Selon le journal américain cbsnews, la Maison Blanche a déclaré que 14 pays supplémentaires se sont joints à la déclaration publiée vendredi en marge du G20, qui appellent à une «réponse internationale forte» en Syrie. Le Maroc en fait partie.
Selon l’exécutif américain, ces 14 pays accusent le président syrien Bachar Al-Assad d’avoir utilisé des armes chimiques contre son propre peuple, et appellent ainsi à une «réponse internationale forte».
En plus du Maroc, les autres signataires sont l’Albanie, l’Allemagne, la Croatie, le Danemark, les Emirats arabes unis, l’Estonie, le Honduras, la Hongrie, le Kosovo, la Lettonie, la Lituanie, le Qatar et la Roumanie, nous apprend cbsnews, qui cite la Maison Blanche.
Les pays qui ont initialement soutenu la déclaration sont, outre les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, l'Australie, le Canada, la Corée du Sud, l’Espagne, la France, l'Italie, le Japon, Royaume-Uni et la Turquie.
Dans cette déclaration, ces 11 pays condamnent «dans les termes les plus fermes l’horrible attaque par des armes chimiques dans les faubourgs de Damas le 21 août, qui a coûté la vie à tant d’hommes, de femmes et d’enfants».
«Les preuves mettent clairement en évidence la responsabilité du gouvernement syrien dans cette attaque», ont ajouté les signataires.
«Nous appelons à une réponse internationale forte à cette grave violation des règles et des valeurs en vigueur dans le monde, afin d'envoyer un message clair pour que ce genre d'atrocité ne se répète pas. Ceux qui ont commis ces crimes doivent en porter la responsabilité», rajoutent les signataires.
Il convient de noter que le Maroc s’est exprimé devant le Conseil des droits de l’Homme (CDH), lors du débat sur le rapport de la Haut-commissaire aux droits de l’Homme, lundi 10 septembre à Genève, par la voix de l’ambassadeur représentant permanent du Maroc à Genève, Omar Hilale.
La délégation marocaine, a indiqué le diplomate, «partage pleinement le constat de la Haut-commissaire au sujet du retard accusé par la communauté internationale pour entreprendre des actions conjointes sérieuses afin de mettre fin au cycle de violence en Syrie».
S’il est vrai que de nombreux pays réclament de «sanctionner l'usage d'armes chimiques», d’autres oscillent entre méfiance et hostilité quant aux velléités d'intervention occidentales. En plus de la Russie, allié indéfectible du régime de Bachar al-Assad, des pays comme la Chine, l’Inde, le Mexique, le Brésil, l’Argentine, l’Algérie, l’Afrique du Sud, l’Indonésie, affirment qu’une action militaire ne ferait qu'aggraver la situation.
media24
Selon l’exécutif américain, ces 14 pays accusent le président syrien Bachar Al-Assad d’avoir utilisé des armes chimiques contre son propre peuple, et appellent ainsi à une «réponse internationale forte».
En plus du Maroc, les autres signataires sont l’Albanie, l’Allemagne, la Croatie, le Danemark, les Emirats arabes unis, l’Estonie, le Honduras, la Hongrie, le Kosovo, la Lettonie, la Lituanie, le Qatar et la Roumanie, nous apprend cbsnews, qui cite la Maison Blanche.
Les pays qui ont initialement soutenu la déclaration sont, outre les Etats-Unis, l'Arabie Saoudite, l'Australie, le Canada, la Corée du Sud, l’Espagne, la France, l'Italie, le Japon, Royaume-Uni et la Turquie.
Dans cette déclaration, ces 11 pays condamnent «dans les termes les plus fermes l’horrible attaque par des armes chimiques dans les faubourgs de Damas le 21 août, qui a coûté la vie à tant d’hommes, de femmes et d’enfants».
«Les preuves mettent clairement en évidence la responsabilité du gouvernement syrien dans cette attaque», ont ajouté les signataires.
«Nous appelons à une réponse internationale forte à cette grave violation des règles et des valeurs en vigueur dans le monde, afin d'envoyer un message clair pour que ce genre d'atrocité ne se répète pas. Ceux qui ont commis ces crimes doivent en porter la responsabilité», rajoutent les signataires.
Il convient de noter que le Maroc s’est exprimé devant le Conseil des droits de l’Homme (CDH), lors du débat sur le rapport de la Haut-commissaire aux droits de l’Homme, lundi 10 septembre à Genève, par la voix de l’ambassadeur représentant permanent du Maroc à Genève, Omar Hilale.
La délégation marocaine, a indiqué le diplomate, «partage pleinement le constat de la Haut-commissaire au sujet du retard accusé par la communauté internationale pour entreprendre des actions conjointes sérieuses afin de mettre fin au cycle de violence en Syrie».
S’il est vrai que de nombreux pays réclament de «sanctionner l'usage d'armes chimiques», d’autres oscillent entre méfiance et hostilité quant aux velléités d'intervention occidentales. En plus de la Russie, allié indéfectible du régime de Bachar al-Assad, des pays comme la Chine, l’Inde, le Mexique, le Brésil, l’Argentine, l’Algérie, l’Afrique du Sud, l’Indonésie, affirment qu’une action militaire ne ferait qu'aggraver la situation.
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