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Agence Ecofin) - Le secteur pétrolier libyen est dans le creux de la vague avec un niveau de production qui a chuté à 100 000 bpd, en-deçà d’un niveau jugé critique il y a quelques semaines.
Jusque-là, la production, en déclin, avoisinait tout de même 150 000 bpd, en-dessous du dixième de la capacité de la Libye avant la révolution. La commission énergie de l’Assemblée nationale est même allée jusqu’à faire état de presqu’un « niveau zéro » de production.
Trois terminaux d’exportation Marsa Brega, Jurf et Bouri seraient les seuls en activité dans ce pays qui n’exporterait plus que 80 000 bpd.
Selon l’agence Reuters citant un officiel ayant requis l’anonymat, deux cargos en attente de chargement au port de Hariqa dans l’extrême-est de la Libye peineraient à être ravitaillés en pétrole brut à partir des champs pétroliers qui sont fermés
Jusque-là, la production, en déclin, avoisinait tout de même 150 000 bpd, en-dessous du dixième de la capacité de la Libye avant la révolution. La commission énergie de l’Assemblée nationale est même allée jusqu’à faire état de presqu’un « niveau zéro » de production.
Trois terminaux d’exportation Marsa Brega, Jurf et Bouri seraient les seuls en activité dans ce pays qui n’exporterait plus que 80 000 bpd.
Selon l’agence Reuters citant un officiel ayant requis l’anonymat, deux cargos en attente de chargement au port de Hariqa dans l’extrême-est de la Libye peineraient à être ravitaillés en pétrole brut à partir des champs pétroliers qui sont fermés