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SYRIE:Les incertitudes dubitatives de l’hystérie

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  • SYRIE:Les incertitudes dubitatives de l’hystérie

    Il n’est pas indifférent que le ministre russe des affaires étrangères Lavrov ait caractérisé la phase actuelle de la crise syrienne par le mot “hystérie”. Il s’agissait de la première réaction circonstanciée des Russes à propos de l’actuelle séquence autour de la toujours-mystérieuse “attaque chimique” de la semaine dernière et de l’entraînement général du bloc BAO pour une attaque contre la Syrie. Le premier message “tweeté” du ministère des affaires étrangères à propos de cette conférence de presse portait effectivement sur cette qualification («Lavrov: We are highly concerned about Syria, with growing hysteria and confrontation from the use of chemical weapons by Syrian authorities»), tout comme le titre que choisit Russia Today, le 26 août 2013 : «Hysteria around chemical attack suits those who want military intervention in Syria – Lavrov».

    Effectivement, le mot convient parfaitement au climat qui entoure l’actuelle poussée de fièvre et d’entraînement vers une attaque, et il convient d’autant mieux que ce climat n’est guère substantivé par une argumentation construite et puissamment affirmée. L’hystérie touche l’“attaque chimique” et la désignation du “coupable” prononcée avant toute enquête et vérification. Au-delà, et d’une façon caractéristique, règne l’incertitude ... Par exemple, – mais exemple puissant puisqu’il concerne le mot d’ordre initial et constant pendant plus d’un an, – il n’est guère question de la chute du régime Assad et du sort du président syrien qui devrait disparaître, selon le même mot d’ordre initial, de la scène politique (“l’homme qui ne mérite pas d’exister”, selon Fabius, circa-2012).

    C’est effectivement ce que note aussitôt l’analyse de la situation washingtonienne mise en ligne le 26 août 2013 par le bureau de Washington de McClatchy, par Hannah Allam. L’idée générale est bien : que ferait-on de la Syrie si le régime Assad, qu’on s’apprête à attaquer, tombait ? Toutes les hypothèses à cet égard sont bien pires que l’actuelle situation... Ainsi faudrait-il attaquer la Syrie tout en faisant tout ce qu’il est possible pour que Assad reste en place.

    «Foreign policy analysts and Middle East experts say that the U.S. administration is trying to peel the chemical weapons issue away from the rest of the conflict, which is raging into a third year with more than 100,000 dead and no end in sight. The immediate U.S. goal, analysts said, is punishment for Assad’s alleged breach of President Barack Obama’s “red line” against chemical warfare – but not the abrupt collapse of the regime. “It’s a difficult one,” said Joshua Landis, director of Middle East Studies at the University of Oklahoma and author of the Syria Comment blog. “(Obama) has got to make it count so he isn’t called weak and feckless, but he also can’t get sucked into the Syrian swamp.”

    »American demands for Assad to step aside have become muted as the conflict has transformed into a regional free-for-all, with al Qaida-linked militants dominating the rebel movement and Assad getting backup from Iran and the Lebanese guerrillas of Hezbollah. The Turkey-based political opposition, crippled by infighting and beholden to rival Persian Gulf powers, is in no shape to even nominally govern a landscape marked by gun-toting extremists, war-ravaged infrastructure and millions of displaced civilians.

    »Some analysts contend that the United States could’ve avoided this scenario by taking more forceful action earlier and building a moderate, Western-friendly force to fight Assad; others praise Obama’s reluctance to get entangled in another long-term sectarian conflict so soon after the Iraq war. In any case, today’s reality is that the United States finds itself with no reliable partner in Syria as it mulls a risky intervention...»

    Hystérie certes, mais alors hystérie incertaine, qu’on retrouve même au sein de l’administration. Tout le monde a répercuté l’intervention de Kerry développant sans hésitation la narrative en vogue (attaque chimique perpétrée par le régime Assad, qui a tout fait pour détruire les preuves de son intervention mais qui subira les conséquences de son infamie, selon sa culpabilité prouvée avant même que les faits aient eu lieu) ; Kerry lui-même relaie la position de la Maison-Blanche mais ne semble guère en phase avec celle du Pentagone. C’est ce que remarque encore l’analyse de McClatchy, qui rapporte une déclaration du secrétaire à la défense Hagel beaucoup moins mise en évidence que celle de Kerry, alors qu’elle avait lieu le même jour.

