Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Ministre de l’Energie et des Mines à Béchar : les minerais et les hydrocarbures pour développer la région

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Ministre de l’Energie et des Mines à Béchar : les minerais et les hydrocarbures pour développer la région

    Ministre de l’Energie et des Mines à Béchar : les minerais et les hydrocarbures pour développer la région

    le 24.09.13 | 10h00


    La wilaya de Béchar pourrait connaître une impulsion de son développement si les perspectives dans le domaine de l’énergie et des mines se concrétisent.


    La visite, dimanche, du ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, dans la wilaya a permis d’avoir une idée des potentialités de la région aussi bien dans le secteur des mines que dans celui des hydrocarbures. Le potentiel en charbon vient en premier lieu vu les importantes réserves en place qui ont déjà été exploitées dès 1918. Une exploitation qui s’est arrêtée en 1975. Selon les explications des responsables, c’est en 1907 que fut signalée la présence de lits de houille à Hassi Retma, sur la route de Abadla, et c’est en 1917 qu’a commencé à Kenadsa l’exploitation à ciel ouvert du charbon pour alimenter les chemins de fer à partir de 1918.
    Les travaux d’exploration et de prospection ont été arrêtés en 1965 puis repris en 1967 par la Sonarem. Les études ont montré qu’il y a eu une exploitation intensive durant la période 1942-1960.

    L’ex-Sonarem avait réalisé, à partir de 1967, des travaux d’évaluation et d’expertise sur Béchar, Reggane, Timimoun et Tindouf. Sur le bassin de Béchar, il s’avère que les réserves encore en place sont importantes sur les trois sous-bassins de Mezarif, Kenadsa et Abadla. Le sous-bassin de Mezarif recèlerait 142 millions de tonnes de charbon récupérables, celui de Kenadsa environ 12 millions de tonnes et Abadla 109 millions de tonnes. C’est pour mettre en valeur ce potentiel que les pouvoirs publics envisagent de relancer l’exploitation des réserves de charbon pour la production de l’électricité.

    Pour se faire une idée des possibilités, il faut savoir qu’avec 20 millions de tonnes de charbon, il est possible, selon Sonelgaz, de faire fonctionner une centrale électrique d’une capacité de 300 à 400 MW durant 30 années. Des études sont en cours pour cela et le ministre a annoncé l’objectif «d’avoir une centrale électrique qui fonctionnerait au charbon et permettrait de créer des emplois locaux et d’exploiter cette ressource naturelle».

    Le charbon n’est pas la seule richesse minière dont dispose Béchar. La région est très riche en minerais, cuivre, or, baryte, palladium...
    A ce propos, le ministre a reconnu des retards dans l’exploration minière dans cette région en annonçant sa relance et des études pour examiner les opportunités d’exploitation des gisements existants. Sur un autre plan, l’exploitation des gisements de fer de Gara Djebilet, dans la wilaya de Tindouf, pourrait transformer la région de Béchar en véritable pôle minier dans le pays, vu que la wilaya est limitrophe de la wilaya de Tindouf et que le fer produit pourrait transiter par Béchar.

    Le secteur des hydrocarbures est présent à Béchar puisque Sonatrach a entamé depuis plusieurs années des travaux d’exploration. Ces travaux ont été sanctionnés par une découverte de gaz, selon un cadre de la compagnie. Béchar est considérée comme une région sous-explorée par Sonatrach puisque seulement 9 forages ont été effectués de 1950 à 2009. Depuis 2009, un travail intensif a été lancé par la Sonatrach avec 19 forages dont 9 effectués récemment.

    Des perspectives intéressantes s’offrent au secteur des hydrocarbures et la wilaya pourrait être riche en hydrocarbures. La découverte de Tamzaya, réalisée en 2011, a déjà mis en évidence un potentiel de 25 milliards de mètres cubes sur un potentiel de 150 milliards de mètres cubes sur Béchar, selon un cadre de Sonatrach. Des travaux de sismique ont été développés ces cinq dernières années dans l’objectif d’augmenter les réserves mises en évidence. Une découverte d’huile a aussi été faite sur un tight-réservoir. Des travaux de forage sont programmés à court terme. Le développement du secteur des hydrocarbures, en complément de celui des mines, constituerait un atout important pour enclencher une dynamique de développement industriel pour toute la région.

