Ces jours qui s'effritent
De ma vie calcaire
Réveillent se fracassant
Le silence de mes nuits lointaines.
Dure traversée!
Amère joie
D'un présent passé
Au tâtonnement
De ma pensée future.
Pause éphémère!
Je fouille de me yeux
Le royaume ambigu
De ma destinée
Où des formes nouvelles
M'attendent dans l'effroi.
Éternel retour!
Que la voix du hasard
Dise à l'aède
De taire ses mots et ses maux
Que ces fleurs que le vent dorlote,
Plient pour pouvoir renaître.
De ma vie calcaire
Réveillent se fracassant
Le silence de mes nuits lointaines.
Dure traversée!
Amère joie
D'un présent passé
Au tâtonnement
De ma pensée future.
Pause éphémère!
Je fouille de me yeux
Le royaume ambigu
De ma destinée
Où des formes nouvelles
M'attendent dans l'effroi.
Éternel retour!
Que la voix du hasard
Dise à l'aède
De taire ses mots et ses maux
Que ces fleurs que le vent dorlote,
Plient pour pouvoir renaître.
OUAHMED Salah