    «Even as momentum for a military response appears to build at the White House and the State Department, the Pentagon continues to sound a more cautious note. Speaking in Indonesia, Defense Secretary Chuck Hagel indicated Monday that the United States would be unlikely to take unilateral military action in Syria and said he didn’t want to discuss specific responses “until we get all the facts and we are absolutely confident of what happened in Syria.” That sounds at odds with Kerry saying the same day that chemical weapons use in Syria was “undeniable.”»
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    L’idée générale serait donc qu’il y aurait une attaque de représailles et de punition puisque l’hystérie nous dit qu’il y a eu “attaque chimique” et que le coupable ne peut être qu’Assad ; mais cette attaque devrait être extrêmement prudente et précise pour toucher seulement ce qui doit l’être (éventuellement l’armement chimique d’Assad), pour dissuader Assad d’employer à l’avenir des armements de destruction massive, dont le chimique (dont on espère qu’il serait préalablement détruit), pour laisser Assad en place parce qu’on n’a rien d’acceptable à mettre à sa place. Un tel plan serait concocté par la NSA qu’il ne serait pas différent...

    Il faut noter que d’autres ont des idées différentes. DEBKAFiles, qui juge de bonne politique (israélienne, certes) de choisir dans cette affaire la ligne ultra-hystérique jusqu’au bout, annonce que l’attaque aérienne du bloc BAO serait suivie d’une invasion terrestre par une sorte de “coalition of the willing” comprenant l’Arabie, le Qatar et les Émirats Arabes Unis, et là nous conduisant à l’élimination d’Assad semble-t-il. Un autre courant d’analyse, moins sensible à l’hystérie, estiment au contraire que toute hypothèse d’une action des pays de la Ligue Arabe, qui se réunit aujourd’hui, devra faire face à une désunion non négligeable, notamment avec le refus probable de soutenir toute attaque contre Assad (y compris les frappes aériennes du bloc BAO) de la part au moins de l’Égypte, de l’Irak et du Liban. On verra, mais la position égyptienne (qui est affirmée dans la presse égyptienne relayant la position du gouvernement) est la plus intéressante à suivre puisque les militaires, malgré la reconnaissance qu’ils doivent à l’Arabie, ont une politique complètement opposée à celle de Morsi qui s’était brusquement radicalisé contre Assad peu avant sa déposition, – et ceci expliquant largement cela, certes, – et le tout revenant à une position presque opposée à la vindicte anti-Assad de l'Arabie. La question intéressante à cet égard est bien de voir si l’Égypte exprimera effectivement ou pas son opposition à une attaque contre la Syrie ; non qu’une telle prise de position publique puisse changer quoi que ce soit dans l’immédiat, mais parce qu’elle nous en dirait beaucoup sur la suite des événements, au-delà de la séquence crisique actuelle.

    D’autres commentaires, faits par des sources qui ne semblent par pourtant spécialement amies d’Assad, ridiculisent les intentions supposées de l’administration Obama (McClatchy, à nouveau) : «Rami Khouri. the director of the Issam Fares Institute for Public Policy and International Affairs at the American University of Beirut, said it was “pretty amateurish policy” to believe that Assad could be dissuaded from resorting to future mass-casualty attacks by limited, carefully calibrated U.S.-led strikes. He said that the United States and its allies are misreading the nature of a regime that is fighting for survival. “These people don’t respond to pinprick, laser-like, finely targeted attacks. It brings about the opposite reaction. I think it would just escalate the situation,” Khouri said. “It’s like a bunch of gladiators fighting in a pit,” he added. “One is going to die and one is going to win.”»

