Ahcène Mariche est un homme d'envergure. Il est large d'esprit et rare de culture. Avant d'être un poète, c'est un homme d'esprit et de cœur. Ses pensées et réflexions vont bien au-delà des grands horizons de sa Kabylie natale. Ses passions et ses sentiments, s'expriment bien plus haut que les sommets des montagnes qui l'ont vu naître
Ce professeur de physique a une dimension personnelle qui ouvre une large porte à toute la diversité de l'humanisme et de la culture. Car, ce professeur et ce poète cause aussi aux autres muses, celles de la philosophie comme toutes celles de la Nature et du Monde. Ahcène est un poète abondant et généreux. Ce recueil de plus de quarante poèmes est le dernier né d'une déjà grande famille. C'est en effet le dixième ouvrage que nous offre l'auteur. Mais la quantité n'est pas tout. Les vers d’Ahcène Mariche planent tous à une belle hauteur et témoignent d'une riche et grande diversité. Mais c'est d'abord dans les racines millénaires de sa culture kabyle que ce poète trouve sans conteste les sources de son inspiration. Ses textes sont empreints d'art de vivre. Homme de passion, l'amour fleurit à tous les tournants de sa poésie. L'homme est sensible aux battements du cœur amoureux, aux charmes et à la beauté féminine. Pétri des beautés de sa Kabylie, il chante aussi son amour de la nature et des beaux paysages. Il se fait défenseur militant d'un environnement qu'il faut respecter admirer et… protéger. La nature qui nous environne / Souffre d'un manque de vigilance. D'elle ne se soucie personne. Mais pour Ahcène Mariche, la poésie n'est pas seulement évasion et envol. Il sait aussi les réalités d'aujourd'hui et il leur ouvre volontiers ses vers a-t-il mentionné en introduction de son livre préfacé par Roland Lecoiny. A l’occasion de la sortie de son 10e recueil de poésie, il répond à nos questions.
Le Matindz.net : Apres avoir édité dix recueils de poésie en trois langues kabyle, français et en anglais ici en Algérie dont La toupie et l'échelle, vous venez de publier un recueil de poésie en France chez les éditions Edilivre en format papier et version électronique. Parlez-nous justement de cette œuvre ?
"La toupie et l'échelle" est la version traduction en langue française faite par le poète et traducteur Lounes Ameziane. A l’origine ce recueil je l’ai écris en kabyle (tamazight) sous le titre de "Tibernint d ssellum". Il contient 100 pages et 44 poèmes où j’ai eu à traiter l’amour sous toutes ses formes, la dégradation de l’environnement, l’invasion culturelle,… En fabuliste aussi, j’ai fait parier le soleil et le vent, j’ai fait parler la porte et nous parle de son histoire avec l’homme, comme j’ai fait parler le miroir aussi. Comme j’ai soulevé le problème du célibat forcé que vivent nos jeunes…J’ai écris aussi sur le vent, la poésie, la disette en marche comme j’ai installé pas mal de duels : le feu et l’amour, la raison et le cœur, la nuit et le jour, malheurs et réjouissances. Ce recueil est préfacé par le poète français Roland Lecoiny
Ahcène Mariche est peu connu surtout chez cette nouvelle génération, pouvez-vous nous faire aperçu biographie sur votre vie et votre travail ?
Ahcène Mariche : Je suis né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à Tizi Ouzou en Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car mon grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour. Les gènes de poésie ont surgit en mon âme avec les compositions que j’avais signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
Très calme de nature et attentif, je prends toujours le soin de bien observer, mâcher mes mots…Très à l’écoute de ma société, très critique dans mon regard, imaginatif à l’extrême. Je pousse loin mes idées et je convie à chaque fois à faire avec moi des voyages inédits voire des odyssées. Je suis professeur de physique, acteur, journaliste, cameraman et photographe, je mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité que je traduis en juste mot pour dire et écrire… La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans mes œuvres.
Jaloux de ma langue maternelle, le tamazight, j’écris avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, je traduis mes poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, le japonais le danois et le chinois …
Même vers des contrées lointaines, je fais parvenir mes pensées comme pour leur dire qu’on est là, et je leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et au diapason de l’évolution et de la modernité. Mes rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui…ont été des stimulants de taille pour une carrière que je n’imaginais guère.
Depuis juin 2005 à ce jour j’ai édité 9 recueils de poésie en trois langues en Algérie et deux recueils de poésie en France chez Edilivre. Comme j’ai publié dans quatre anthologies de poésie en France et aux USA. J’ai édité aussi un CD audio de ma poésie accompagnée de musique en 2008 et 08 chanteurs kabyles ont chanté mes poèmes. Ma poésie a inspiré plusieurs artistes peintres, comme aussi le dramaturge Sami Allam qui a inséré mon poème "Achal yellan di tullasa dans son monologue "Urgagh mmutegh". J’ai travaillé aussi comme animateur de radio, où j’avais animé 22 émissions de radio de 2h chacune sur une radio web.
