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Rentrée scolaire 2013/2014 : À Béjaïa, on table sur des classes à 22 élèves

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  • Rentrée scolaire 2013/2014 : À Béjaïa, on table sur des classes à 22 élèves

    La rentrée scolaire 2013/2014 est fixée, officiellement, au dimanche 8 septembre en Algérie.

    Selon les chiffres de la cellule de communication de la direction de l’Éducation de la wilaya de Béjaïa, pas moins de 194 623 élèves, tous paliers confondus, rejoindront leur classe à cette date. Concernant l’enseignement primaire, ils seront 88 005 élèves répartis sur 4 025 divisions, soit une moyenne de 21 à 22 élèves par classe.


    Pour ce qui est des élèves d’enseignement moyen, le nombre moyen d’élèves par classe sera de 25 à 26 éléments, puisque le nombre total d’élèves attendus est 62 499 pour 2 433 divisions pédagogiques.

    S’agissant des lycées, les professeurs seront aussi à l’aise dans leurs classes puisque le nombre moyen d’élèves par division, toujours selon les données fournies par la DE, ne dépassera pas 30 à 31 éléments, vu que le nombre d’élèves est de 44 119 alors que celui des divisions pédagogiques est de 1 436.
    Si ces moyennes d’élèves par classe se confirment sur le terrain, elles ont de quoi réjouir les enseignants et les parents d’élèves. Car, il n’y a pas très longtemps, ces chiffres dépassaient allégrement la moyenne de 45 élèves par classe, voire même la barre de 50 dans certains lycées. Les 21 à 22, les 25 à 26 et les 30 à 31 élèves par classe ne constituent évidemment des moyennes, ce qui veut dire qu’il existe encore sûrement, dans chaque palier, des classes pratiquement vides, avec à peine une dizaine d’élèves, et des classes encore surchargées où le nombre d’élèves avoisine facilement la cinquantaine.

    Cela pourrait s’expliquer par le fait que dans certaines régions, le rythme des constructions des établissements scolaires n’a pas suivi celui de l’évolution de l’effectif des élèves, pour cause de manque d’inscription de projet ou d’absence de terrain d’assiette comme cela était le cas à Feraoun où il a fallu attendre 2013 pour poser la première pierre d’un lycée, dont la construction devait commencer en 2006, soit 7 ans de retard. Le même problème est en train de se poser dans la commune d’Ighram, dans la daïra d’Akbou, où le wali en se rendant sur place n’a pas pu poser la première pierre d’un lycée au motif que le P/APC de la commune n’a pas encore trouvé terrain qui peut convenir à la réalisation d’un lycée.

    B. Mouhoub.- la dépêche de kabylie
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