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MAROC: La moitié des Marocains infectés par les maladies psychologique (Vidéo)

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  • MAROC: La moitié des Marocains infectés par les maladies psychologique (Vidéo)

    Télévision marocaine 2M

    .

  • #2
    salam

    alors la toi mr MEK
    numéro 1 des postes négative consernant le Maroc
    tu as dépasse de loin
    darbeeda sur les poste négative consernant l'Algérie
    vous gagné quoi a la fin un voyage:22:

    à Barchid il ya beaucoup de chose a voire dans cette ville
    Dernière modification par fadwasoussya, 26 septembre 2013, 20h37.

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    • #3
      La moitié des Marocains infectés par les maladies psychologique
      Et je me demandai pourquoi cet excès de culture et consommation des mauvaises herbes au royaume des mirages , qui n a de pareil nulle-part dans le monde , et voila donc la réponse , ils sont fous les marocains
      Dernière modification par ahras, 26 septembre 2013, 20h44.

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      • #4
        La moitié des Marocains infectés par les maladies psychologique

        on comprend mieux la réaction de certains sur ce forum
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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        • #5
          ahras
          Et je me demandai pourquoi cet excès de culture et consommation des mauvaises herbes au royaume des mirages , qui n a de pareil nulle-part dans le monde , et voila donc la réponse , ils sont fous les marocains

          Et ce n'est pas pour demain la guérison


          Bouya Omar, le bal des fous

          Situé dans la région de Marrakech, Bouya Omar est un marabout comme il en existe plusieurs centaines au Maroc. À une particularité près, ce saint abrite le long de l’année une activité foisonnante. Il est l’un des principaux centres de traitement de la possession au Maroc. Aller à Bouya Omar équivaut à un voyage dans le monde de l’irrationnel. C’est un petit bourg de quelques bâtiments
          d’habitations et d’une colonie de tentes, avec, au centre, le sanctuaire lui-même. Le lieu ressemble à s’y méprendre aux asiles psychiatriques de l’époque médiévale. On y croise des mourants, des bossus, des tuberculeux, des gens hagards et décharnés, certains enchaînés. Avant d’y être admis, les possédés sont priés de respecter certaines consignes dont l’arrêt du tabac, des médicaments et le rejet des talismans. Par la suite, le «possédé» passe au sanctuaire, où il doit recevoir un ensemble de rituels thérapeutiques. Au sein du saint, le malade «possédé» est abandonné à un fqih qui le met entre les mains de moul addine, sorte d’exorciste. Celui-ci l’installe sur le bord de la fenêtre. Il l’attache avec une chaîne, avant de se lancer dans des incantations et des rites ésotériques qui visent à provoquer l’esprit malfaisant. Si le malade est très agité ou violent, on lui lie les mains, et si nécessaire, les pieds afin d’empêcher l’esprit de faire le moindre mouvement et de mettre fin à sa brutalité. On lui fait ensuite accomplir trois fois le tour du tombeau avec la chaîne au cou. Selon l’importance de l’esprit, on demande un petit sacrifice (poulet) ou un grand sacrifice (bouc ou mouton). On lui fait exécuter de nouveau les trois tours du tombeau avec soit le petit sacrifice à la main, soit le grand sacrifice sur les épaules. Si l’animal émet des sons, c’est que l’esprit réagit. Les femmes, alors, poussent des cris de joies. Le fqih fait saigner l’animal et marque avec le sang les parties du corps du malade censées être les plus propices pour abriter l’esprit malfaisant.
          Le malade doit attendre trois jours avec les marques tout en subissant plusieurs purifications. Il ne peut quitter Bouya Omar sans la permission du saint qui doit se manifester pendant un rêve. En attendant, le possédé est incarcéré dans un but thérapeutique tant que les tentatives de guérison s’avèrent vaines.
          "Les petits esprits parlent des gens, les esprits moyens parlent des événements, les grands esprits parlent des idées, et les esprits supérieurs agissent en silence."

