Tweet
L’accord commercial préférentiel entre l’Algérie et la Tunisie est désormais effectif. En effet, cinq ans après sa signature à Tunis, les annexes de l’accord portant la liste des produits concernés par ce protocole ont été publiées au dernier Journal officiel de la République algérienne, en date du 21 août 2013.
Le gouvernement tunisien avait achevé, depuis 2009, l’établissement de la liste des produits et la disposition concernant la mise en œuvre de cet accord. Ce dernier stipule que les deux parties appliquent aux marchandises, d’origine algérienne ou tunisienne, le principe du traitement national en ce qui concerne les taxes exigées dans le pays importateur.
L’accord prévoit notamment des exonérations qui vont de 40% jusqu’à 100% des taxes de Douanes pour les produits industriels.
Les produits agricoles, animaliers et agroalimentaires sont exonérés totalement des taxes de douanes, selon le texte qui précise, dans son article 6, que les marchandises échangées doivent être accompagnées d’un certificat d’origine émis par les autorités concernées dans le pays exportateur. L’entrée en vigueur de cet accord préférentiel devrait booster les échanges commerciaux entre les deux pays voisins.
Pour rappel, les responsables de la COFACE ont classé le marché algérien au niveau « A4 » selon une notation à sept niveaux, en matière de pays à risque.
Très satisfait de la santé économique de l’Algérie, un expert de la Coface affirme que l’Algérie a rattrapé et dépasser durant ces dernières années, en matière de risque, ses deux pays voisins, en l’occurrence la Tunisie et le maroc.
Il explique que la Coface a reçu énormément d’interrogations sur le marché algérien par des opérateurs étrangers qui veulent s’investir et faire des affaires en algérie.
Dans le même contexte, l’expert de la Coface ajoute que l’Algérie est en tête avant la Tunisie et le Maroc en matière de couverture de risque.
La conclusion de l’accord commercial préférentiel entre l’Algérie et la Tunisie le 4 décembre 2008, ainsi que l’adhésion de l’Algérie à la Convention arabe de libre échange depuis le 1er janvier 2009, confortent l’impulsion des échanges commerciaux et la diversification de leurs structures.
Salima Z. 27 08 2013
.
Le gouvernement tunisien avait achevé, depuis 2009, l’établissement de la liste des produits et la disposition concernant la mise en œuvre de cet accord. Ce dernier stipule que les deux parties appliquent aux marchandises, d’origine algérienne ou tunisienne, le principe du traitement national en ce qui concerne les taxes exigées dans le pays importateur.
L’accord prévoit notamment des exonérations qui vont de 40% jusqu’à 100% des taxes de Douanes pour les produits industriels.
Les produits agricoles, animaliers et agroalimentaires sont exonérés totalement des taxes de douanes, selon le texte qui précise, dans son article 6, que les marchandises échangées doivent être accompagnées d’un certificat d’origine émis par les autorités concernées dans le pays exportateur. L’entrée en vigueur de cet accord préférentiel devrait booster les échanges commerciaux entre les deux pays voisins.
Pour rappel, les responsables de la COFACE ont classé le marché algérien au niveau « A4 » selon une notation à sept niveaux, en matière de pays à risque.
Très satisfait de la santé économique de l’Algérie, un expert de la Coface affirme que l’Algérie a rattrapé et dépasser durant ces dernières années, en matière de risque, ses deux pays voisins, en l’occurrence la Tunisie et le maroc.
Il explique que la Coface a reçu énormément d’interrogations sur le marché algérien par des opérateurs étrangers qui veulent s’investir et faire des affaires en algérie.
Dans le même contexte, l’expert de la Coface ajoute que l’Algérie est en tête avant la Tunisie et le Maroc en matière de couverture de risque.
La conclusion de l’accord commercial préférentiel entre l’Algérie et la Tunisie le 4 décembre 2008, ainsi que l’adhésion de l’Algérie à la Convention arabe de libre échange depuis le 1er janvier 2009, confortent l’impulsion des échanges commerciaux et la diversification de leurs structures.
Salima Z. 27 08 2013
.
Commentaire