Tweet
BFM (la chaine info du groupe france television) a, lors du flash de 17h diffusé un reportage sur les dernières remontrances d'Amnesty International envers Hizbollah.Elle l'accuse de crime de guerre le mettant au même degré que les crimes commis par Israel au liban.
C'est plus amnesty ........... c'est Amnesie International.
Je l'ai dit : Pas crédibles.
---------------------------------------------------------------------------
Amnesty accuse le Hezbollah de crimes de guerre
LONDRES (AP) - Le Hezbollah a lui aussi violé le droit international humanitaire en tirant des milliers de roquettes sur Israël qui ont tué au moins 39 civils dans le nord du pays pendant la récente guerre du Liban, accuse Amnesty International dans un rapport publié jeudi.
L'organisation de défense des droits de l'homme réclame donc une enquête de l'ONU sur les éventuels crimes de guerre commis par les deux parties pendant ce conflit, tout en axant ce rapport-ci sur les agissements du parti de Dieu libanais, après avoir dénoncé le recours excessif à la force par Israël.
En représailles, le Hezbollah a tiré quelque 4.000 roquettes en 34 jours de conflit, notamment sur les zones urbaines, comme à Haïfa, violant ainsi les Conventions de Genève sur le droit de la guerre, qui exigent de faire une distinction entre cibles civiles et militaires, selon Amnesty.
"Prendre des civils pour cible est un crime de guerre. Il n'y a pas de zone grise" à ce sujet, a déclaré Larry Cox, directeur exécutif d'Amnesty pour les Etats-Unis. Et ce bien que la milice du Hezbollah ne soit pas l'armée d'un quelconque Etat.
En outre, ces roquettes Katioucha, peu précises, étaient chargées de milliers de billes de métal s'éparpillant sur un vaste périmètre, susceptibles ainsi de maximiser les dégâts et les victimes, ajoute le rapport. Amnesty International a reproché parallèlement à Israël l'utilisation de bombes à sous-munitions, dont bon nombre n'ont pas explosé à l'impact et représentent encore un danger pour les populations.
C'est la première fois qu'Amnesty International condamne le Hezbollah en termes aussi vifs depuis le conflit au Liban, du 12 juillet au 14 août. L'ONG avait auparavant accusé Israël de violation du droit international en menant des attaques disproportionnées et indiscriminées sur des cibles civiles au Liban. Elle avait aussi exhorté la milice chiite à libérer les soldats israéliens dont l'enlèvement le 12 juillet a déclenché le même jour la riposte de l'Etat hébreu, et à s'abstenir de viser les civils. Plus de 850 Libanais, des civils en majorité, ont été tués par les bombardements israéliens.
Réagissant au rapport sur le Hezbollah, le porte-parole de la diplomatie israélienne Mark Regev a déclaré n'avoir aucun doute sur la volonté préméditée de la milice chiite pro-iranienne de tuer le maximum de civils israéliens. "Il est important de se souvenir que les chefs du Hezbollah ont parlé à maintes reprises de leur désir de détruire l'Etat d'Israël. Nasrallah a utilisé le mot 'oblitérer', et je crois qu'appeler à cette sorte de génocide est problématique et doit être également considéré comme une violation fondamentale des normes internationales".
Selon Nicole Choueiry, sa porte-parole en Grande-Bretagne, Amnesty va également publier des rapports examinant si le Hezbollah a contribué à la mort de civils au Liban, en se cachant délibérement au sein de la population. Israël a accusé le parti de Dieu de se servir des civils libanais comme 'boucliers humains', notamment en installant ses lanceurs de roquettes dans des zones très peuplées ou en s'opposant au départ des populations.
Le Hezbollah a rejeté les conclusions du rapport d'Amnesty International. "Nous ne démentons pas avoir bombardé les villes israéliennes, colonies et infrastructures", a commenté Hassan Fadlallah, député de la milice chiite. Mais, a-t-il souligné, "il s'agissait d'une réaction naturelle. Quand un Etat est envahi, il doit se défendre".
C'est l'Etat hébreu, a-t-il ajouté, qui a entamé les hostilités. "Comment pouvions nous faire face à l'agression israélienne? Avec des roses?". Le Hezbollah "a dit que le bombardement de Haïfa est intervenu en réponse au bombardement de Dahiyeh", dans la banlieue sud de Beyrouth, selon le député.
Haïfa, troisième ville d'Israël dans le nord du pays, était une des principales cibles du Hezbollah pendant les combats, tandis que l'aviation israélienne a bombardé à plusieurs reprises Dahiyeh, où se trouvaient les locaux et résidences du chef de la milice pro-iranienne, Cheikh Hassan Nasrallah, qui n'a pas été atteint. AP
C'est plus amnesty ........... c'est Amnesie International.
