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Mémoire, mémoires!
Mémoire qui étouffe, étire les murs des impatiences et repousse les parois du temps dont chaque parcelle prolonge les sensations de fascination imprègnant les réalités et dispersant les incertitudes !
Mémoire qui efface peu à peu les souvenirs de l’exil, s’engouffrant dans la lumière qui fend les écorces et pénètre les patiences des désarrois dont le souffle dépose des baisers sur le front des rêves que tu enracines dans le cœur de mes matins avides de ton image !
Mémoire ravivée et apaisée par la feu de ton ciel dont l’azur parcourt mes réticences et enfouie profondément les promesses de lendemains multiples et d’ailleurs innombrables taillés à la mesure des nos espors les plus fous!
Mémoire étendue que ton soleil ne quitte jamais et qui abrite les lumières des espérances écrasant les horizons des regards dont le chant rappelle l’amour et l’envie de vivre en narguant toutes les pensées d’abdication !
Mémoire enivrée par la des roses qui parfume un passé renié et dessine un futur espéré suspendu aux racines des bonheurs jaillissant du fond de ton cœur depuis si longtemps absent de mes aurores !
Mémoire burinée par les tessons tranchants de la vie qui déchirent les instants interminables d’un passé ébranlé par les incertitudes et déserté par le vent des connivences et la lueur des complicités amoureuses !
Mémoire qui vibre sous la violence des réminiscences et tente de suspendre le cours du temps pour chercher les secrets de la maîtrise des songes d’éternité des moments !
Mémoire qui quitte les chemins des regrets pour rejoindre ton monde à la recherche de l’oubli et de l’amour qui voltige dans les espaces que je souhaite avoir comme havre de paix !
Mémoire que ton bonheur vide des vagues torturées d’un vécu apeuré et frissonnant d’avoir été inconsistant et rempli d’illusoires sensations de passion !
Mémoire craintive assaillie par des échardes d’une trop longue éternité imposée par les hésitations des désirs non assumés et des frustrations qui sèment le désarroi dans mon univers déserté par le bonheur des matins qui brillent du regard de l'amour !
Mémoire muette sujette à une amnésique fuite des réalités qui perforent
les moments délaissés par la pureté des sentiments et dépourvus des connivences qui encouragent les abandons et les anéantissements des coeurs avides de plénitude des âmes et des sens !
Mémoire qui aime l’amour et qui se souvient de l’amour des roses filtrant au travers des aurores éblouis par l’envie de s’anéantir dans les matins baignés des parfums sublimes des amours partagés et des passions inventeurs de bonheur dont elles entretiennent la flamme !
Mémoire qui vagabonde aux confins des bonheurs espérés que ton arrivée réconcilie avec le souvenir de la tendresse et des lumineuses promesses des amants dont les serments cultivent les émois dans les cieux embrasés des nuits réveillées !
Mémoire qui écoute ton cœur cherchant le secret de l’amour qui trace les itinéraires menant aux sources des nectars qui abreuvent et ravivent les espaces stériles des vies abandonnées par la lumière de la complicité et dont la mutité rappelle les déserts !
Mémoire qui déchire la réalité d’un vécu refusé et qui imprime les pourtours d’un futur dont tu es le centre et la circonférence, dont tu es la lumière éclairant les horizons parcourus par les brises de l’espérance retrouvée !
Mémoire qui interroge les instants et les mots qui en habitent les lisières pour jouir de mystères des flots de bonheurs qui inondent et submergent les parcelles des amours harmonieuses qui brillent dans le firmament !
Mémoire dont le sourire désagrège les voiles de la douleur, panse les plaies des cœurs et guérit les bleus des âmes en puisant dans la richesse de tes moments de connivence et dans les espaces émerveillés qui chantent le bonheur de nouvelles persistances !
Mémoire, métaphore de souvenances arrachées à une tranche d’existence encore pleine de détresse dont ton irrésistible sourire efface les mouvements des heures entaillant les moments de leur vide et de leur inconsistance !
Mémoire oubliée surgissant dans les souvenirs d’un corps étonné d’un quotidien nouveau inventé par ton arrivée et qui espère accrocher ses rêves d’éternité aux ailes des espoirs scintillant au bord de ton monde dont je contemple les arcanes et les allées fleuries !