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          • #6
            Toxicomanie, Schizophrénie et suicide : la santé mentale des Algériens en danger

            Un pour cent de la population générale atteinte de schizophrénie, 40% souffrant de problèmes de santé mentale qui vont du simple trouble anxieux à la schizophrénie, en passant par les désordres bipolaires et la dépression, 15 % de la population juvénile s’adonnent à la drogue avec plus ou moins de sévérité, environ 10 000 tentatives de suicide chaque année…


            La santé mentale des Algériens n’est décidément pas au beau fixe. Et il aura fallu attendre que les indicateurs soient passés au rouge pour que le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière décide, enfin, de mettre en place une sous-direction pour la promotion de la santé mentale dans notre pays. Même si elle est jugée quelque peu tardive, l’initiative a été saluée par les professionnels de la psychiatrie. «La création récente de cette structure, qui a nécessité de profondes réflexions, va aider les praticiens et les pouvoirs publics à concentrer leurs efforts sur des problèmes de santé mentale prioritaires et à coordonner l’action des différents partenaires et intervenants», a indiqué le professeur Mohamed Boudef, président du Comité pédagogique national de psychiatrie, ajoutant : «Le défi que nous devons maintenant relever consiste à traduire cette initiative en actions concrètes, en vue d’améliorer nos performances et d’obtenir de meilleurs résultats sanitaires pour les populations qui en ont le plus besoin.»
            Cette structure est à pied d’œuvre pour la mise en place des mécanismes adaptés en vue d’une meilleure prise en charge des différents phénomènes qui rongent la santé mentale dans notre pays : la schizophrénie, le suicide et la toxicomanie. C’est surtout autour de ce dernier fléau que les efforts doivent être axés, de l’avis du chef de service psychiatrie de l’Etablissement hospitalier spécialisé (EHS) Errazi de Annaba. Car représentant des proportions inquiétantes, la toxicomanie est en passe de se transformer en véritable catastrophe sanitaire.
            Aussi, si rien n’est fait pour l’endiguer, la polytoxicomanie, notamment lorsque le consommateur absorbe à la fois alcool, kif et psychotropes, ce sont la santé publique et la sécurité du pays qui sont de fait sérieusement menacées, prévient notre interlocuteur. «La manière dont est en train d’évoluer la polytoxicomanie dans notre pays est à prendre très au sérieux. A cela s’ajoute l’apparition de drogues dures, comme la cocaïne et l’héroïne, qui sont de plus en plus fréquentes dans nos statistiques», tient à souligner le professeur Boudef.
            Une situation grave
            Deux autres facteurs peuvent, selon lui, témoigner de la gravité de la situation actuelle : «Depuis ces trois dernières années, nous avons pu constater une tendance à la féminisation de la toxicomanie. La tendance du rajeunissement des consommateurs (12 à 18 ans) se confirme aussi. Il s’agit de deux caractéristiques nouvelles de la toxicomanie dans notre pays. D’où l’urgence de mettre en place les mécanismes destinés à détecter les phénomènes émergents et à comprendre les contextes», insistera t-il.
            Pour lui, bien que les pouvoirs publics aient adopté une approche équilibrée et globale en réponse au problème de la drogue, néanmoins il reste beaucoup à faire en termes de prévention de la consommation et de traitement de la toxicomanie. Deux impératifs cruciaux pour toute politique antidrogue. Le psychiatre souligne également que l’Etat doit replacer la santé mentale et particulièrement chez les plus vulnérables, au cœur de son action. Car même si la couverture géographique est relativement homogène, elle ne permet pas, en revanche, un accès de proximité satisfaisant.
            En effet, malgré leur nombre : trois centres de cure pour toxicomanes (Blida, Oran, Constantine n’étant pas encore opérationnel) destinés à la prise en charge ambulatoire des toxicomanes, une vingtaine de centres intermédiaires de soins pour toxicomanes (CIST), et 53 autres centres en projet, les structures publiques de santé ne répondent que partiellement à la demande en soins et ne permettent pas une prise en charge hiérarchisée, déplore le fondateur du CIST de Annaba, le premier du genre en Algérie.
            «L’instabilité dans les structures de santé ne permet pas d’évaluer, à leur juste proportion, les différentes pratiques de la toxicomanie et de leur prise en charge. Il y a tellement de changement dans les instances dirigeantes que les programmes initiés dans ce sens ne sont jamais menés à leur terme», regrette notre interlocuteur. Selon lui, la volonté politique d’endiguer le phénomène existe certes, mais il reste que la prise en charge d’un toxicomane est complexe et difficile à évaluer.
            Un engagement dans la durée
            Pourquoi ? «Parce qu’elle nécessite un engagement sans limites du professionnel, une connaissance parfaite du fonctionnement psychique du toxicomane et une maîtrise des psychothérapies.» «Les stratégies de lutte antidrogue ne se limitent pas seulement à une histoire de menottes, c’est avant tout de santé qu’ il est question», rétorquera-t-il. Existe-t-il une cause majeure à la propagation de ce fléau dans notre pays ? «Outre le mal-être et la malvie, la décennie noire ne pouvait que laisser de graves séquelles dans la structuration de la société qui demeure difficilement maîtrisable, et ce, malgré les efforts déployés par l’Etat pour circonscrire le phénomène. N’oublions pas que les crimes terroristes, particulièrement sauvages, ont concerné des individus, des collectivités, des localités entières avec des conséquences immédiates et particulièrement lourdes. La barbarie et la sauvagerie de certains actes ont eu des répercussions psychiques sur les populations et sur les personnels de santé qui n’y étaient pas préparés», explique le psychiatre-expert auprès des tribunaux.
            Aussi, ajoute-t-il, l’effet de banalisation est un facteur de résistance à toutes les tentatives de sensibilisation menées par les différentes institutions de lutte. «L’absence de sérieux et de méthodes efficientes dans l’évaluation du phénomène ne peut pas aider à combattre ce fléau, et on peut considérer que la présence de la toxicomanie est un indice de dysfonctionnement profond de la société sur le plan politique, éthique et moral.» C’est pourquoi, conclura-t-il, le débat autour de la question doit être clair, engagé, transparent et courageux. Le plus grand ennemi de la lutte contre ce fléau est la démagogie
            EL watan