Je l'ai dit : Pas crédibles.
---------------------------------------------------------------------------
Amnesty accuse le Hezbollah de crimes de guerre
LONDRES (AP) - Le Hezbollah a lui aussi violé le droit international humanitaire en tirant des milliers de roquettes sur Israël qui ont tué au moins 39 civils dans le nord du pays pendant la récente guerre du Liban, accuse Amnesty International dans un rapport publié jeudi.
L'organisation de défense des droits de l'homme réclame donc une enquête de l'ONU sur les éventuels crimes de guerre commis par les deux parties pendant ce conflit, tout en axant ce rapport-ci sur les agissements du parti de Dieu libanais, après avoir dénoncé le recours excessif à la force par Israël.
En représailles, le Hezbollah a tiré quelque 4.000 roquettes en 34 jours de conflit, notamment sur les zones urbaines, comme à Haïfa, violant ainsi les Conventions de Genève sur le droit de la guerre, qui exigent de faire une distinction entre cibles civiles et militaires, selon Amnesty.
"Prendre des civils pour cible est un crime de guerre. Il n'y a pas de zone grise" à ce sujet, a déclaré Larry Cox, directeur exécutif d'Amnesty pour les Etats-Unis. Et ce bien que la milice du Hezbollah ne soit pas l'armée d'un quelconque Etat.
En outre, ces roquettes Katioucha, peu précises, étaient chargées de milliers de billes de métal s'éparpillant sur un vaste périmètre, susceptibles ainsi de maximiser les dégâts et les victimes, ajoute le rapport. Amnesty International a reproché parallèlement à Israël l'utilisation de bombes à sous-munitions, dont bon nombre n'ont pas explosé à l'impact et représentent encore un danger pour les populations.
C'est la première fois qu'Amnesty International condamne le Hezbollah en termes aussi vifs depuis le conflit au Liban, du 12 juillet au 14 août. L'ONG avait auparavant accusé Israël de violation du droit international en menant des attaques disproportionnées et indiscriminées sur des cibles civiles au Liban. Elle avait aussi exhorté la milice chiite à libérer les soldats israéliens dont l'enlèvement le 12 juillet a déclenché le même jour la riposte de l'Etat hébreu, et à s'abstenir de viser les civils. Plus de 850 Libanais, des civils en majorité, ont été tués par les bombardements israéliens.
Réagissant au rapport sur le Hezbollah, le porte-parole de la diplomatie israélienne Mark Regev a déclaré n'avoir aucun doute sur la volonté préméditée de la milice chiite pro-iranienne de tuer le maximum de civils israéliens. "Il est important de se souvenir que les chefs du Hezbollah ont parlé à maintes reprises de leur désir de détruire l'Etat d'Israël. Nasrallah a utilisé le mot 'oblitérer', et je crois qu'appeler à cette sorte de génocide est problématique et doit être également considéré comme une violation fondamentale des normes internationales".
Selon Nicole Choueiry, sa porte-parole en Grande-Bretagne, Amnesty va également publier des rapports examinant si le Hezbollah a contribué à la mort de civils au Liban, en se cachant délibérement au sein de la population. Israël a accusé le parti de Dieu de se servir des civils libanais comme 'boucliers humains', notamment en installant ses lanceurs de roquettes dans des zones très peuplées ou en s'opposant au départ des populations.
Le Hezbollah a rejeté les conclusions du rapport d'Amnesty International. "Nous ne démentons pas avoir bombardé les villes israéliennes, colonies et infrastructures", a commenté Hassan Fadlallah, député de la milice chiite. Mais, a-t-il souligné, "il s'agissait d'une réaction naturelle. Quand un Etat est envahi, il doit se défendre".
C'est l'Etat hébreu, a-t-il ajouté, qui a entamé les hostilités. "Comment pouvions nous faire face à l'agression israélienne? Avec des roses?". Le Hezbollah "a dit que le bombardement de Haïfa est intervenu en réponse au bombardement de Dahiyeh", dans la banlieue sud de Beyrouth, selon le député.
Haïfa, troisième ville d'Israël dans le nord du pays, était une des principales cibles du Hezbollah pendant les combats, tandis que l'aviation israélienne a bombardé à plusieurs reprises Dahiyeh, où se trouvaient les locaux et résidences du chef de la milice pro-iranienne, Cheikh Hassan Nasrallah, qui n'a pas été atteint. AP
Commentaire