Parlez-nous sur vos débuts dans la poésie, et ce qui vous a suscité justement d'investir dans ce beau monde ?
Tout a commencé au berceau je pense car ma mère qui aime toujours chanter, me border avec des acewwiq (icewiqen au pluriel), et conter aussi a sûrement eu de l’influence sur moi. Ajouter à cela l’hérédité, vu que mon grand père maternel était poète donc via les genèses ; il m’a transmis le don.
La radio chaine 2 est pour beaucoup aussi vu que je l’écoutais sans cesse depuis que j’étais enfant au point d’apprendre des centaines de chansons, des poèmes, des contes sur les ondes de la radio kabyle. En entrant au lycée, j’ai trouvé une bande de copains qui rimaient aussi et qui chantaient alors je me suis retrouvé dans cette ambiance et c’est dans le lycée El Illouli de Larbaa Nath Iraten que j’ai composé mon premier poème et d’autres ont suivi et ça a fait un long chapelet.
J’avais lu plein de poésie et surtout en ce temps, j’ai lu et écouté si Mohand ou Mhand, Cheikh Mohand ou Lhocine comme j’écoutais beaucoup le grand dramaturge Mohia, Ait Menguellet , Slimane Azem, Cherif Kheddam, Ben Mohammed, Mohammed Benhanafi qui sont une vraie école pour moi.
Quels sont les thèmes traités dans votre nouvelle œuvre de poésie ?
J’ai touché un peu à tout : l’amour (le marécage de l’amour, l’amour est comme une montagne, cœur de glace, le virage de ma vie), l’espoir se met à geindre, les expériences, je vis là où…, il m’échappa une parole, j’ai cru, le destin, faisant le compte, l’information, le bonheur, l’élément qu’on méprise la dégradation de l’environnement, l’invasion culturelle et, enfin 44 sujets chacun son importance et son poids.
Quelles sont vos publications qui sont officiellement disponibles sur le marché ?
De mes 09 livres édités, il reste uniquement le recueil Tazlagt N Tikta ici en Algérie. Par contre en France, il n y’a que deux de disponible et qui sont «contusions» et "La toupie et l’échelle" chez les éditions Edilivre en format papier et électronique. Vu la rupture de mon stock je dois les rééditer d’ici le mois d’octobre pour satisfaire la demande de mes lecteurs et fans. Il y’a des livres qui sont absent des étales depuis 2006 et 2007.
La poésie connaît un net recul et elle ne trouve guère d’engouement chez les lecteurs, qu’en pensez-vous? Et qu’elle signifie justement la poésie pour vous ?
Mon expérience sur le terrain me prouve vraiment le contraire surtout que j’ai beaucoup voyagé avec mon œuvre un peu partout en Algérie. Surtout lors des ventes dédicaces et salons du livres et je suis vraiment satisfait. Le problème se pose autrement, il y a une défaillance au niveau de nos libraires éditeurs, distributeurs et la politique du livre en Algérie ainsi que le côté information et médias qui fait vraiment défaut. Le lecteur est là, il a toujours soif de lire et j’ai remarqué que même la jeune génération s’y intéresse. Moi qui ai déjà édité en trois langues : kabyle, français et anglais j’ai bien noté que le lecteur algérien touche à tout.
Quel ordre de problèmes que vous et les artistes en général rencontrez dans la vie de tous les jours, et en particulier en édition ?
Les problèmes sont multiples et de tout genre et c’est ce qui décourage nos auteurs. A commencer par la politique du livre, les éditeurs, les libraires ainsi que les distributeurs. L’auteur qui tient à éditer doit bien remplacer tous ceux-ci pour arriver, ce qui est presque impossible. Il y a un manque de sérieux à tous les niveaux de la chaîne du livre. Ajouter à tout cela le problème de l’information et de la médiatisation qui persiste.
Imaginez même les libraires chez qui on dépose nos livres quand ils viennent à fermer ou à changer d’activité ou vendre leur commerce, ils ne nous contactent même pas pourtant on leur laisse notre numéro de contact. Il n’y a pas un auteur qui n'a pas été victime de ça au moins par 4 ou 5 libraires voir même 10 ce qui engendre une perte sèche.
