Le chef de l'Armée syrienne libre, le général Sélim Idriss, a rejeté samedi l'accord russo-américain conclu le même jour sur un démantèlement de l'arsenal chimique du régime syrien. Selon lui Bachar al-Assad évacuerait depuis quelques jours ses armes chimiques vers le Liban et l'Irak.
Ils n'auront pas tarder à réagir. Deux heures après la conclusion d'un accord russo-américain sur le démantèlement de l'arsenal chimique du régime syrien, les rebelles syriens annoncent qu'ils le rejettent. "Nous, l'Armée syrienne libre, ne sommes pas concernés par cet accord. Nous n'avons pas d'armes chimiques et moi et mes frères, nous allons continuer à nous battre jusqu'à la chute du régime" a déclaré le chef de l'Armée syrienne libre, le général Sélim Idriss. Selon ce responsable militaire des rebelles, le président Bachar al-Assad évacue depuis quelques jours ses armes chimiques vers le Liban et l'Irak. Par conséquent, "l'accord conclu à Genève n'aidera pas à résoudre la crise et peut être considéré comme un coup porté à l'insurrection", a-t-il ajouté.
Par Julien Pasqualini - FranceInfo.fr
Ils n'auront pas tarder à réagir. Deux heures après la conclusion d'un accord russo-américain sur le démantèlement de l'arsenal chimique du régime syrien, les rebelles syriens annoncent qu'ils le rejettent. "Nous, l'Armée syrienne libre, ne sommes pas concernés par cet accord. Nous n'avons pas d'armes chimiques et moi et mes frères, nous allons continuer à nous battre jusqu'à la chute du régime" a déclaré le chef de l'Armée syrienne libre, le général Sélim Idriss. Selon ce responsable militaire des rebelles, le président Bachar al-Assad évacue depuis quelques jours ses armes chimiques vers le Liban et l'Irak. Par conséquent, "l'accord conclu à Genève n'aidera pas à résoudre la crise et peut être considéré comme un coup porté à l'insurrection", a-t-il ajouté.
Par Julien Pasqualini - FranceInfo.fr
Commentaire