    Ainsi est-on conduit à juger qu’il existe un singulier contraste, entre d’une part cet entraînement hystérique vers une intervention armée, précisément concentré sur l’affaire de l’“attaque chimique” qui ne peut être que le fait d’Assad, et d’autre part les considérations sur la situation générale actuelle de la Syrie, et la situation qui résulterait d’une intervention contre Assad, et tout se passant comme si ces considérations nous disaient que la priorité numéro un semble bien être de faire en sorte qu’Assad reste en place. Ainsi voudrait-on d’une part que tout change décisivement, et qu’Assad aussi bien que la communauté internationale sachent bien que le bloc BAO est et reste le maître suprême, dispensant des leçons de morale impératives aussi bien que des cruise missiles extrêmement précis ; d’autre part, que rien ne change décisivement, parce que personne ne veut se trouver vraiment impliqué en Syrie, et que d’ailleurs on ne saurait pour l’instant qui mettre à la place d’Assad puisque les candidats les plus probables à cet égard sont pires qu’Assad... A cette lumière, on comprend le scepticisme de monsieur Rami Khouri, nous parlant d’une “politique d’amateur” en considérant ces intentions hypothétiques de l’administration Obama.

    D’une façon plus générale, nous retrouvons dans ces analyses le contraste de situations entre les puissants entraînements de la psychologie, jusqu’à l’hystérie selon Lavrov, tels que nous avons tenté de les décrire le 25 août 2013, et les interventions mesurées et planificatrices tentant de “rationaliser“ la situation en limitant les événements au seul cadre qui les concerne. Cette opposition, cette dualité antagoniste, absolument caractéristique de la situation générale de crise que nous connaissons actuellement, contraste absolument avec les situations antérieures qui sont parfois évoquées en référence (l’Afghanistan en 2001 et l’Irak en 2003), en marge de l’attaque envisagée contre la Syrie. Lors de ces deux conflits, la psychologie et la planification étaient parfaitement accordées, toutes deux offensives, et toutes deux destinées à obtenir une victoire totale avec liquidation des deux régimes impliqués (talibans et Saddam), toutes deux avec engagement sans limite (jusqu’à l’offensive terrestre dans le cas irakien). (La même unité était évidente au niveau des pouvoirs impliqués, ce qui n’est même pas le cas, pour l’engagement syrien à Washington où, même au Congrès, existent des remous et des oppositions sérieuses [voir Politico.com, le 26 août 2013.])

    Effectivement, dans leurs premières phases, ces deux guerres furent autant de succès très rapides (moins de deux mois pour les talibans, moins d’un mois pour Saddam) ; l’enlisement catastrophique n’est venu qu’après, d’ailleurs très largement favorisé, sinon créé, par les vainqueurs eux-mêmes, par leurs maladresses diverses. Cette fois, l’enlisement existe avant que la guerre ne commence, – si “guerre” il y a et s’il s’agit bien d’une “guerre”. Situation inédite par conséquent, à propos de laquelle même les “modèles” du Kosovo et de la Libye, chacun beaucoup trop spécifique et de conditions très différentes, et surtout beaucoup plus clairement défini que la situation syrienne, ne donnent aucune indication ... Bref, il s’agit d’une plongée dans l’inconnu, au son de l’hystérie qui prend ses racines dans l’affectivité comme jugement politique, et dans la communication comme référence et influence principales du jugement politique. Tout cela, certes, dans la mesure où l’on peut parler de “jugement” et de “politique”, c’est-à-dire croire qu’il existe encore chez le sapiens courant des directions politiques du bloc BAO une réelle autonomie d’appréciation et d’action.
    DEDEFENSA
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      L’idée générale serait donc qu’il y aurait une attaque de représailles et de punition puisque l’hystérie nous dit qu’il y a eu “attaque chimique” et que le coupable ne peut être qu’Assad ; mais cette attaque devrait être extrêmement prudente et précise pour toucher seulement ce qui doit l’être (éventuellement l’armement chimique d’Assad), pour dissuader Assad d’employer à l’avenir des armements de destruction massive, dont le chimique
      C'est le plus grand mensonge et la manipulation la plus perfide. S'ils frappent uniquement les stocks d'armes chimiques comme ils prétendent, combien y aura t-il de victimes parmi les civils et militaires suite à la diffusion massive de ce gaz dans l'atmosphère ?
      Comment pleurer les 1300 victimes de ghouta et massacrer 100 fois plus quelques jours après ? Y a t-il une hypocrisie plus manifeste que celle-là ?

