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Bonsoir, une bonne nouvelle pour les artistes algériens et la propriété intellectuel.
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Rotana s’implante en Algérie, et les artistes algériens se réjouissent de cet accord, une aubaine pour promouvoir notre culture musicale hors de nos frontières.
Lors d’une conférence de presse, lundi, à l’hôtel Sofitel, Ouârab Mehiedine, directeur de la société Cadic, leader dans la diffusion musicale en Algérie, a annoncé l’accord de partenariat signé entre sa société et la société Rotana, un géant arabe dans la production et la diffusion musicales - et par extension filmique.
« A travers cet accord, dira le directeur de Cadic, nous essayons de profiter de l’apport de Rotana pour son envergure médiatique. Elle dispose des moyens qui nous permettront - puisqu’ils seront mis à notre disposition - d’avoir un écho au Moyen-Orient. » Et d’ajouter : « C’est aussi pour avoir une situation privilégiée dans le paysage médiatique et audiovisuel arabe. Ainsi, la culture musicale algérienne dans sa diversité et sa richesse y sera mise en exergue. »
Ainsi et en vertu de cet accord, Cadic devient le représentant exclusif de Rotana en Algérie : « Toute la production de Rotana, que ce soient les chansons, les spectacles ou les films, passera par Cadic pour être diffusée en Algérie », explique-t-il.
Tarek Shatran, directeur de Rotana en Arabie saoudite, dira, pour sa part, que « le choix de Cadic s’est fait à la suite d’une étude du marché algérien, et que Cadic s’est révélé la mieux placée sur le marché ».
Il dira ensuite que « Rotana ne se limite pas à promouvoir des artistes algériens à travers des genres musicaux spécifiques, comme le raï, mais tous les styles », puisque l’Algérie représente un creuset musical des plus riches et variés dans le monde arabe, tout en se désolant que ce domaine n’est pas exploité et connu du public arabe. Pour les artistes algériens, à l’exemple de Zakia Mohamed, cet accord est une aubaine pour la culture musicale en Algérie, car cela permettra une meilleure production conformément aux normes internationales. L’aspect qualité désormais entrera en jeu.
Il est à souligner que Rotana est une grand société spécialisée dans la production musicale et possède les droits exclusifs pour l’enregistrement et la diffusion des œuvres de plus d’une centaine de chanteurs arabes, notamment les vedettes du Moyen-Orient.
Le holding s’est développé ces dernières années d’une manière fulgurante par le biais d’un foisonnement de chaînes satellitaires, dont Rotana Clip, Rotana Tarab, Rotana Khalidjia, Rotana Cinéma, Rotana Zaman, et enfin, Rotana Islamiya.
Y. I.
13 septembre 2006. Infosoir
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Rotana s’implante en Algérie, et les artistes algériens se réjouissent de cet accord, une aubaine pour promouvoir notre culture musicale hors de nos frontières.
Lors d’une conférence de presse, lundi, à l’hôtel Sofitel, Ouârab Mehiedine, directeur de la société Cadic, leader dans la diffusion musicale en Algérie, a annoncé l’accord de partenariat signé entre sa société et la société Rotana, un géant arabe dans la production et la diffusion musicales - et par extension filmique.
« A travers cet accord, dira le directeur de Cadic, nous essayons de profiter de l’apport de Rotana pour son envergure médiatique. Elle dispose des moyens qui nous permettront - puisqu’ils seront mis à notre disposition - d’avoir un écho au Moyen-Orient. » Et d’ajouter : « C’est aussi pour avoir une situation privilégiée dans le paysage médiatique et audiovisuel arabe. Ainsi, la culture musicale algérienne dans sa diversité et sa richesse y sera mise en exergue. »
Ainsi et en vertu de cet accord, Cadic devient le représentant exclusif de Rotana en Algérie : « Toute la production de Rotana, que ce soient les chansons, les spectacles ou les films, passera par Cadic pour être diffusée en Algérie », explique-t-il.
Tarek Shatran, directeur de Rotana en Arabie saoudite, dira, pour sa part, que « le choix de Cadic s’est fait à la suite d’une étude du marché algérien, et que Cadic s’est révélé la mieux placée sur le marché ».
Il dira ensuite que « Rotana ne se limite pas à promouvoir des artistes algériens à travers des genres musicaux spécifiques, comme le raï, mais tous les styles », puisque l’Algérie représente un creuset musical des plus riches et variés dans le monde arabe, tout en se désolant que ce domaine n’est pas exploité et connu du public arabe. Pour les artistes algériens, à l’exemple de Zakia Mohamed, cet accord est une aubaine pour la culture musicale en Algérie, car cela permettra une meilleure production conformément aux normes internationales. L’aspect qualité désormais entrera en jeu.
Il est à souligner que Rotana est une grand société spécialisée dans la production musicale et possède les droits exclusifs pour l’enregistrement et la diffusion des œuvres de plus d’une centaine de chanteurs arabes, notamment les vedettes du Moyen-Orient.
Le holding s’est développé ces dernières années d’une manière fulgurante par le biais d’un foisonnement de chaînes satellitaires, dont Rotana Clip, Rotana Tarab, Rotana Khalidjia, Rotana Cinéma, Rotana Zaman, et enfin, Rotana Islamiya.
Y. I.
13 septembre 2006. Infosoir
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