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Le sondage Reuters/Ipsos publié cette semaine, révèle que seul 9% des américains soutiennent l’intervention armée de leur pays en Syrie. C’est le plus faible taux d’opinion favorable à une intervention de l’armée américaine depuis le début du conflit en Syrie, il y a deux ans. Le sondage a été réalisé entre le 19 et le 23 août denrier. Cette même semaine, la presse internationale révélait que Bashar al-Assad avait vraisemblablement eu recours à l’utilisation d’armes chimiques dans son combat contre l’opposition, tuant ainsi des milliers de civils et portant le bilan de ces deux dernières années de conflit au delà des 100.000 victimes.
60% des sondés s’opposent catégoriquement à une quelconque intervention militaire, tandis que les 31% restant demeurent relativement évasifs, s’exprimant ainsi de manière neutre ou sans avis tranché. 25% des personnes interrogées affirment se porter en faveur d’un arbitrage américain si tant est que les preuves officielle de l’utilisation d’armes chimiques seraient avancées. Un scénario qui rappel étrangement l’atermoiement des Américains à la veille de la guerre en Iraq en 2002-2003.
Cette semaine, de John Kerry à Barack Obama lui-même, l’administration s’est longuement expliquée sur la stratégie militaire et politique qu’elle comptait adopter en cas d’intervention. Il s’agirait pour les Etats-Unis de se limiter à une série de frappe ciblées. Pour se faire, le recours aux missiles de croisières et aux forces aériennes ont été lourdement suggérés par les experts de la défense.
Le but principal de l’administration Obama est de soutenir militairement l’opposition au président Bashar al-Assad et de limiter les pertes civils. Par ailleurs, les Etats-Unis et leurs alliés européens, ont vivement exprimé leur souhait d’intervenir pour condamner sévèrement le recours aux armes chimiques.
Mathilde Vert Medeiros – France USA Media.
60% des sondés s’opposent catégoriquement à une quelconque intervention militaire, tandis que les 31% restant demeurent relativement évasifs, s’exprimant ainsi de manière neutre ou sans avis tranché. 25% des personnes interrogées affirment se porter en faveur d’un arbitrage américain si tant est que les preuves officielle de l’utilisation d’armes chimiques seraient avancées. Un scénario qui rappel étrangement l’atermoiement des Américains à la veille de la guerre en Iraq en 2002-2003.
Cette semaine, de John Kerry à Barack Obama lui-même, l’administration s’est longuement expliquée sur la stratégie militaire et politique qu’elle comptait adopter en cas d’intervention. Il s’agirait pour les Etats-Unis de se limiter à une série de frappe ciblées. Pour se faire, le recours aux missiles de croisières et aux forces aériennes ont été lourdement suggérés par les experts de la défense.
Le but principal de l’administration Obama est de soutenir militairement l’opposition au président Bashar al-Assad et de limiter les pertes civils. Par ailleurs, les Etats-Unis et leurs alliés européens, ont vivement exprimé leur souhait d’intervenir pour condamner sévèrement le recours aux armes chimiques.
Mathilde Vert Medeiros – France USA Media.
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