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Les autorités locales de la wilaya de Annaba, continuent de mener une lutte sans merci contre les centaines de familles maliennes squattant rues, ruelles et autres artères de la ville de Annaba.
Ce sont des centaines de familles venues du Mali qui viennent s'installer à Annaba. Un phénomène qui prend de l'ampleur et qui, à long terme, risquerait de prendre de court les responsables. Dans ce sens, une décision d'expulsion massive de ces ressortissants maliens et autres Africains a été prise ces derniers jours. Hier, le président de la section correctionnelle près le tribunal de Annaba a condamné une cinquantaine de familles maliennes à l'expulsion vers leur pays d'origine assortie d'une amende.
Composées majoritairement de femmes, d'enfants et de bébés, ces familles en situation irrégulière, ont fait l'objet d'identification de papiers par les services de sécurité avant d'être déférées devant le magistrat instructeur. Pour rappel, le magistrat de la même institution juridique, a prononcé, lundi dernier, l'expulsion d'une dizaine de familles de différentes nationalités africaines, après avoir retenu à leur encontre, le séjour irrégulier en territoire algérien.
Selon les informations en notre possession, cette lutte contre la présence irrégulière de ressortissants étrangers dans les villes algériennes, à Annaba, entre autres, devra toucher aussi les réfugiés syriens et libyens. Il faut dire que la présence en masse de ces Africains de différentes nationalités a fait de l'Algérie et de surcroît, Annaba, une rampe de lancement vers l' «eldorado» européen. C'est dire que plusieurs Africains clandestins guettent une opportunité via une traversée de la Méditerranée, en recourant à la «harga», pendant que d'autres, des faussaires en l'occurrence, inondent le marché de faux billets.
Dans ce sillage, plusieurs réseaux ont été démantelés par les services de sécurité de la wilaya de Annaba. Composés notamment de Subsahariens, ces sans-papiers africains avaient été interpellés pour divers délits dont la création d'ateliers clandestins pour la falsification de billets de banque, abus de confiance et escroquerie.
Présentés au magistrat instructeur, ces trafiquants avaient été placés sous mandat de dépôt, avant de comparaître devant la même instance et condamnés à des peines de prison avec sursis et reconduits aux frontières.
Mercredi 18 Septembre 2013 l expression
Ce sont des centaines de familles venues du Mali qui viennent s'installer à Annaba. Un phénomène qui prend de l'ampleur et qui, à long terme, risquerait de prendre de court les responsables. Dans ce sens, une décision d'expulsion massive de ces ressortissants maliens et autres Africains a été prise ces derniers jours. Hier, le président de la section correctionnelle près le tribunal de Annaba a condamné une cinquantaine de familles maliennes à l'expulsion vers leur pays d'origine assortie d'une amende.
Composées majoritairement de femmes, d'enfants et de bébés, ces familles en situation irrégulière, ont fait l'objet d'identification de papiers par les services de sécurité avant d'être déférées devant le magistrat instructeur. Pour rappel, le magistrat de la même institution juridique, a prononcé, lundi dernier, l'expulsion d'une dizaine de familles de différentes nationalités africaines, après avoir retenu à leur encontre, le séjour irrégulier en territoire algérien.
Selon les informations en notre possession, cette lutte contre la présence irrégulière de ressortissants étrangers dans les villes algériennes, à Annaba, entre autres, devra toucher aussi les réfugiés syriens et libyens. Il faut dire que la présence en masse de ces Africains de différentes nationalités a fait de l'Algérie et de surcroît, Annaba, une rampe de lancement vers l' «eldorado» européen. C'est dire que plusieurs Africains clandestins guettent une opportunité via une traversée de la Méditerranée, en recourant à la «harga», pendant que d'autres, des faussaires en l'occurrence, inondent le marché de faux billets.
Dans ce sillage, plusieurs réseaux ont été démantelés par les services de sécurité de la wilaya de Annaba. Composés notamment de Subsahariens, ces sans-papiers africains avaient été interpellés pour divers délits dont la création d'ateliers clandestins pour la falsification de billets de banque, abus de confiance et escroquerie.
Présentés au magistrat instructeur, ces trafiquants avaient été placés sous mandat de dépôt, avant de comparaître devant la même instance et condamnés à des peines de prison avec sursis et reconduits aux frontières.
Mercredi 18 Septembre 2013 l expression