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Le roi Mohammed VI prendra part jeudi prochain à la cérémonie d’investiture du nouveau président malien, Ibrahim Boubacar Keita. C’est une première.
Septembre est cette année au Maroc le mois de l’Afrique.
Dans la lettre de programme diplomatique stratégique que le souverain a adressée à la grande messe à Rabat des ambassadeurs marocains, l’Afrique subsaharienne a été l’une de ses principales thématiques prônant une diplomatie offensive.
Auparavant le rapport thématique du CNDH sur les problématiques migratoires et la séance de travail que le roi a tenue avec des membres du gouvernement et de proches collaborateurs du souverain, avait donné le premier signal d’une réorientation de la politique marocaine en direction des pays du continent.
Il s’agit pour Rabat d’être présent et d’une manière visible sur tous les dossiers, économiques, politiques, sociétaux, culturels et sécuritaires.
La présence du roi à l’investiture du président malien vient confirmer l’engagement du royaume dès le moment où l’unité territoriale du Mali, qui partait à vau-l’eau, avait été menacée par les groupes djihadistes et autres mouvements séparatistes.
C’est un engagement concret et ferme qui puise sa philosophie de la nécessaire solidarité avec les pays amis en danger.
C’est un engagement encore constant qui se poursuivra dans le temps.
Ni les humeurs de certaines capitales, ni les menaces itératives d’Al-Qaïda, une nébuleuse perméable à toutes les manipulations, n’y changeront quelque chose.
Naim kamal
Septembre est cette année au Maroc le mois de l’Afrique.
Dans la lettre de programme diplomatique stratégique que le souverain a adressée à la grande messe à Rabat des ambassadeurs marocains, l’Afrique subsaharienne a été l’une de ses principales thématiques prônant une diplomatie offensive.
Auparavant le rapport thématique du CNDH sur les problématiques migratoires et la séance de travail que le roi a tenue avec des membres du gouvernement et de proches collaborateurs du souverain, avait donné le premier signal d’une réorientation de la politique marocaine en direction des pays du continent.
Il s’agit pour Rabat d’être présent et d’une manière visible sur tous les dossiers, économiques, politiques, sociétaux, culturels et sécuritaires.
La présence du roi à l’investiture du président malien vient confirmer l’engagement du royaume dès le moment où l’unité territoriale du Mali, qui partait à vau-l’eau, avait été menacée par les groupes djihadistes et autres mouvements séparatistes.
C’est un engagement concret et ferme qui puise sa philosophie de la nécessaire solidarité avec les pays amis en danger.
C’est un engagement encore constant qui se poursuivra dans le temps.
Ni les humeurs de certaines capitales, ni les menaces itératives d’Al-Qaïda, une nébuleuse perméable à toutes les manipulations, n’y changeront quelque chose.
Naim kamal