GENERAL TOUFIK ABSENT DE SON BUREAU : bouderie, limogeage ou défi
Algérie Express - Publié le dimanche 15 septembre 2013 16:38
Écrit par Ali Graichi
De sources directes de la communauté du renseignement, il est établi que le général Toufik n’a pas rejoint son bureau depuis le bras de fer public entamé par Bouteflika à l'encontre du DRS. Honneur d'officier bafoué, bouderie passagère?... A moins qu’il ne s’agisse d’une raison plus triviale : une mise à l'écart pure et simple. La chose peut paraître surprenante voire hallucinante par rapport à tout ce que Toufik incarne (incarnait ?) comme source unique d’un pouvoir sans contrôle.
« S’il s’avère que le général M’henna Djebbar, bras droit du patron du DRS – et désormais ex- responsable de la direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA)- a accepté sa nouvelle affectation dans une structure technique, une réaction de défi par le boycott venant de la part de Toufik manquerait de sens « dans les codes du système algérien. », ajoute notre source.
Un homme qui a tenu seul l’Algérie pendant 23 ans peut-il se permettre une retraite non négociée ? Si toutefois le choix lui en est laissé…
Ali Graichi
Algérie Express - Publié le dimanche 15 septembre 2013 16:38
Écrit par Ali Graichi
De sources directes de la communauté du renseignement, il est établi que le général Toufik n’a pas rejoint son bureau depuis le bras de fer public entamé par Bouteflika à l'encontre du DRS. Honneur d'officier bafoué, bouderie passagère?... A moins qu’il ne s’agisse d’une raison plus triviale : une mise à l'écart pure et simple. La chose peut paraître surprenante voire hallucinante par rapport à tout ce que Toufik incarne (incarnait ?) comme source unique d’un pouvoir sans contrôle.
« S’il s’avère que le général M’henna Djebbar, bras droit du patron du DRS – et désormais ex- responsable de la direction centrale de la sécurité de l’armée (DCSA)- a accepté sa nouvelle affectation dans une structure technique, une réaction de défi par le boycott venant de la part de Toufik manquerait de sens « dans les codes du système algérien. », ajoute notre source.
Un homme qui a tenu seul l’Algérie pendant 23 ans peut-il se permettre une retraite non négociée ? Si toutefois le choix lui en est laissé…
Ali Graichi
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