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Bonsoir
Mais que se passe-t-il depuis quelque temps avec les frontaliers ? A Genève, la question a pris une tournure explosive et on a même vu apparaître ces jours-ci, sur les murs, des inscriptions "Dehors les 74".
Fait rarissime, le gouvernement a décidé de taper du poing sur la table, en dénonçant "la tournure insultante que prennent ces attaques".
Il n’empêche, dans ce canton qui se veut champion de l’ouverture, une partie de l’extrême gauche fait le lien entre chômage et frontaliers et le "Mouvement citoyen genevois" récolte des signatures pour un moratoire de deux ans dans l’octroi de permis frontaliers.
On entend ces mêmes critiques à l'encontre des frontaliers dans d’autres cantons frontières, comme le Jura ou Neuchâtel.
Et ce lundi matin encore, aux aurores, c'est le syndicat Unia qui a mené une opération de soutien aux frontaliers dans cinq postes frontières franco-genevois.
Alors, mouvement xénophobe ou expression d’un malaise social? Les frontaliers sont-ils les nouveaux bouc émissaires?
Mais que se passe-t-il depuis quelque temps avec les frontaliers ? A Genève, la question a pris une tournure explosive et on a même vu apparaître ces jours-ci, sur les murs, des inscriptions "Dehors les 74".
Fait rarissime, le gouvernement a décidé de taper du poing sur la table, en dénonçant "la tournure insultante que prennent ces attaques".
Il n’empêche, dans ce canton qui se veut champion de l’ouverture, une partie de l’extrême gauche fait le lien entre chômage et frontaliers et le "Mouvement citoyen genevois" récolte des signatures pour un moratoire de deux ans dans l’octroi de permis frontaliers.
On entend ces mêmes critiques à l'encontre des frontaliers dans d’autres cantons frontières, comme le Jura ou Neuchâtel.
Et ce lundi matin encore, aux aurores, c'est le syndicat Unia qui a mené une opération de soutien aux frontaliers dans cinq postes frontières franco-genevois.
Alors, mouvement xénophobe ou expression d’un malaise social? Les frontaliers sont-ils les nouveaux bouc émissaires?