    El Watan

    Liès Sahar
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

  • #2
    Une exploitation qui s’est arrêtée en 1975.
    Archi- faux, elle s'est arrêtée en 1965 aprés le départ des H.S.O ( Houilléres du Sud Oranais), filiale des Houilléres du Nord Pas de Calais .

    Ceci dit , bonjour la polution et la multipl_ication de la silicose, qui a déja causé tant de dégat .
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

    Commentaire


    • #3
      Pfff.

      N'importe quoi.
      Franchement c'est n'importe quoi. Il y a de l'argent pour faire de l'électricité propre avec des éoliennes et exploiter l'énergie solaire. Mais non, on choisit le charbon.

      Ça vaut zéro, zéro pointé. Celui qui fait ce projet n'a qu'à envoyer ces enfants travailler à la mine et n'a qu'à habiter Béchar pour bien respirer la pollution et tomber malade.

      Commentaire


      • #4
        tu parles pour la partie charbon? Quant est il pour le reste
        Je parle en premier lieu de la santé , la notre qui vivons sur place .

        Je parle de la maladie qui a décimé des centaines de mineurs , voire des milliers( aucun chiffre n'est donné).

        Quant au reste , cela reste à voir .
        " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

        Commentaire


        • #5
          Tu fais un projet au détriment de la santé.

          A quoi ça sert ?

          Tu vas gagner de l'argent (et des cacahuètes) pour payer l'hôpital.

          Le gaz oui, le charbon à la poubelle.
          Dernière modification par Louny, 24 septembre 2013, 14h17.

          Commentaire


          • #6
            Il y a de la marge dans l'écosystème de cette région avant que le charbon devienne nocif pour l'environnement. Quant à l'exploitation de la mine, elle pourra procurer de l'emploi pour la région, et une technicité pour l'exploitation des autres minerais...
            Othmane BENZAGHOU

            Commentaire


            • #7
              Franchement, quand tu vois que tu peux faire une usine de panneaux photo-voltaïques avec des vrais emplois qualifiés et durables, proposer aux gens d'aller à la mine c'est du n'importe quoi.

              Moi, je dis à ces gens n'y allez pas. Si personne ne va travailler à la mine, personne n'ira enrichir ceux qui ont proposé ce projet sans penser aux habitants de la région. Ce travail c'est de la daube.

              Commentaire


              • #8
                @Louny

                Il y a des sujets qui requiert une certaine connaissance économique et technique. Une usine de panneaux photo-voltaïque au fin fond du désert n'a de sens que si elle pouvait couvrir les besoins de ces régions. Or on ne construit pas une usine de 300MW/an dans un endroit aussi isolé pour couvrir une demande d'investissement sur 10 ou 15 ans de cette capacité!!!

                Si les habitants de ces régions ne veulent pas exploiter leurs richesse minérales, ce sera des ouvriers venant d'ailleurs qui le feront à leur place, et je crains qu'ils viennent du fin fond de l'Afrique...
                Othmane BENZAGHOU

                Commentaire


                • #9
                  Il y a des sujets qui requiert une certaine connaissance économique et technique. Une usine de panneaux photo-voltaïque au fin fond du désert n'a de sens que si elle pouvait couvrir les besoins de ces régions. Or on ne construit pas une usine de 300MW/an dans un endroit aussi isolé pour couvrir une demande d'investissement sur 10 ou 15 ans de cette capacité!!!
                  On a une usine photo-voltaïque à Alger et pourquoi pas dans le sud ?
                  En plus, les gens qui vivent dans des endroits où il y a beaucoup de soleil ont envie de travailler dans ce domaine car ça leur permet non seulement de faire un travail utile et valorisant mais aussi d'améliorer la vie directement. Ils seront fiers de mettre en place des panneaux fabriqués par eux-mêmes. Ça va créer une émulation.

                  Normalement, on doit chercher à être leader mondial dans ce domaine car c'est notre domaine. Personne ne va travailler à notre place. Les Japonais sont des leaders dans le sismique car ils ont des tremblements de terre tout le temps.
                  Dernière modification par Louny, 24 septembre 2013, 15h08.

