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Près de 5000 algériens vivent clandestinement en Suisse

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  • Près de 5000 algériens vivent clandestinement en Suisse

    PAS MOINS DE 500 ALGERIENS EN PRISON POUR TRAFIC DE DROGUE


    Près de cinq mille algériens vivant sans papier sur le sol Suisse font l’objet d’une traque sans merci par la police Suisse dont plus de 20 suspects ont été interpellés au mois d’aout dernier, pour plusieurs délits de violence contre des citoyens suisses, et trafic de drogue notamment la « Marijuana » selon de source concordante.

    Beaucoup d’algériens se sont intégrés dans des réseaux maffieux de trafic de drogue colombienne. Pas moins de 500 algériens croupissent dans les prisons suisses pendant des années alors que vingt autres ont fait l’objet d’arrestation au mois d’aout et juillet dernier pour les rejoindre selon la même source. La majorité est impliquée dans le trafic de drogue et la violence à l’encontre des citoyens suisses. Des réseaux albanais, gambiens et maliens utilisent ces Harraga algériens pour le trafic et la commercialisation de toutes sortes de drogue notamment la plus convoitée, la « Marijuana » importée de Colombie selon la même source. La plupart des sans-papiers ont atterri en Suisse, par le biais de la « Harga » et se trouvent en situation irrégulière, sans le moindre espoir qu’ils soient régularisés un jour. Pour faire face aux conditions de vie souvent difficiles, beaucoup d’entre eux ont choisi de s’intégrer dans des réseaux maffieux de trafic de drogue notamment la Marijuana, l’une des drogues les plus convoitée dans le monde et qui se cultive en Amérique Latine plus particulièrement en Colombie selon la même source. La traque par les services de sécurité dans ce pays des sans-papiers a permis l’arrestation de pas moins de 20 algériens en aout dernier impliqués dans plusieurs délits à savoir, le trafic de drogue, violence, vol par effraction. La plupart des suspects arrêtés, sont de jeunes individus algériens dont l’âge varie entre 17 et 33 ans venus de plusieurs régions d’Algérie et de France ajoute la même source. Ces Harraga vivent dans des conditions difficiles voire intenable du fait qu’ils ne possèdent aucun document, ni carte de séjour pour leur permettre d’avoir un emploi, un logement enfin d’avoir tout simplement leurs droits civiques dans ce petit pays d’Europe. Cette situation insupportable, les a rendus une proie facile entre les mains de réseaux maffieux de trafic de drogue. La même source précise qu’un jeune algérien âgé de 30 ans arrivant de France, a été interpellé en Suisse en possession de 5.8 grs de Marijuana, et que l’enquête a déterminé qu’il était en relation avec un réseau albanais de trafic de drogue. Le 25 aout dernier, un autre algérien âgé de 28 ans a été interpellé par la police en possession de 12 grs de Marijuana, dissimulés dans ses chaussures après une minutieuse opération de surveillance. Le 13 aout dernier, trois autres algériens âgés entre 32 et 38 ans ont été arrêtés par la police suite à une ronde routinière de la police. Ces trois individus dont le comportement suspect étaient en possession de faux documents d’identité précise toujours la même source. Le 19 aout dernier, deux autres algériens sans papiers en Suisse, âgés de 24 et 33 ans ont été interpellés par la police après avoir agressé une femme, volé son sac à main et s’enfuir ensuite. Le quatre aout dernier, deux autres algériens sans papiers de 28 et 48 ans ont été arrêtés dans une station de tramway en plein centre-ville à Genève après avoir volé un sac à main appartenant à une vieille femme. Fouillés, il a été trouvé en leur possession du kif dans les poches du premier, et de la Marijuana dans celles du second. Au mois de juillet dernier, et suite à un appel téléphonique d’un citoyen sur la présence de personnes suspectes qui étaient en train de cambrioler un domicile vers 10 heures du matin, deux jeunes algériens sans papiers se font arrêtés en flagrant délit après l’intervention de la police sur les lieux précise la même source.
    réflexion

  • #2
    5000..
    ce sont des chiffres officiels..?

    Commentaire


    • #3
      Je ne sais pas!
      La police genevoise estime qu’entre 300 et 400 clandestins maghrébins sont responsables de plus de 6000 délits depuis ces quatre dernières années. Des personnes non refoulables. Sur le principe, pourtant, tout est prévu: une fois la peine purgée à Champ-Dollon et la décision de renvoi prononcée par l’Office cantonal de la population, un officier de police décide d’une mise en détention administrative le temps d’organiser un vol de retour. Au Tribunal administratif de première instance (TAPI) de la confirmer ou pas. Dans la pratique, c’est moins simple.
      Genève est tributaire des accords de réadmission signés entre la Confédération et d’autres pays et pâtit des blocages avec l’Algérie. Beaucoup de délinquants œuvrant dans les rues genevoises prétendent venir de ce pays sans disposer de papiers d’identité. Dans ce cas, il revient à l’autorité d’effectuer un travail d’identification fastidieux avant de lancer une demande de réadmission. «Si l’on arrive à prouver que telle personne est issue de tel pays, celui-ci est tenu de le reprendre, même sans accord avec Berne», explique Laurent Paoliello, porte-parole du Département de la sécurité (DSPE). Encore faut-il que le principal intéressé accepte de monter dans l’avion. Si ce n’est pas le cas, on organise un vol avec escorte policière. S’il refuse encore, on lui prépare une expulsion de force, par vol spécial. Problème: l’Algérie y est opposée. (SRo)
      Tribune de Genève

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