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Le Brésil, l'Inde et l'Afrique du sud ont décidé de s'engager vers une coopération nucléaire à des fins pacifiques, dans le cadre de l'AIEA.
Ils ont également exigé une réforme des organisations internationale (ONU et FMI), afin d'avoir plus voix au chapitre.
Les présidents brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, sud-africain Thabo Mbeki et le premier ministre indien Manmohan Singh "sont tombés d'accord pour explorer les possibilités de coopération en matière d'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire" dans le cadre de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA), affirme une déclaration publiée à l'issue d'un sommet tripartite à Brasilia.
Les trois dirigeants ont réaffirmé l'importance de s'assurer que "toute décision multilatérale sur le cycle de l'énergie nucléaire ne porte pas atteinte au droit inaliénable des états à recourir à l'énergie nucléaire à des fins pacifiques conformément à leurs obligations juridiques internationales".
Les trois grands pays émergents ont également décidé de développer leur coopération énergétique dans le domaine des biocarburants.
Sur les questions multilatérales, les trois dirigeants ont jugé "urgente" une réforme de l'ONU afin que leurs pays deviennent membres permanents du Conseil de sécurité. "Il est nécessaire que le Conseil reflète le poids croissant des pays en développement sur la scène internationale. Sa composition représente un monde qui n'existe plus", a estimé le président Lula.
Dans le même état d'esprit, ils ont affirmé que "la légitimité du Fond monétaire international (FMI) dépend d'une réforme de fond" des quotes-parts en faveur des pays en développement.
Concernant les discussions à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ils ont appelé "les pays (riches) qui ne l'ont pas encore fait à réduire substantiellement leurs dépenses en subventions agricoles" afin de relancer les négociations commerciales.
- SWINFO
Ils ont également exigé une réforme des organisations internationale (ONU et FMI), afin d'avoir plus voix au chapitre.
Les présidents brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, sud-africain Thabo Mbeki et le premier ministre indien Manmohan Singh "sont tombés d'accord pour explorer les possibilités de coopération en matière d'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire" dans le cadre de l'Agence Internationale de l'Energie Atomique (AIEA), affirme une déclaration publiée à l'issue d'un sommet tripartite à Brasilia.
Les trois dirigeants ont réaffirmé l'importance de s'assurer que "toute décision multilatérale sur le cycle de l'énergie nucléaire ne porte pas atteinte au droit inaliénable des états à recourir à l'énergie nucléaire à des fins pacifiques conformément à leurs obligations juridiques internationales".
Les trois grands pays émergents ont également décidé de développer leur coopération énergétique dans le domaine des biocarburants.
Sur les questions multilatérales, les trois dirigeants ont jugé "urgente" une réforme de l'ONU afin que leurs pays deviennent membres permanents du Conseil de sécurité. "Il est nécessaire que le Conseil reflète le poids croissant des pays en développement sur la scène internationale. Sa composition représente un monde qui n'existe plus", a estimé le président Lula.
Dans le même état d'esprit, ils ont affirmé que "la légitimité du Fond monétaire international (FMI) dépend d'une réforme de fond" des quotes-parts en faveur des pays en développement.
Concernant les discussions à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), ils ont appelé "les pays (riches) qui ne l'ont pas encore fait à réduire substantiellement leurs dépenses en subventions agricoles" afin de relancer les négociations commerciales.
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