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      • #4
        zen man

        cet erudit de journaleux fait ses supposition qui sont tout faux, les ameeicains ne sont pas fois pour detruire les armes chimiques a coup de bombes, il est clair que l'objectif serait de renverser le cours de la guerre en immobilsant l'aviation et detruisant quelques objectifs et unites , securiser les sites d'armes chimique,
        par quels moyens? a qui sera confiee cette charge?
        ce qui est sure l'intervention n'abrogera pas la guerre, elle la fera durer et pour longtemps

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        • #5
          Les enquêteurs onusiens viennent de déclarer que l arme chimique a été utilisé mais n ont aucune preuve que c est le régime syrien qui a utilisé ces armes , les américains , français et anglais qui sont loin de la scène du crime , eux , ils prétendent qu ils ont suffisamment de preuves pour enfoncer le régime syrien .

          C est que le timing des frappes américaine ne peut être changé et ce n est pas des preuves sordides qui vont chambouler leurs plans.

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          • #6
            posté par ahras
            C est que le timing des frappes américaine ne peut être changé et ce n est pas des preuves sordides qui vont chambouler leurs plans.
            .
            Obama le moralisateur ( dixit l administration américaine ) n est pas con de faire sombrer les USA dans le ridicule comme l avait fait Bush en Irak ..
            Un prétexte pour une agression : l arme chimique ???
            le «Grand Mensonge» de Bush , flagrant ..
            Les USA pendant Bush avait perdu toute crédibilité dans le monde musulman ..
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              houari
              Obama le moralisateur ( dixit l administration américaine ) n est pas con de faire sombrer les USA dans le ridicule comme l avait fait Bush en Irak ..

              Aux Etats unis , le président est un 3/4 de président ou moins que ca , comme disait Boutef , y a un pouvoir occulte qui décide et qui est beaucoup plus puissant .
              D ailleurs la politique américaine ne change pas beaucoup avec le changement des présidents ou des partis.

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              • #8
                Historique !!!

                Barack Obama ( sénateur ) s etait distingué notamment par son opposition précoce à la guerre d'Irak lancée par George W. Bush

                @ahras
                la politique extérieure américaine est passée par des périodes marquées des hauts et des bas ( républicains et les démocrates )

                constaté avec Bush , la politique extérieure des etats unis avait presque fragilisé l Amérique en perdant le leadership ....l Europe avait pris la place des ricains ?

                1/L invasion de l Irak sous le sceau du mensonge
                2/Benladen avait humilié les etats unis ( 11/9 )
                3/la poursuite de projet iranien ( le nucléaire )
                4/ la France s était imposée à l ONU afin de detruire un pays maghrébin ( Libye ) sous le regard de la politique americaine
                5/la politique extérieure américaine devenu vulnérable ( l ambassadeur et 3 américains tués à Ben Ghazi .des ambassades brulées ..dont celle de l Egypte .. )
                6/la France s impose de plus en plus son Diktat en Afrique et dans le monde arabe ..

                *Obama ne va pas sortir de sa ligne de conduite ...
                je le vois un manipulateur pour detruire l Europe ( surout la France et la FrançAfrique ) et rehausser l Amérique dans l Afrique et le monde arabe ..
                Son but , il cherche à impliquer d avantage la France dans le mensonge ( version Bush ) , le scenario libyen se répète ..embourber encore une autre fois la France en Syrie ..
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  Houari ..

