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**oudjda** · 28 août 2013, 17h31

Les origines des tirailleurs

De 1857 à 1905, les régiments de tirailleurs furent constitués d’esclaves affranchis rachetés par les Français à leurs maîtres africains. Ces effectifs furent progressivement renforcés d’apports de prisonniers de guerre et de volontaires. Vers la fin du XIXe siècle, des membres des classes dirigeantes traditionnelles africaines intégrèrent le corps comme sous-officiers. Les tirailleurs étaient loin d’être tous des Sénégalais. Ils venaient de l’ensemble des colonies françaises d’Afrique. Les ethnies Bambara et Toucouleur étaient très bien représentées.
Après 1905, les Tirailleurs prirent une importance plus grande avec le besoin de forces de police efficace sur l’immense territoire africain sous administration française pour faire face aux problèmes d’insécurité liés à des révoltes sporadiques.
A la veille de la première guerre mondiale, il y avait deux unités de tirailleurs sénégalais en Algérie, treize au Maroc dont les spahis sénégalais qui devaient participer plus tard à la guerre du Rif en 1925. Ce fut pendant les deux guerres mondiales que le régiment des tirailleurs sénégalais (RTS) acquit sa célébrité.
En 1914, on comptait 14.000 tirailleurs sénégalais en Afrique de l’Ouest et 15.000 à l’extérieur, principalement au Maroc. Six bataillons furent immédiatement dépêchés en France à la mobilisation pour la Première Guerre Mondiale où ils furent engagés sur le Front dès le début des combats.
Beaucoup d’officiers généraux français de la Première Guerre Mondiale ont commencé leur carrière comme officier dans les tirailleurs sénégalais, à commencer par les Maréchaux Joffre, Gallieni ou encore le Général Mangin. Ce dernier en avait d’ailleurs tiré un ouvrage intitulé La Force Noire, dans laquelle il faisait l’apologie des troupes africaines avec toutefois des arguments qui sentait bon le racisme.

Dès les débuts du Protectorat de la France sur le Maroc, des unités de tirailleurs sénégalais participèrent aux opérations militaires contre les tribus qui résistaient à la pénétration française. Après s'être illustrés sur les champs de bataille européens de la Première Guerre mondiale, des régiments de tirailleurs sénégalais prirent de nouveau une part active aux opérations de «pacification», jusqu'en 1934. Durant la Seconde Guerre mondiale, des troupes sénégalaises tenaient toujours garnison au Maroc dont les bataillons étaient répartis dans les villes de Fès, Casablanca et Marrakech. Le 6e RTS participera ensuite à la libération de la France au sein de la 9e division d'infanterie coloniale.

Tabount de Ouarzazate et ses tirailleurs sénégalais

Après la Seconde Guerre mondiale, une unité de Tirailleurs Sénégalais fut cantonnée à Ouarzazate. Ces militaires africains avaient la particularité d’avoir avec eux leur femme et enfants qui demeuraient à Tabount, petit douar à l'époque sur la rive opposée de l'oued Ouarzazate.
A l’Indépendance, plusieurs choisirent l’Armée Royale Marocaine, d’autre la vie civile et firent souche à Tabount. Beaucoup regagnèrent leurs pays (Sénégal, Mali, Niger, Guinée) pour intégrer leurs armées nationales respectives lors des indépendances.
wiki

Lors de la Première Guerre mondiale

De nombreux Africains sont morts sur les champs de bataille français de la Première Guerre mondiale. Jacques Chirac, en tant que président de la république française, dans son discours pour le 90e anniversaire de la bataille de Verdun, a évoqué 72 000 combattants de l’ex-Empire français morts entre 1914 et 1918, « fantassins marocains, tirailleurs sénégalais tunisiens, algériens, soldats de Madagascar, d’Océanie, d’Indochine (Cochinchine, tirailleurs anamites).. Marsouins d’infanterie de marine »

Pendant la Seconde Guerre mondiale

Comme lors du précédent conflit, la France utilise pendant la Seconde Guerre mondiale les colonies comme réservoir d’hommes pour son armée. Et tout comme lors de la Première Guerre mondiale, ils sont accusés d’exactions par les Allemands. C’est d’ailleurs pour avoir voulu protéger une de ces unités que Jean Moulin est arrêté, en juin 1940.
En France se trouve un cimetière militaire le Tata sénégalais, à Chasselay département du Rhône, où fut perpétré par les armées nazies le massacre de l’une de ces unités. Eveline Berruezo et Patrice Robin en ont fait un film en 1992, intitulé "Le Tata".
Le 2 décembre 1944, quelques dizaines de tirailleurs sénégalais sont massacrés par l’armée française au camp de Thiaroye au Sénégal. Ousmane Sembène en a fait un film en 1988, intitulé Camp de Thiaroye.

