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SUR INSTRUCTION DU PRÉSIDENT BOUTEFLIKA:Abdelkader Hadjar va rencontrer les partis tunisiens

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  • SUR INSTRUCTION DU PRÉSIDENT BOUTEFLIKA:Abdelkader Hadjar va rencontrer les partis tunisiens

    L'Ambassadeur d'Algérie en Tunisie, Abdelkader Hadjar, commencera dans les prochains jours des réunions avec les représentants des chefs des partis et des mouvements politiques en Tunisie.
    Selon des sources médiatiques tunisiennes, l'ambassadeur d'Algérie en Tunisie Abdelkader Hadjar, commencera dans les prochains jours des réunions avec les représentants des chefs des partis et des mouvements politiques en Tunisie afin d'activer le dialogue et la concertation à la recherche d' une solution politique à la crise que vit la Tunisie.
    Cette décision a été prise sur les conseils directs du Président Abdelaziz Bouteflika, qui avait rencontré il y a quelques jours les principaux chefs des partis au pouvoir et de l'opposition, Rached Ghannouchi et Béji Caïd Essebsi, afin de trouver un moyen pour faire sortir le pays frère la Tunisie du blocage politique.
    L'ambassadeur Abdelkader Hadjar, qui est très connu pour son sens politique, a été instruit par le Président Bouteflika pour s'entretenir avec les différents partis politiques en Tunisie, sans exclusion afin de rapprocher les points de vue et trouver une solution pour faire sortir du blocage politique la Tunisie, depuis la rupture du dialogue entre toutes les parties.
    C'est en tout cas ce qui a été maintenu par Hocine Abassi, le secrétaire général de l'Union des travailleurs tunisiens, qui a confirmé que le dialogue entre le pouvoir et l'opposition a été rompu et qu'il était impossible de poursuivre les discussions sans faire des concessions.
    Il est à noter que la majorité des partis politiques tunisiens ont salué la position neutre de l'Algérie concernant la crise politique en Tunisie, qui s'est tenue même à distance entre toutes les parties. Ils ont salué la capacité du pays frère d'être un médiateur important pour le dialogue entre toutes les parties en conflit, le garant des décisions prises et le superviseur de la mise en oeuvre de la feuille de route tracée par les principales forces politiques en Tunisie.
    C'est le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, qui a surtout médiatisé la rencontre, évoqué longuement ces derniers jours ses entretiens avec le Président Bouteflika. Il a notamment déclaré: «Nous avons senti que le Président était soucieux de trouver un compromis entre les deux parties. Ajoutant que Bouteflika est ami de longue date de la Tunisie et qu'il était inquiet de la situation dans notre pays.»
    Le président Ghannouchi a indiqué que l'Algérie est un pays clé dans la région et un voisin important. La situation politique et la stabilité en Tunisie intéressent donc au plus haut point l'Algérie.
    «L'Algérie, avec son poids favorise la stabilité en Tunisie et il est en mesure de soutenir le pays contre le terrorisme et garantir la paix et la stabilité dans la région.» a-t-il souligné. Le chef du Mouvement Ennahdha a indiqué que le Président Bouteflika a insisté sur la nécessité d'une réconciliation entre les différentes forces politiques en présence en Tunisie.
    Le président d'Ennahdha s'est dit aussi satisfait de la rencontre qui a eu lieu entre le Président Bouteflika et le leader du mouvement Nida Tounès Beji Caid Essebsi, indiquant qu'en recevant le parti au pouvoir et le chef de file de l'opposition, c'est comme si le Président Bouteflika a rencontré le peuple tunisien pour le rassurer. «C'est dans l'intérêt général de l'Algérie que la Tunisie soit un pays stable et sûr» a-t-il enfin déclaré.
    De son côté, Abdallah Labedi, un ancien diplomate tunisien, a refusé de penser que la récente visite des deux leaders politiques tunisiens à Bouteflika soit une visite de courtoisie. Il a indiqué que la stabilité de la Tunisie est devenue un point stratégique pour la sécurité de l'Algérie, qui est à son tour ciblée à sa frontière occidentale pour sa puissance et sa richesse. Il ajoute que ce qui s'est passé au Mali l'a visée directement et qu'il est important que la situation sécuritaire et politique soit stable en Tunisie.


    Par Salim AGGAR - Mercredi 18 Septembre 2013 l expression
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    poursuite de la propagande du clan BOUTEF

    Commentaire


    • #3
      Un chantre de la propagande islamiste ce Hadjar.

      Après avoir été ambassadeur auprès des Mollahs, il a été dépêché auprès des frères musulmans en Egypte et maintenant le voilà en Tunisie auprès des islamistes d'Ennahda.

      Est-ce par son biais que notre pouvoir despotique entretient des liens avec l'islamisme politique ?

      P.

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      • #4
        a mon avis ces boutef qui a peur de hadjar
        boutef fait une contre ataque sur ces adversairs
        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Censuré
          Dernière modification par abdelbaki, 06 janvier 2015, 03h00.

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