Une haut fonctionnaire du ministère de l’Agriculture, cadre au département vétérinaire, surnommée « Hajja Kenza », a été arrêtée pour prostitution.
Il lui est reproché d’être à la tête d’un énorme réseau de prostitution dans les quartiers chics de Rabat.
Hajja Kenza - elle est célibataire et âgée d’une cinquantaine d’années, est tombée dans les filets de la brigade des mœurs de la police judiciaire de Rabat qui a reçu plusieurs plaintes de ses nombreux voisins.
Nombreux voisins, car la proxénète du ministère de l’Agriculture louait « une douzaine d’appartements et des villas à Hay Ryad au profit de clients étrangers ».
La prévenue, ainsi que trois de ses clients, a été présentée jeudi au procureur du roi auprès du tribunal de première instance de Rabat, qui l’a accusée de proxénétisme et d’entretien d’un large réseau de prostitution de luxe, car elle contrôlait un nombre important de jeunes femmes qu’elle ramènait des quatre coins du Maroc pour en faire des prostituées de luxe.
Ses résidences étaient fréquentées par de riches clients arabes du Moyen-Orient et du Golfe. Elle a reconnu devant la police que chacune de ses travailleuses du sexe recevait, pour chaque passe, la somme de 4000 Dhs, et que ses clients payaient, pour les « garçonnières » qu’elle leur louait, entre 2.000 et 3.000 DH par jour – à condition bien entendu qu’ils soient fournis en prostituées.
© Jean-Patrick Grumberg
Il lui est reproché d’être à la tête d’un énorme réseau de prostitution dans les quartiers chics de Rabat.
Hajja Kenza - elle est célibataire et âgée d’une cinquantaine d’années, est tombée dans les filets de la brigade des mœurs de la police judiciaire de Rabat qui a reçu plusieurs plaintes de ses nombreux voisins.
Nombreux voisins, car la proxénète du ministère de l’Agriculture louait « une douzaine d’appartements et des villas à Hay Ryad au profit de clients étrangers ».
La prévenue, ainsi que trois de ses clients, a été présentée jeudi au procureur du roi auprès du tribunal de première instance de Rabat, qui l’a accusée de proxénétisme et d’entretien d’un large réseau de prostitution de luxe, car elle contrôlait un nombre important de jeunes femmes qu’elle ramènait des quatre coins du Maroc pour en faire des prostituées de luxe.
Ses résidences étaient fréquentées par de riches clients arabes du Moyen-Orient et du Golfe. Elle a reconnu devant la police que chacune de ses travailleuses du sexe recevait, pour chaque passe, la somme de 4000 Dhs, et que ses clients payaient, pour les « garçonnières » qu’elle leur louait, entre 2.000 et 3.000 DH par jour – à condition bien entendu qu’ils soient fournis en prostituées.
© Jean-Patrick Grumberg
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