**oudjda** · 28 août 2013, 17h33

j'ai choisis maudires parecque comem aujourd’hui les mercenaire font le sale boulot,
plus les massacres, viol, ils etaient utiliser pour matter leur propre peuple et aller massacrer d'autre peuple
faire une guerre qui n'ont rien avoir la dedans
pour moi donc sont des mercenaires, harki a maudire

ils cherche etre glorifier ou leur donner un statut par ceux qu'ils les ont engagés
si je me trompe, c'est que je veux apprendre

**Avucic** · 28 août 2013, 18h32

Malheureusement leurs maîtres n'ont cessé de les glorifier.
La France avait donné carte blanche aux africains qu'elle recrutait pour mater la Révolution algérienne.
Elle leur a même promis des terres en Algérie une fois qu'ils auraient aidé à vaincre l'ALN.

Résultats qu'on connaît: Le France n'a pas de quoi être fière, et encors moins de les glorifier.

**oudjda** · 28 août 2013, 18h48

merci avucic
c'est ce qui est passer au maroc de meme, utiliser ces mercenaire pour tuer et massacrer les tribus berber,
resultat un sentiment de haine envers les noirs qui est rester dans regner dans beaucoup de region berber, jusqu peu de temps c'etait interdit de ce marier avec les noirs
un racisme que je ne veux pas justifier mais il faut chercher d'ou il est venu
les berber n'ont jamais connu ce comportement d'escalavage ni de blanc ni de noir
par contre les arabes et les occidentaux oui

la france a meme les fait installer dans des region berber, alors tu verra un patelin des noirs de peaux au milieux de tribus barber blanc de peau
ou des une minorité arabophone au milieux des regions berberophne

il faut aller demander au européens Allemagne,Italie ou d'autre pays ce qi'il ont fait les africains dont les maghrébins ce qu'ils ont fait comme crime de viol aux femmes
les films et documentaire aussi" indigène" ne raconte pas toute l’histoire

**zen.man** · 28 août 2013, 19h16

Il faut être un mercenaire pour glorifier les mercenaires.

**oudjda** · 29 août 2013, 12h10

est ce qu’il ya une option dans le sondage "vote obligatoire"
pour l'ajouter

**oudjda** · 29 août 2013, 19h00

c'est quoi en boycote???
pour une fois qu'il ya un vote libre et 100% transparent
yallah 1000 dn pour chacun et chacune qui vote bien

**ernestito** · 30 août 2013, 10h34

La tu confonds deux choses différentes:
Les mercenaires, et des soldats souvent recruté de force lors de la colonisation.
Les mercenaires ne font pas parties de l'armée, ils choisissent le camps qu'ils veulent et se vendent aux plus offrants.

TOut ce que tu viens de citer, ils faisaient partie de l'armée coloniale francaise, et souvent n'avaient pas le choix, dixit les tirailleurs algériens et sénégalais. et en maudissant les tirailleurs algériens tu maudit des milliers d'algériens et énormément de moujahides.

DOnc ton sondage aurait été valable si tu parlais des vrais mercenaires comme l'Executive Outcomes, DynCorp Blackwater, Erinys ou Aegis.

