Il y a quelques années déjà le printemps arabe, d’un monde qu’on croyait à jamais enseveli.
J’y avais encore pensé hier, cela m’était venu en tête :
Je m’en souviens, encore, écarquillant les yeux, avec cette peine à y croire. Que juste, hier l’inimaginable survint dans le Monde arabe, tenu longtemps en laisse.
Oh ! Mon dieu quel tonnerre !
De Tunis jusqu’au Caire
Les Révoltés
Refusaient de se taire…
Et Quel magnifique spectacle
S’ils n’étaient pas tombés
Par Millions
Contre les bastions Des
Funestes dictateurs
Qui avaient devant nos faces
Erigé Les fers
De nos vastes prisons
Et quelle horreur D’avoir
Tant de temps subi tous ces cons !
Pour nous soumettre
Ils nous avaient tant bernés
Et je m’éveille en colère
D’avoir été tant trompé
Amokrane Nourdine
De Boghni le 7 juin 2013
J’y avais encore pensé hier, cela m’était venu en tête :
Je m’en souviens, encore, écarquillant les yeux, avec cette peine à y croire. Que juste, hier l’inimaginable survint dans le Monde arabe, tenu longtemps en laisse.
Oh ! Mon dieu quel tonnerre !
De Tunis jusqu’au Caire
Les Révoltés
Refusaient de se taire…
Et Quel magnifique spectacle
S’ils n’étaient pas tombés
Par Millions
Contre les bastions Des
Funestes dictateurs
Qui avaient devant nos faces
Erigé Les fers
De nos vastes prisons
Et quelle horreur D’avoir
Tant de temps subi tous ces cons !
Pour nous soumettre
Ils nous avaient tant bernés
Et je m’éveille en colère
D’avoir été tant trompé
Amokrane Nourdine
De Boghni le 7 juin 2013