                  A ce niveau d'état de guerre .. il ne s'agit plus de France ou d'Afrique .. les américains visent encore plus loin !..
                  La montée de la Chine leur donne le tournis !.. au point d'être à deux doigts de commettre l'erreur fatale

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                  • #10
                    @Capo
                    Salut

                    Je ne crois pas que les ricains vont attaquer la Syrie ...
                    Y a trop d intérêt américain dans la région ...
                    les ricains ont constaté qu il y a déjà une coalition politique en vu , Pékin , Moscou et Téhéran pour protéger la Syrie ...

                    les seuls perdants dans la région seront les monarchies et Israël ..
                    En politique extérieure : la France ( puisque les ricains qui poussent la France à commettre la bourde comme ce fut en Libye ...)
                    Déjà la France avait perdu ses alliés pour l UPM ( Tunisie ,Libye et Égypte ..en cours la Syrie )
                    A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

                    Commentaire


                    • #11
                      Salut

                      Je ne crois pas que les ricains vont attaquer la Syrie ...
                      Y a trop d intérêt américain dans la région ...
                      les ricains ont constaté qu il y a déjà une coalition politique en vu , Pékin , Moscou et Téhéran pour protéger la Syrie ...
                      On ne sait plus quoi penser Houari ..
                      D'un coté, nous voyons une guerre .. de l'autre , nous en voyons aussi !
                      En gros .. la guerre n'a pas commencé aujourd'hui .. elle a commencé depuis 2 ans ...

                      Quant aux yankees, ils ne demandent qu'à déployer leurs nouvelles armes .. et tester la réaction de l'adversaire ..

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                      • #12
                        @Capo
                        Re !!!

                        Quant aux yankees, ils ne demandent qu'à déployer leurs nouvelles armes .. et tester la réaction de l'adversaire .
                        .
                        je crois pas que Obama va impliquer directement l administration américaine en Syrie ..
                        Il joue un jeu flou ...
                        Politiquement , il est entrain de séparer le grain de l Ivraie ( les pays qui soutiennent le terrorisme dans le monde entier ..11/9 NY ,BenGhazi , 11/9 Boston , ) vu aussi sa dernière déclaration à Boston : nous devrons combattre le terrorisme transfrontalier ..
                        Donc , je ne vois pas l utilité de son intervention en Syrie SOUS le sceau du mensonge comme ce fut en Irak ..ou bien sous le droit d ingérence humanitaire ??
                        En gros .. la guerre n'a pas commencé aujourd'hui .. elle a commencé depuis 2 ans ...
                        .
                        ça n échappe à personne
                        l armée syrienne est face aux mangeurs d organes , ainsi une lutte farouche contre la chair à canon financé par les pays du golf ...
                        Abdelhakim Belhadj le libyen en sait trop , puisque lui , le pourvoyeur de ces faibles d esprit en Syrie ...d autres chair à canon en grand nombre de la Belgique ..
                        A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                        • #13
                          Envoyé par k735
                          cet erudit de journaleux fait ses supposition qui sont tout faux, les ameeicains ne sont pas fois pour detruire les armes chimiques a coup de bombes, il est clair que l'objectif serait de renverser le cours de la guerre en immobilsant l'aviation et detruisant quelques objectifs et unites , securiser les sites d'armes chimique,
                          par quels moyens? a qui sera confiee cette charge?
                          ce qui est sure l'intervention n'abrogera pas la guerre, elle la fera durer et pour longtemps
                          Admettons ce que tu dis est vrai. Comment peuvent-ils savoir que sur un site donné y a pas de réservoirs d'armes chimiques ? Et en cas d'erreur peuvent-ils se justifier par la théorie des dommages collatéraux alors que des vies humaines périssent par milliers ? Comment peut-on prétendre punir un acte criminel par des actes encore plus atroces et horribles ?

                          Et si c'est Bachar qui est visé par l'attaque éclaire, pourquoi ce dernier n'utiliserait pas encore plus de gaz dans un acte ultime avant de rendre l'âme puisqu'il est considéré comme un criminel ? Encore une fois, comment exprimer de la peine pour 1300 morts et s'en foutre des 20 000 voire plus de victimes qui seront massacrés si on admet bien sûr que c'est Bachar qui aurait commis le premier massacre.

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                          • #14
                            Zen tu lui en poses trop de questions

                            les arguments du voleur qui crie au voleur sont d une telle inconsistance que ca fini par faire pschiiit
                            The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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