Damas est favorable à l'offre de la Russie, qui a proposé de placer l'arsenal chimique syrien sous contrôle international, a confirmé mardi le Premier ministre Wael al Halki.
Cette mesure permettra "d'éviter un bain de sang", a-t-il déclaré, selon la télévision syrienne, évoquant la menace de frappes occidentales en représailles au bombardement à l'arme chimique du 21 août, que Washington et ses alliés imputent à l'armée syrienne.
Reuters
Cette mesure permettra "d'éviter un bain de sang", a-t-il déclaré, selon la télévision syrienne, évoquant la menace de frappes occidentales en représailles au bombardement à l'arme chimique du 21 août, que Washington et ses alliés imputent à l'armée syrienne.
Reuters
Commentaire