**oudjda** · 30 août 2013, 12h20

merci ernestito
j'ai chercher un peu sur ces exexcutifs, j'ai apris beaucoup de choses;
en meme temps ca na fait que renforcé notre idée que ces tirailleur , goumier spahis ou autre de l'afrique et du monde qui travailler pour leur colonisateurs
sont effectivement des mercenaires et des harkis , loin de les placé u meme titre que les glorieux rebelles combattants et moujahidines

la france les utiliser dans les pays du maghreb comme ailleur en afrique et dans le monde, de meme ce qu'ils ont fait leur homologues colonisateurs, anglais , espagnols

certes certains etaient obligé comme des escalves, mais la plupart ont fait ce sale boulot par leur propre decisions et pour leur interets personnel et celui des colonisateurs

les executifs que tu as citer ,n'ont fait que le meme strategie et pratique que les colonsiateurs ont fait pour recruter les mercenaires en afrique, maroc, algerie,,,,
y'avait des organisme spécialisé de recrutement, puis les entrainement et puis (au sale boulot) ,

ils serviraient bien les colonisateurs, et non leur propre pays et leur propre peuple, un instru

c'est comme j'ai vu quelque part un documentaire ou un film qui montre qu'il y'avait bien des juifs qui travailler pour les nazi avec les nazi dans les camps de concentration avec leur propre envie pas par obligation

**oudjda** · 30 août 2013, 12h20

a lire:
des unités de tirailleurs sénégalais participèrent aux opérations militaires contre les tribus qui résistaient à la pénétration française.

-les Tirailleurs prirent une importance plus grande avec le besoin de forces de police efficace sur l’immense territoire africain sous administration française pour faire face aux problèmes d’insécurité liés à des révoltes

-les spahis sénégalais qui devaient participer plus tard à la guerre du Rif en 1925.

-Les tirailleurs algériens et tunisiens1, appelés aussi Turcos, étaient des unités d’infanterie appartenant à l'Armée d'Afrique qui dépendait de l’armée de terre française. Ces unités à recrutement majoritairement indigène (70-90 % selon les époques) venues d'Algérie française et du Protectorat de Tunisie2 ont existé de 1842 à 1964.Avant 1842, les indigènes d'Algérie étaient recrutés chez les zouaves.

-Le recrutement des zouaves est rapidement (octobre 1830) ouvert aux colons européens d'Algérie.

-Le Progrès colonial exultait à l'époque : « Pour la deuxième fois en vingt-cinq ans, des gens de couleur ont répondu à l'appel de la France sans plaintes ni murmures mais avec l'enthousiasme qui témoigne de leur loyauté ».

**ernestito** · 30 août 2013, 13h11

en meme temps ca na fait que renforcé notre idée que ces tirailleur , goumier spahis ou autre de l'afrique et du monde qui travailler pour leur colonisateurs
sont effectivement des mercenaires et des harkis , loin de les placé u meme titre que les glorieux rebelles combattants et moujahidines

Sais tu au moins que bcp de moujahids étaient au coté de l'armée francaise durant la seconde guerre mondiale, sais tu que bcp de sénégalais etaient enrolés de force ou très tôt.

Un mercenaire c'est quelqu'un qui choisit de l'être et est payé pour. Un gourmi, un tirailleur sénégalais souvent n'avait pas le choix.

**oudjda** · 30 août 2013, 13h39

pour quelque personne en rollé, deja la preuve qu'il ya u recrutement et la en itulise tout les moyens, et ca ne veut pas dire que tous etaient trompé ou en roulé

je sais que beaucoup de moujahidne etaient des harki et mercenaires, et ils ont deserté et retourné a leur origine
si ce n'etaient pas des traitre merceanire et harki pourquoi deserté et abandoné et ceux qui ont resté avecl'armé colonisateurs on les nomes bien des harkis et traitres.

ca reste la meme chose, mercenaire reste un mecenaires, ou comment les allemands voit les ces africains debarque chez eux pour les tuers
comment voit les syriens ces mercenaire (moujahidines)debarque chez eux,
comment nous pouvons regarder aux senegalais tuer les berbers pour le compte des francais
comment les italiens voient ces goumier et nord africains débarquer chez eux les tuers et violer leur femmes et filles

si quelque'un quite le camps des francais et colonisateurs c'est qu'ils etaient en roulé et devient un moujahid dans le bon camp

omar ibn khattab etaient kafir, et tuer sa propre fille, ca na pas empêcher qu'il devient un grand kalif des musulmans

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Guerre Mondiale: les mercenaires faut-il les glorifiés ou bien les maudires ?

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