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SAHNOUNI À PROPOS DU Démembrement du DRS :«C’est notre proposition»

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  • SAHNOUNI À PROPOS DU Démembrement du DRS :«C’est notre proposition»

    Les anciens du FIS dissous n’ont pas manqué de se réjouir des tapes inamicales portées par Bouteflika au DRS. Pas surprenant qu’ils s’hérissent le poil, eux qui, sans Bouteflika et sa réconciliation nationale, n’auraient jamais vu leur déroute militaire transformée en grande victoire politique. El Hachemi Sahnouni clame même que le chef de l’Etat, en démembrant le puissant service de renseignement, accédait en fait à une demande islamiste.
    Sofiane Aït Iflis - Alger (Le Soir) - Au chœur des laudateurs de tous bords qui s’étaient empressés d’applaudir la décision de Bouteflika ne manquait jusque-là que la voix des islamistes radicaux, incarnés aujourd’hui dans le courant salafiste.
    L’incantation jubilatoire est finalement venue d’El Hachemi Sahnouni, l’ex-dirigeant de l’ex-FIS.
    Dans une déclaration au journal Ennahar, Sahnouni s’inscrit en faux contre des commentaires et des analyses qui se sont rejoints à établir une relation entre les changements opérés au niveau de l’institution militaire et l’élection présidentielle prochaine.
    Selon lui, en opérant des tailles dans le DRS, auquel sont désormais soustraits trois services importants, Bouteflika ne faisait que répondre à une doléance formulée par la mouvance islamiste, la radicale y compris, donc, lors des consultations autour de la révision de la Constitution.
    Des consultations, pour rappel, conduites par le Premier ministre Abdelmalek Sellal. A moins que ce ne soit un pur mensonge qu’il sert — il en est capable — Sahnouni nous apprend que la mouvance qu’il représente a été associée aux consultations, contrairement à ce qu’avait affirmé Sellal, à savoir que ses invitations n’ont concerné que les entités légales.
    «Notre mouvance a suggéré au Président Bouteflika de procéder à la restructuration de l’armée, notamment de la renvoyer à ses strictes missions constitutionnelles, à travers son éloignement total du champ politique», a-t-il soutenu. Ainsi donc, ce sont les islamistes radicaux qui ont inspiré à Bouteflika sa décision. Mais alors pourquoi leur ferait-il une telle fleur et pourquoi en ce moment précis ? Il n’étonnerait pas de découvrir que la contrepartie de cette disponibilité de Bouteflika pour la suggestion des islamistes radicaux confine en le soutien négocié de ces derniers à son plan de bataille pour les prochaines présidentielles.

    S. A. I.
    le soir dalgerie Jeudi 19 septembre 2013
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Le journaleux parle comme si le DRS était l'espoir démocratique de l'Algérie!...
    Il faut se rappeler que c'est avec la pleine adhésion du dit DRS que Bouheff a violé la constitution!
    Et puis le DRS est le digne enfant de la fameuse SM...
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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