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            • #7
              40% souffrant de problèmes de santé mentale qui vont du simple trouble anxieux à la schizophrénie,
              Dans ces 40% , combien sont schizophrène ? même pas 0,005%
              un simple trouble , c est normal , personne n est parfait , il serait anormal de trouver quelqu'un qui n a aucun problème !

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              • #8
                environ 10 000 tentatives de suicide chaque année…
                Faut pas exagérer , elle s'est surement trompé de pays , elle voulait dire le Maroc .

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                • #9
                  conclusion a la limiere des 2 articles, 2 fou qui se chamaillent sur fa mais on doit quand meme designer qui gagne le titre du plus fou

                  Commentaire


                  • #10
                    Mais le fou pour un fou c'est pas lui !!c'est l'autre
                    !!

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                    • #11
                      arhas

                      quel moqueur tu peut etre
                      ca te fais rire c' est une maladie
                      pfffffff je comprendrais jamais des gens comme ca
                      la moquerie je sais pas si ca se soigne:22:
                      Dernière modification par fadwasoussya, 26 septembre 2013, 21h33.

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                      • #12
                        Fadwa
                        ca te fais rire
                        De voir que la moitié des Marocains sont fous , non pas du tout , et pour te consoler , heureusement que l'autre moitié ne l'est pas , et c est déjà ça

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                        • #13
                          De voir que la moitié des Marocains sont fous , non pas du tout , et pour te consoler , heureusement que l'autre moitié ne l'est pas , et c est déjà ça
                          une chance sur deux ,quoi???

                          C'est consolant!!!!!!!!!

                          Commentaire


                          • #14
                            on comprend mieux la réaction de certains sur ce forum
                            tu veux die le comportement de la moitié des marocains de FA

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                            • #15
                              une chance sur deux ,quoi???
                              En Occident les statistiques parlent d'un sur trois pour cause de manque de spiritualité.
                              Sur deux marocains, l'un est mahboul! c'est exagéré dans un pays où la religion a toute sa place ... malgré les drogues.

                              Quoique ... concernant les marocains de FA la statistique est très plausible.
                              وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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