                  Commentaire


                  • #10
                    La proximité des universités est importante dans ce genre de technologie, et une chaîne logistique peut constituer un plus. L'usine de Blida, Boufarik, sera d'une capacité de 116MW/an.
                    Othmane BENZAGHOU

                    Commentaire


                    • #11
                      Il y a de la marge dans l'écosystème de cette région avant que le charbon devienne nocif pour l'environnement. Quant à l'exploitation de la mine, elle pourra procurer de l'emploi pour la région, et une technicité pour l'exploitation des autres minerais...
                      Viens habiter à Kénadza ou dans les environs de mines de charbon, tu parleras moins de " marge" d'écosystéme.

                      Avec les vents de sable, la fumée du souffre dans les remblais qui s'enflamme dés qu'il fait chaud .

                      Quand on ne connait pas, il est normal que l'on enjolive , que l'on philosophe.
                      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

                      Commentaire


                      • #12
                        En effet, il faut mieux laisser au sous sol les richesses de cette région, et dans la pauvreté ses habitants. A la rigueur, je demanderais aux habitants ce qu'ils veulent, mais certainement pas à des expats comme nous, loin de toute ces réalités...
                        Othmane BENZAGHOU

                        Commentaire


                        • #13
                          Hada 3jeb ce ministre le charbon de kénadsa rien que ça
                          As t-il découvert une nouvelle méthode moins esclavagiste pour exploiter des veine de 60cm au mieux dans lesquelles un seul bonhomme peut tenir et lorsqu'il sort tout noir et arrive tout noir à la maison les poumons plein de poussières et ne peut plus vivre au-delà de 40 ans le pauvre ayant commencé à 16 ans c'est ça qu'il est venu annoncer à Béchar ?

                          Que sait-il des affaissement de terrain et de l'eau qui a rempli les galeries encore existante s ? si il sait qu'il y de l'eau

                          Je pense qu'il veut aller chercher plutôt l'eau saumâtre non pas pour recoudre le manque d'eau mais probablement pour offrir une solution à la France et aux autre pays de venir exploiter le gaz de schiste c'est mon avis

                          Vous savez pourquoi il y beaucoup d'intellectuels dans cette région et bien parce que les maman n'avaient surtout pas envies que leurs enfants descendent dans ces mines quasi-impossibles à exploiter !

                          Il faut qu'il aille jouer ailleurs aucune personne n'ira dans la mine quel cadeau veut il faire pour les jeunes de cette région.
                          mon père était mineur dans cette mine et est mort à 44 ans !

                          Il sont devenus fous ces ignares ils veulent offrir la santé des algériens aux étrangers remarque c'est plus rentable pour eux que de les voir mourir dans des embarcations de Harragas car là il ne font le bonheur que des poissons de la méditerranée ...
                          qu'il aille offrir les jeunes de son douar s'il veut

                          Il y a mille choses à développer au Sahara qui sont mille fois plus enrichissantes au propre et au figuré

                          Et lui le goujat de service vient proposer de redescendre dans la mine
                          il va me trouver lui !
                          Dernière modification par Aloha, 24 septembre 2013, 19h01.

                          Commentaire


                          • #14
                            comment faire pour mettre un document en lien ?
                            Ce ministre a sorti un dossier français qui date de 1962 walla balk des personnes lui ont vendu une étude qui date de cette époque par les français
                            Hadou boujadyines, ils gagnent des énormes sommes d'argent pour pendre des propositions à dormir debout et en se moquant des personnes du Sahara
                            Dans le temps il y avait de bons Syndicalistes (Ben Ziad ) et autres je ne sais pas s'ils sont encore vivants wallah s'ils le sont ils vont lui expliquer de retourner dans sa dachra pour s'occuper de son douar !

                            Comment mettre un document pdf en lien ? pour comprendre que les gars ne font rien dans ce ministère !
                            et il y a eu une parenthèse de 50 pour sortir une étude qui date de 1962
                            Rahoum faqou

                            Commentaire


                            • #15
                              Faut pas travailler dans ces mines. Il faut manifester pour dire non.
                              Comme en France, ils ont manifesté pour dire non à la construction d'un aéroport.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X