Mémoire qui étouffe, étire les murs des impatiences et repousse les parois du temps dont chaque parcelle prolonge les sensations de fascination imprègnant les réalités et dispersant les incertitudes !
Mémoire qui efface peu à peu les souvenirs de l’exil, s’engouffrant dans la lumière qui fend les écorces et pénètre les patiences des désarrois dont le souffle dépose des baisers sur le front des rêves que tu enracines dans le cœur de mes matins avides de ton image !
Mémoire ravivée et apaisée par la feu de ton ciel dont l’azur parcourt mes réticences et enfouie profondément les promesses de lendemains multiples et d’ailleurs innombrables taillés à la mesure des nos espors les plus fous!
Mémoire étendue que ton soleil ne quitte jamais et qui abrite les lumières des espérances écrasant les horizons des regards dont le chant rappelle l’amour et l’envie de vivre en narguant toutes les pensées d’abdication !
Mémoire enivrée par la des roses qui parfume un passé renié et dessine un futur espéré suspendu aux racines des bonheurs jaillissant du fond de ton cœur depuis si longtemps absent de mes aurores !
Mémoire burinée par les tessons tranchants de la vie qui déchirent les instants interminables d’un passé ébranlé par les incertitudes et déserté par le vent des connivences et la lueur des complicités amoureuses !
Mémoire qui vibre sous la violence des réminiscences et tente de suspendre le cours du temps pour chercher les secrets de la maîtrise des songes d’éternité des moments !
Mémoire qui quitte les chemins des regrets pour rejoindre ton monde à la recherche de l’oubli et de l’amour qui voltige dans les espaces que je souhaite avoir comme havre de paix !
Mémoire que ton bonheur vide des vagues torturées d’un vécu apeuré et frissonnant d’avoir été inconsistant et rempli d’illusoires sensations de passion !
Mémoire craintive assaillie par des échardes d’une trop longue éternité imposée par les hésitations des désirs non assumés et des frustrations qui sèment le désarroi dans mon univers déserté par le bonheur des matins qui brillent du regard de l'amour !
Mémoire muette sujette à une amnésique fuite des réalités qui perforent
les moments délaissés par la pureté des sentiments et dépourvus des connivences qui encouragent les abandons et les anéantissements des coeurs avides de plénitude des âmes et des sens !
Mémoire qui aime l’amour et qui se souvient de l’amour des roses filtrant au travers des aurores éblouis par l’envie de s’anéantir dans les matins baignés des parfums sublimes des amours partagés et des passions inventeurs de bonheur dont elles entretiennent la flamme !
Mémoire qui vagabonde aux confins des bonheurs espérés que ton arrivée réconcilie avec le souvenir de la tendresse et des lumineuses promesses des amants dont les serments cultivent les émois dans les cieux embrasés des nuits réveillées !
Mémoire qui écoute ton cœur cherchant le secret de l’amour qui trace les itinéraires menant aux sources des nectars qui abreuvent et ravivent les espaces stériles des vies abandonnées par la lumière de la complicité et dont la mutité rappelle les déserts !
Mémoire qui déchire la réalité d’un vécu refusé et qui imprime les pourtours d’un futur dont tu es le centre et la circonférence, dont tu es la lumière éclairant les horizons parcourus par les brises de l’espérance retrouvée !
Mémoire qui interroge les instants et les mots qui en habitent les lisières pour jouir de mystères des flots de bonheurs qui inondent et submergent les parcelles des amours harmonieuses qui brillent dans le firmament !
Mémoire dont le sourire désagrège les voiles de la douleur, panse les plaies des cœurs et guérit les bleus des âmes en puisant dans la richesse de tes moments de connivence et dans les espaces émerveillés qui chantent le bonheur de nouvelles persistances !
Mémoire, métaphore de souvenances arrachées à une tranche d’existence encore pleine de détresse dont ton irrésistible sourire efface les mouvements des heures entaillant les moments de leur vide et de leur inconsistance !
Mémoire oubliée surgissant dans les souvenirs d’un corps étonné d’un quotidien nouveau inventé par ton arrivée et qui espère accrocher ses rêves d’éternité aux ailes des espoirs scintillant au bord de ton monde dont je contemple les arcanes et les allées fleuries !
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