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Renault Algérie : la Symbol algérienne en novembre 2014
La Symbol fabriquée en Algérie «sera de la même qualité, voire meilleure» que celles fabriquées un peu partout dans le monde, a assuré Bernard Sonilhac, PDG de la société mixte algéro-française Renault Algérie Production (RAP).
Lors d’un point de presse, organisé hier à Oran, à l’occasion du démarrage officiel des travaux de réalisation de l’usine algérienne de Renault à Oued Tlélat, à Oran, M. Sonilhac a indiqué que ce véhicule sortira en novembre 2014 et sera vendue au même prix que celle importée de Roumanie. «Si nous allons la vendre à un prix inférieur les gens vont penser que la voiture est de moindre qualité», a-t-il expliqué. Il a rappelé la genèse de ce projet inscrit au titre du partenariat algéro-français dont l’objectif final est la mise en place d’une filière automobile en Algérie et un taux d’intégration nationale de l’ordre de 42%. Il a indiqué également que le projet sera conduit en deux phases.
La première porte sur la réalisation d’une usine de montage d’une capacité de production de 25 000 voitures/an avec 350 emplois directs. Pour cette phase, il fera appel à des sous-traitants nationaux pour contribuer à la création d’une filière automobile locale.
Pour sa part, le PDG de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), Tazerouti Hamoud, a fait savoir qu’une vingtaine de sous-traitants locaux ont été sélectionnés dans le cadre de ce même projet, et font actuellement l’objet d’un audit pour évaluer leurs capacités de production et leur degré de maîtrise technique. Il a souligné que la prestation de services de ces sous-traitants portera essentiellement sur la vitrerie, les plastiques et les câbles électriques.
Ce n’est qu’à partir de la deuxième phase du projet, prévue en 2019, que la SNVI pourrait assurer des prestations de services et permettre une intégration nationale plus importante. «La deuxième phase prévoit la réalisation de travaux de tôlerie et de peinture au niveau de l’usine de Oued Tlélat. La SNVI, forte de son expérience, pourra intervenir dans l’emboutissage des tôles et de la peinture», a expliqué le même responsable.
El Watan
Lors d’un point de presse, organisé hier à Oran, à l’occasion du démarrage officiel des travaux de réalisation de l’usine algérienne de Renault à Oued Tlélat, à Oran, M. Sonilhac a indiqué que ce véhicule sortira en novembre 2014 et sera vendue au même prix que celle importée de Roumanie. «Si nous allons la vendre à un prix inférieur les gens vont penser que la voiture est de moindre qualité», a-t-il expliqué. Il a rappelé la genèse de ce projet inscrit au titre du partenariat algéro-français dont l’objectif final est la mise en place d’une filière automobile en Algérie et un taux d’intégration nationale de l’ordre de 42%. Il a indiqué également que le projet sera conduit en deux phases.
La première porte sur la réalisation d’une usine de montage d’une capacité de production de 25 000 voitures/an avec 350 emplois directs. Pour cette phase, il fera appel à des sous-traitants nationaux pour contribuer à la création d’une filière automobile locale.
Pour sa part, le PDG de la Société nationale des véhicules industriels (SNVI), Tazerouti Hamoud, a fait savoir qu’une vingtaine de sous-traitants locaux ont été sélectionnés dans le cadre de ce même projet, et font actuellement l’objet d’un audit pour évaluer leurs capacités de production et leur degré de maîtrise technique. Il a souligné que la prestation de services de ces sous-traitants portera essentiellement sur la vitrerie, les plastiques et les câbles électriques.
Ce n’est qu’à partir de la deuxième phase du projet, prévue en 2019, que la SNVI pourrait assurer des prestations de services et permettre une intégration nationale plus importante. «La deuxième phase prévoit la réalisation de travaux de tôlerie et de peinture au niveau de l’usine de Oued Tlélat. La SNVI, forte de son expérience, pourra intervenir dans l’emboutissage des tôles et de la peinture», a expliqué le même responsable.
El Watan
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