Obama tend la main à Rohani, Hollande la serre"
"Dans sa première allocution sur la scène internationale, le président iranien s’est spectaculairement démarqué hier de son prédécesseur, Mahmoud Ahmadinejad", souligne le quotidien libanais. Le religieux Hassan Rohani, élu président en juin dernier, a assuré aux dirigeants de la planète que son pays n'était "absolument pas une menace pour le monde". Il a insisté sur le caractère pacifique du programme nucléaire iranien, affirmant que "les armes nucléaires [étaient] en contradiction avec [sa] religion".
Ce discours d'ouverture a rencontré un écho dans les propos de Barack Obama, qui a pris "note du changement de ton de son nouvel homologue, mais a réclamé 'des actes transparents et vérifiables'". La rencontre entre Obama et Rohani n'a finalement pas eu lieu. "Selon un haut responsable de la Maison-Blanche" une telle entrevue a été proposée par la présidence américaine aux Iraniens, mais ceux-ci l'ont déclinée, estimant qu’elle serait 'trop compliquée à réaliser à l’heure actuelle'". François Hollande s'est pour sa part entretenu à huis clos pendant quarante minutes avec le dirigeant iranien, "un premier contact qui en appelle d'autres", selon les propos du président français.
l'orient le jour
"Dans sa première allocution sur la scène internationale, le président iranien s’est spectaculairement démarqué hier de son prédécesseur, Mahmoud Ahmadinejad", souligne le quotidien libanais. Le religieux Hassan Rohani, élu président en juin dernier, a assuré aux dirigeants de la planète que son pays n'était "absolument pas une menace pour le monde". Il a insisté sur le caractère pacifique du programme nucléaire iranien, affirmant que "les armes nucléaires [étaient] en contradiction avec [sa] religion".
Ce discours d'ouverture a rencontré un écho dans les propos de Barack Obama, qui a pris "note du changement de ton de son nouvel homologue, mais a réclamé 'des actes transparents et vérifiables'". La rencontre entre Obama et Rohani n'a finalement pas eu lieu. "Selon un haut responsable de la Maison-Blanche" une telle entrevue a été proposée par la présidence américaine aux Iraniens, mais ceux-ci l'ont déclinée, estimant qu’elle serait 'trop compliquée à réaliser à l’heure actuelle'". François Hollande s'est pour sa part entretenu à huis clos pendant quarante minutes avec le dirigeant iranien, "un premier contact qui en appelle d'autres", selon les propos du président français.
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