
Regard, ami des étoiles, confident des aurores bleuissantes, compagnon des crépuscules qui annoncent les délices de nocturnes ébats dont la seule évocation incendie les sens aiguillonnés par la promesse d’extatiques fusions et d’indicibles émotions.
Regard dont la profondeur abrite le secret des intimités assaillies par les réminiscences de fougueux abandons, tu donnes vie, souffle et consistance à ma vie dont tu ornes de ton nom, les heures et les saisons.
Regard satiné qui exhorte aux rêves des ailleurs flamboyants, incite aux intimes épanchements, pérennise les instants délirants, tu inventes les paroles qui enracinent la folie des désirs dans chaque fibre de la trame de mes espaces attentifs et patients.
Regard, flamme consumante, tu amorces les ineffables envoûtements de mes mots décontenancés, surprends et domptes mes absences, apprivoises mes attentes, modules et modèles les pans de mon existence que tes caresses frôlent avec délicatesse.
Regard, espace intime de mes fragiles insouciances, jardin secret qui abrite l’amour de mon cœur pour ton cœur, la fusion de mon âme dans ton âme, tu éblouis les mirages des moments qui tremblent d’espoir et de connivence.
Regard, ami pudique de l’ombre complice de nos nuits tourmentées par les désirs qui font vibrer nos réalités affolées, tu écoutes et entends
les murmures furtifs des instants attendris et apaisés par les caresses nées dans l’intimité des corps et perlant au seuil des sens vacillants.
Regard qui perçoit la fulgurance de mes lumières, perce la profondeur de mon fol espoir de lendemains qui enlacent les berges de ta vie ornementées de la pureté de l'amour ami de nos deux existences qui se cherchent à travers les mystères des intimités en émoi.
Regard, attendri par mes défaites et mes errances, tu disloques les mensonges et lèves les voiles sur les abdications et les renoncements coupables, sources de regrets et d’amères souvenances.
Regard perspicace, tu lis dans mes absences les chemins des complicités qui font vibrer nos espérances de rivages apaisés dont le silence, ébloui, contemple, ton arrivée dans mon univers assoiffé de ta présence.
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