Le calvaire touche à sa fin pour Sacha Doligé et Pascal Gaillères. Les deux hommes, bloqués au Maroc à cause d'un haut fonctionnaire véreux qui leur avait confisqué leurs papiers, sont rentrés mercredi à Nogaro.
Sacha Doligé, origniaire du Loiret, et Pascal Gaillères, de Nogaro, s'était installé au Maroc en 2006, où il avait créé une société de rénovation de ryads près de Taroudant. L'entreprise a prospéré et les deux hommes ont employé jusqu'à 70 personnes. Dans le même temps, ils ont lancé une fondation caritative visant notamment à scolariser les enfants du pays.
Leur rêve s'est transformé en cauchemar quand un haut fonctionnaire local leur a commandé des travaux. Il ne leur a payé que la moitié de ce qu'il leur devait et demandé à ce qu'ils fassent d'autres travaux, ce qu'ils ont refusé. Cette affaire de gros impayé les a entraînés dans la spirale négative. Leur passeport leur a été confiqué, ils ont dû licencier leurs 70 salariés et se sont retrouvés SDF.
En avril dernier, ils ont été condamnés, après 11 reports, à deux mois et demi de prison et 1000 euros d'amende pour la vente, qu'ils contestent, d'un terrain non constructible.
Les deux hommes sont finalement rentrés à Nogaro mercredi.
Sacha Doligé, origniaire du Loiret, et Pascal Gaillères, de Nogaro, s'était installé au Maroc en 2006, où il avait créé une société de rénovation de ryads près de Taroudant. L'entreprise a prospéré et les deux hommes ont employé jusqu'à 70 personnes. Dans le même temps, ils ont lancé une fondation caritative visant notamment à scolariser les enfants du pays.
Leur rêve s'est transformé en cauchemar quand un haut fonctionnaire local leur a commandé des travaux. Il ne leur a payé que la moitié de ce qu'il leur devait et demandé à ce qu'ils fassent d'autres travaux, ce qu'ils ont refusé. Cette affaire de gros impayé les a entraînés dans la spirale négative. Leur passeport leur a été confiqué, ils ont dû licencier leurs 70 salariés et se sont retrouvés SDF.
En avril dernier, ils ont été condamnés, après 11 reports, à deux mois et demi de prison et 1000 euros d'amende pour la vente, qu'ils contestent, d'un terrain non constructible.
Les deux hommes sont finalement rentrés à Nogaro mercredi.
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