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SALAM
Lemag : Bart De Wever, né le 21 décembre 1970 à Mortsel, est un homme politique belge néerlandophone, d’extrême droite, maire d'Anvers depuis janvier 2013, député flamand, sénateur de communauté et président du parti séparatiste flamand Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA).
Bart De Wever, a déclaré qu’il souhaiterait, s'il était ministre de la Justice, la construction d’une prison belge au Maroc pour, dixit, «y stocker les 1.200 détenus marocains en Belgique».
«Il y a près de 1.200 Marocains derrière les barreaux dans notre pays. De quoi remplir une prison entière», a-t-il affirmé dans une interview au magazine flamand "Humo".
Promoteur de la haine intercommunautaire et d’un racisme décomplexé en Belgique, Bart De Wever a indiqué que le Maroc serait, selon lui, prêt à accepter une tel entreprise, vu que cela représenterait pour le royaume une chance de création d’emplois.
«C'est de cette façon que nous pourrons les lancer. Il faut construire quelque chose qui puisse aussi profiter aux Marocains», a-t-il dit.
Le leader xénophobe qui ne veut plus être belge et appelle au séparatisme en Belgique, a regretté que sur les cinq dernières années, seuls 10 à 15 détenus ont été rapatriés pour purger leur peine dans leur pays d'origine.
LEMAG
Lemag : Bart De Wever, né le 21 décembre 1970 à Mortsel, est un homme politique belge néerlandophone, d’extrême droite, maire d'Anvers depuis janvier 2013, député flamand, sénateur de communauté et président du parti séparatiste flamand Nieuw-Vlaamse Alliantie (N-VA).
Bart De Wever, a déclaré qu’il souhaiterait, s'il était ministre de la Justice, la construction d’une prison belge au Maroc pour, dixit, «y stocker les 1.200 détenus marocains en Belgique».
«Il y a près de 1.200 Marocains derrière les barreaux dans notre pays. De quoi remplir une prison entière», a-t-il affirmé dans une interview au magazine flamand "Humo".
Promoteur de la haine intercommunautaire et d’un racisme décomplexé en Belgique, Bart De Wever a indiqué que le Maroc serait, selon lui, prêt à accepter une tel entreprise, vu que cela représenterait pour le royaume une chance de création d’emplois.
«C'est de cette façon que nous pourrons les lancer. Il faut construire quelque chose qui puisse aussi profiter aux Marocains», a-t-il dit.
Le leader xénophobe qui ne veut plus être belge et appelle au séparatisme en Belgique, a regretté que sur les cinq dernières années, seuls 10 à 15 détenus ont été rapatriés pour purger leur peine dans leur pays d'origine.
LEMAG
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