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BATNA- La commune de Merouana (Batna) a commémoré, jeudi, dans le recueillement, le 54ème anniversaire de la mort de la Chahida Ziza Massika, en présence d’un grand nombre de moudjahidine et de citoyens.
Une cérémonie de recueillement à la mémoire des chouhada de la guerre de libération a été organisée à cette occasion au cimetière des martyrs avant la tenue d’une conférence au CEM de la ville, marquée par l’intervention du secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale de moudjahidine (ONM), M. Messaoud Abid.
M. Messaoud Abid a évoqué la vie et les qualités morales de Ziza Massika, de son vrai nom Ziza Sakina, et dont le combat reflète la ferme détermination du peuple algérien à se défaire du joug colonial et recouvrer sa liberté.
Née le 28 janvier 1934 à Merouana, Massika a fait ses études primaires dans sa ville natale avant de les poursuivre à Sétif puis à Batna où elle décrocha son baccalauréat en 1953.
Après la grève des étudiants algériens, en 1956, elle rejoignit les rangs de l’Armée de libération nationale aux côtés de Leila Bouchaoui et de Meriem Bouattoura, dans les maquis de la wilaya II où elle fut aux côtés de Dr. Lamine Khane jusqu’à sa mort en martyre, le 29 août 1959, à l’âge de 25 ans lors d’un bombardement de l’armée coloniale.
aps
Une cérémonie de recueillement à la mémoire des chouhada de la guerre de libération a été organisée à cette occasion au cimetière des martyrs avant la tenue d’une conférence au CEM de la ville, marquée par l’intervention du secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale de moudjahidine (ONM), M. Messaoud Abid.
M. Messaoud Abid a évoqué la vie et les qualités morales de Ziza Massika, de son vrai nom Ziza Sakina, et dont le combat reflète la ferme détermination du peuple algérien à se défaire du joug colonial et recouvrer sa liberté.
Née le 28 janvier 1934 à Merouana, Massika a fait ses études primaires dans sa ville natale avant de les poursuivre à Sétif puis à Batna où elle décrocha son baccalauréat en 1953.
Après la grève des étudiants algériens, en 1956, elle rejoignit les rangs de l’Armée de libération nationale aux côtés de Leila Bouchaoui et de Meriem Bouattoura, dans les maquis de la wilaya II où elle fut aux côtés de Dr. Lamine Khane jusqu’à sa mort en martyre, le 29 août 1959, à l’âge de 25 ans lors d’un bombardement de l’armée coloniale.
aps