Un ex-responsable au Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat GSPC, ayant rejoint sa famille après avoir bénéficié des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale, a relevé que les dirigeants actuels accusent Hassan Hattab, l’ex-chef du GSPC, de vol des fonds du groupe après sa démission en 2003, il a par ailleurs précisé que plusieurs personnes appréhendent d’aborder le sujet de la réconciliation par crainte d’élimination physique.
Mr Amer Saïdi, nommé Billal al Oualbani, un ex-responsable chargé de la communication interne et externe auprès du GSPC, a noté que lorsque le conseil des notables a été notifié pour la première fois afin de connaître de la démission de Hattab, il lui a demandé de rendre les fonds saccagés et détournés par le groupe or ce dernier a quitté sans laisser la trace du « trésor ».
Dans un entretien, Saïdi a déclaré qu’il n’a aucune idée sur les fonds en possession de Hattab, et ne sais pas non plus s’ils ont été investis dans des projets. Il est a indiquer que Hattab a été aux prises avec les dirigeants du groupe après avoir quitté le commandement, après avoir été accusé de vouloir coopérer avec les autorités dans le cadre de la réconciliation, il s’est défendu en déclarant : « les dirigeants se sont écarté des principes de la Charïa ».
Pour rappelle, notre interlocuteur a été dépêché au Niger, à la demande du chef du Désert, qui avait besoin de renforcements humains. Saïdi a indiqué : « nous commandions une brigade baptisé « les voilés » qui comptait quelque 35 personnes activant entre le Mali, le Niger et les frontières avec la Mauritanie, et qui fréquentait les tribus du Sahara en vue d’achat des armes ». Quant à la source de ses dernière Saïdi a révélé : « les tribus armés travaillaient avec des complices de l’armé malienne et nigérienne, qui insinuaient les armes pour une rémunération financière ».
- Al Khabar
Mr Amer Saïdi, nommé Billal al Oualbani, un ex-responsable chargé de la communication interne et externe auprès du GSPC, a noté que lorsque le conseil des notables a été notifié pour la première fois afin de connaître de la démission de Hattab, il lui a demandé de rendre les fonds saccagés et détournés par le groupe or ce dernier a quitté sans laisser la trace du « trésor ».
Dans un entretien, Saïdi a déclaré qu’il n’a aucune idée sur les fonds en possession de Hattab, et ne sais pas non plus s’ils ont été investis dans des projets. Il est a indiquer que Hattab a été aux prises avec les dirigeants du groupe après avoir quitté le commandement, après avoir été accusé de vouloir coopérer avec les autorités dans le cadre de la réconciliation, il s’est défendu en déclarant : « les dirigeants se sont écarté des principes de la Charïa ».
Pour rappelle, notre interlocuteur a été dépêché au Niger, à la demande du chef du Désert, qui avait besoin de renforcements humains. Saïdi a indiqué : « nous commandions une brigade baptisé « les voilés » qui comptait quelque 35 personnes activant entre le Mali, le Niger et les frontières avec la Mauritanie, et qui fréquentait les tribus du Sahara en vue d’achat des armes ». Quant à la source de ses dernière Saïdi a révélé : « les tribus armés travaillaient avec des complices de l’armé malienne et nigérienne, qui insinuaient les armes pour une rémunération financière ».
- Al Khabar
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