Ce professeur de physique a une dimension personnelle qui ouvre une large porte à toute la diversité de l'humanisme et de la culture. Car, ce professeur et ce poète cause aussi aux autres muses, celles de la philosophie comme toutes celles de la Nature et du Monde. Ahcène est un poète abondant et généreux. Ce recueil de plus de quarante poèmes est le dernier né d'une déjà grande famille. C'est en effet le dixième ouvrage que nous offre l'auteur. Mais la quantité n'est pas tout. Les vers d’Ahcène Mariche planent tous à une belle hauteur et témoignent d'une riche et grande diversité. Mais c'est d'abord dans les racines millénaires de sa culture kabyle que ce poète trouve sans conteste les sources de son inspiration. Ses textes sont empreints d'art de vivre. Homme de passion, l'amour fleurit à tous les tournants de sa poésie. L'homme est sensible aux battements du cœur amoureux, aux charmes et à la beauté féminine. Pétri des beautés de sa Kabylie, il chante aussi son amour de la nature et des beaux paysages. Il se fait défenseur militant d'un environnement qu'il faut respecter admirer et… protéger. La nature qui nous environne / Souffre d'un manque de vigilance. D'elle ne se soucie personne. Mais pour Ahcène Mariche, la poésie n'est pas seulement évasion et envol. Il sait aussi les réalités d'aujourd'hui et il leur ouvre volontiers ses vers a-t-il mentionné en introduction de son livre préfacé par Roland Lecoiny. A l’occasion de la sortie de son 10e recueil de poésie, il répond à nos questions.
Le Matindz.net : Apres avoir édité dix recueils de poésie en trois langues kabyle, français et en anglais ici en Algérie dont La toupie et l'échelle, vous venez de publier un recueil de poésie en France chez les éditions Edilivre en format papier et version électronique. Parlez-nous justement de cette œuvre ?
"La toupie et l'échelle" est la version traduction en langue française faite par le poète et traducteur Lounes Ameziane. A l’origine ce recueil je l’ai écris en kabyle (tamazight) sous le titre de "Tibernint d ssellum". Il contient 100 pages et 44 poèmes où j’ai eu à traiter l’amour sous toutes ses formes, la dégradation de l’environnement, l’invasion culturelle,… En fabuliste aussi, j’ai fait parier le soleil et le vent, j’ai fait parler la porte et nous parle de son histoire avec l’homme, comme j’ai fait parler le miroir aussi. Comme j’ai soulevé le problème du célibat forcé que vivent nos jeunes…J’ai écris aussi sur le vent, la poésie, la disette en marche comme j’ai installé pas mal de duels : le feu et l’amour, la raison et le cœur, la nuit et le jour, malheurs et réjouissances. Ce recueil est préfacé par le poète français Roland Lecoiny
Ahcène Mariche est peu connu surtout chez cette nouvelle génération, pouvez-vous nous faire aperçu biographie sur votre vie et votre travail ?
Ahcène Mariche : Je suis né le 21 février 1967 à Tala Toulmouts dans la commune de Tizi Rached à Tizi Ouzou en Kabylie. Issu d’une famille modeste et jalouse de sa culture. Baignant dans un climat où la culture règne en maître, l’hérédité aidant car mon grand-père maternel Ali n SAID était poète troubadour. Les gènes de poésie ont surgit en mon âme avec les compositions que j’avais signées en étant lycéen en classe de 2ème AS à Larbaa Nath Irathen.
Très calme de nature et attentif, je prends toujours le soin de bien observer, mâcher mes mots…Très à l’écoute de ma société, très critique dans mon regard, imaginatif à l’extrême. Je pousse loin mes idées et je convie à chaque fois à faire avec moi des voyages inédits voire des odyssées. Je suis professeur de physique, acteur, journaliste, cameraman et photographe, je mêle et entremêle la science à la littérature, l’image et le son, les rêves et la réalité que je traduis en juste mot pour dire et écrire… La touche psychanalytique, surréaliste, humaniste… sont omniprésentes dans mes œuvres.
Jaloux de ma langue maternelle, le tamazight, j’écris avec ; mais en guise de lui donner d’autres ailes, je traduis mes poèmes en plusieurs langues dont le français, l’anglais, l’arabe, l’italien, l’allemand, le japonais le danois et le chinois …
Même vers des contrées lointaines, je fais parvenir mes pensées comme pour leur dire qu’on est là, et je leur ouvre l’armoire de notre culture ancestrale qui n’a rien à envier aux autres cultures et au diapason de l’évolution et de la modernité. Mes rencontres avec plusieurs artistes de renom : Cherif Kheddam, Nouara, Ait Menguellet, Medjahed Hamid, Malika Domrane, Cherif Hamani, Farid Ferragui…ont été des stimulants de taille pour une carrière que je n’imaginais guère.
