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Après le « dénouement » de la crise au Front de libération nationale (FLN) ayant débouché sur le plébiscite de l’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN) Amar Saâdani, les regards des observateurs sont maintenant braqués sur son frère siamois, le Rassemblement national démocratique (RND), qui, lui aussi, connait des remous depuis plusieurs mois. C’est que, les deux faces d’une même médaille, le FLN et le RND, partis du pouvoir, ont le destin intimement lié. C’est-à-dire conçus pour une même finalité : servir d’instrument entre les mains de ceux qui tiennent les rênes du pays pour asseoir leur pouvoir.
Et parce que la fin de la récréation signifiée aux différents camps et caciques qui se crêpent le chignon pour assurer le contrôle de la redoutable machine électorale qu’est le FLN s’inscrit dans une stratégie liée à la présidentielle d’avril 2014, la grande agitation qui a gagné ces derniers temps le RND se dégonflera, dans les jours à venir, comme un ballon de baudruche.
Il faut se rafraîchir la mémoire : la démission forcée d’Ahmed Ouyahia en sa qualité de secrétaire général du RND, en janvier dernier, à la suite d’une fronde de certains des dirigeants du parti menés par Yahia Guidoum, a été immédiatement suivie d’une destitution en règle de Abdelaziz Belkhadem de son poste de secrétaire général du FLN. Aussi, la crise traversée par le RND connaitra la même issue que celle du FLN. Et il n’est pas exclu qu’un scénario similaire à celui du FLN soit concocté pour le RND pour désigner à sa tête le remplaçant d’Ahmed Ouyahia. Deux hypothèses sont à retenir. La première est que la date du congrès du RND prévu pour décembre prochain sera avancée pour profiter de l’effet-surprise créé par la tournure prise par les évènements au sein du FLN et aller vite en besogne.
La seconde hypothèse est que le congrès se tiendra à la date prévue tout en enjoignant aux « fauteurs de trouble » à mettre de l’eau dans leur vin. Il n’est pas exclu que, échaudés par le scénario mené de main de maître pour imposer à la tête du FLN un homme comme Amar Saâdani, Yahia Guidoum et ses amis, qui voulaient forcer la main à Bensalah pour remercier tous les cadres proches de l’ancien secrétaire général, se rendent compte de l’inanité de leur action et, par conséquent, se tiennent à carreaux. Au FLN comme au RND, par discipline ou par « pusillanimité », on n’a pas pour tradition politique de contester les décisions venues d’en haut. Une chose est sûre : le secrétaire général par intérim Abdelkader Bensalah aura désormais la tâche facile.
par Ali chikhi le roporters dz
Et parce que la fin de la récréation signifiée aux différents camps et caciques qui se crêpent le chignon pour assurer le contrôle de la redoutable machine électorale qu’est le FLN s’inscrit dans une stratégie liée à la présidentielle d’avril 2014, la grande agitation qui a gagné ces derniers temps le RND se dégonflera, dans les jours à venir, comme un ballon de baudruche.
Il faut se rafraîchir la mémoire : la démission forcée d’Ahmed Ouyahia en sa qualité de secrétaire général du RND, en janvier dernier, à la suite d’une fronde de certains des dirigeants du parti menés par Yahia Guidoum, a été immédiatement suivie d’une destitution en règle de Abdelaziz Belkhadem de son poste de secrétaire général du FLN. Aussi, la crise traversée par le RND connaitra la même issue que celle du FLN. Et il n’est pas exclu qu’un scénario similaire à celui du FLN soit concocté pour le RND pour désigner à sa tête le remplaçant d’Ahmed Ouyahia. Deux hypothèses sont à retenir. La première est que la date du congrès du RND prévu pour décembre prochain sera avancée pour profiter de l’effet-surprise créé par la tournure prise par les évènements au sein du FLN et aller vite en besogne.
La seconde hypothèse est que le congrès se tiendra à la date prévue tout en enjoignant aux « fauteurs de trouble » à mettre de l’eau dans leur vin. Il n’est pas exclu que, échaudés par le scénario mené de main de maître pour imposer à la tête du FLN un homme comme Amar Saâdani, Yahia Guidoum et ses amis, qui voulaient forcer la main à Bensalah pour remercier tous les cadres proches de l’ancien secrétaire général, se rendent compte de l’inanité de leur action et, par conséquent, se tiennent à carreaux. Au FLN comme au RND, par discipline ou par « pusillanimité », on n’a pas pour tradition politique de contester les décisions venues d’en haut. Une chose est sûre : le secrétaire général par intérim Abdelkader Bensalah aura désormais la tâche facile.
par Ali chikhi le roporters dz