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IRIB – Ce n'est pas la première fois : un rapport onusien ôte le voile à la situation déplorable des réfugiés syriens dans des camps de réfugiés à l'extérieur de la Syrie.
Selon la Chaîne Al-Alam qui cite le rapport, un grand nombre de réfugiés syriens hébergés à l'étranger guettent le moment de s'enfuir. Les femmes ne sont pas en sécurité dans des camps de réfugié ; or, les enfants sont victimes de harcèlement sexuel dans la foulée de la guerre civile.
Selon ce rapport interne des Nations Unies, les réseaux de crimes organisés sont en action dans le camp Zaatari, en Jordanie qui abrite environ 130.000 réfugiés syriens. Aucune loi n'existe dans le camp Zaatari dont les ressources sont, soit, pillées, soit, détruites, ajoute le rapport. Les réfugiés du camp Al-Zaatari ne peuvent en sortir que lorsqu'un citoyen jordanien se porte caution pour eux ; certains réfugiés finissent même par payer 500 dollars pour recevoir l'autorisation de sortir du camp. Le camp Dumiz dans le Kurdistan irakien, aussi, est surpeuplé et les réfugiés syriens qui y habitent subissent de nombreux problèmes.
Selon ce document, l'ONU est aussi très inquiète au sujet de l'attitude des groupes armés de recruter les enfants et les adolescents parmi les réfugiés. « Il semble peu probable qu'un enfant de 15 ou 16 ans soit amené dans des régions de conflit par un oncle, un frère, bref, un parent proche », affirme un responsable onusien, sous couvert de l'anonymat. « Avec la levée des interdictions sur l'envoi d'rames aux terroristes, ces derniers auraient besoin de davantage d'effectifs... », a-t-il déploré. Au lieu de faire leurs études dans des écoles ordinaires, beaucoup d'enfants syriens habitant au Liban ou en Jordanie vont aux écoles prétendument religieuses qui propagent des idées extrémistes, ajoute le rapport onusien.
Selon la Chaîne Al-Alam qui cite le rapport, un grand nombre de réfugiés syriens hébergés à l'étranger guettent le moment de s'enfuir. Les femmes ne sont pas en sécurité dans des camps de réfugié ; or, les enfants sont victimes de harcèlement sexuel dans la foulée de la guerre civile.
Selon ce rapport interne des Nations Unies, les réseaux de crimes organisés sont en action dans le camp Zaatari, en Jordanie qui abrite environ 130.000 réfugiés syriens. Aucune loi n'existe dans le camp Zaatari dont les ressources sont, soit, pillées, soit, détruites, ajoute le rapport. Les réfugiés du camp Al-Zaatari ne peuvent en sortir que lorsqu'un citoyen jordanien se porte caution pour eux ; certains réfugiés finissent même par payer 500 dollars pour recevoir l'autorisation de sortir du camp. Le camp Dumiz dans le Kurdistan irakien, aussi, est surpeuplé et les réfugiés syriens qui y habitent subissent de nombreux problèmes.
Selon ce document, l'ONU est aussi très inquiète au sujet de l'attitude des groupes armés de recruter les enfants et les adolescents parmi les réfugiés. « Il semble peu probable qu'un enfant de 15 ou 16 ans soit amené dans des régions de conflit par un oncle, un frère, bref, un parent proche », affirme un responsable onusien, sous couvert de l'anonymat. « Avec la levée des interdictions sur l'envoi d'rames aux terroristes, ces derniers auraient besoin de davantage d'effectifs... », a-t-il déploré. Au lieu de faire leurs études dans des écoles ordinaires, beaucoup d'enfants syriens habitant au Liban ou en Jordanie vont aux écoles prétendument religieuses qui propagent des idées extrémistes, ajoute le rapport onusien.