Depuis juin 2005 à ce jour j’ai édité 9 recueils de poésie en trois langues en Algérie et deux recueils de poésie en France chez Edilivre. Comme j’ai publié dans quatre anthologies de poésie en France et aux USA. J’ai édité aussi un CD audio de ma poésie accompagnée de musique en 2008 et 08 chanteurs kabyles ont chanté mes poèmes. Ma poésie a inspiré plusieurs artistes peintres, comme aussi le dramaturge Sami Allam qui a inséré mon poème "Achal yellan di tullasa dans son monologue "Urgagh mmutegh". J’ai travaillé aussi comme animateur de radio, où j’avais animé 22 émissions de radio de 2h chacune sur une radio web.
Parlez-nous sur vos débuts dans la poésie, et ce qui vous a suscité justement d'investir dans ce beau monde ?
Tout a commencé au berceau je pense car ma mère qui aime toujours chanter, me border avec des acewwiq (icewiqen au pluriel), et conter aussi a sûrement eu de l’influence sur moi. Ajouter à cela l’hérédité, vu que mon grand père maternel était poète donc via les genèses ; il m’a transmis le don.
La radio chaine 2 est pour beaucoup aussi vu que je l’écoutais sans cesse depuis que j’étais enfant au point d’apprendre des centaines de chansons, des poèmes, des contes sur les ondes de la radio kabyle. En entrant au lycée, j’ai trouvé une bande de copains qui rimaient aussi et qui chantaient alors je me suis retrouvé dans cette ambiance et c’est dans le lycée El Illouli de Larbaa Nath Iraten que j’ai composé mon premier poème et d’autres ont suivi et ça a fait un long chapelet.
J’avais lu plein de poésie et surtout en ce temps, j’ai lu et écouté si Mohand ou Mhand, Cheikh Mohand ou Lhocine comme j’écoutais beaucoup le grand dramaturge Mohia, Ait Menguellet , Slimane Azem, Cherif Kheddam, Ben Mohammed, Mohammed Benhanafi qui sont une vraie école pour moi.
Quels sont les thèmes traités dans votre nouvelle œuvre de poésie ?
J’ai touché un peu à tout : l’amour (le marécage de l’amour, l’amour est comme une montagne, cœur de glace, le virage de ma vie), l’espoir se met à geindre, les expériences, je vis là où…, il m’échappa une parole, j’ai cru, le destin, faisant le compte, l’information, le bonheur, l’élément qu’on méprise la dégradation de l’environnement, l’invasion culturelle et, enfin 44 sujets chacun son importance et son poids.
Quelles sont vos publications qui sont officiellement disponibles sur le marché ?
De mes 09 livres édités, il reste uniquement le recueil Tazlagt N Tikta ici en Algérie. Par contre en France, il n y’a que deux de disponible et qui sont «contusions» et "La toupie et l’échelle" chez les éditions Edilivre en format papier et électronique. Vu la rupture de mon stock je dois les rééditer d’ici le mois d’octobre pour satisfaire la demande de mes lecteurs et fans. Il y’a des livres qui sont absent des étales depuis 2006 et 2007.
La poésie connaît un net recul et elle ne trouve guère d’engouement chez les lecteurs, qu’en pensez-vous? Et qu’elle signifie justement la poésie pour vous ?
Mon expérience sur le terrain me prouve vraiment le contraire surtout que j’ai beaucoup voyagé avec mon œuvre un peu partout en Algérie. Surtout lors des ventes dédicaces et salons du livres et je suis vraiment satisfait. Le problème se pose autrement, il y a une défaillance au niveau de nos libraires éditeurs, distributeurs et la politique du livre en Algérie ainsi que le côté information et médias qui fait vraiment défaut. Le lecteur est là, il a toujours soif de lire et j’ai remarqué que même la jeune génération s’y intéresse. Moi qui ai déjà édité en trois langues : kabyle, français et anglais j’ai bien noté que le lecteur algérien touche à tout.
Quel ordre de problèmes que vous et les artistes en général rencontrez dans la vie de tous les jours, et en particulier en édition ?
Les problèmes sont multiples et de tout genre et c’est ce qui décourage nos auteurs. A commencer par la politique du livre, les éditeurs, les libraires ainsi que les distributeurs. L’auteur qui tient à éditer doit bien remplacer tous ceux-ci pour arriver, ce qui est presque impossible. Il y a un manque de sérieux à tous les niveaux de la chaîne du livre. Ajouter à tout cela le problème de l’information et de la médiatisation qui persiste.
Imaginez même les libraires chez qui on dépose nos livres quand ils viennent à fermer ou à changer d’activité ou vendre leur commerce, ils ne nous contactent même pas pourtant on leur laisse notre numéro de contact. Il n’y a pas un auteur qui n'a pas été victime de ça au moins par 4 ou 5 libraires voir même 10 ce qui engendre une perte sèche.
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