Après s'être assis sur le protocole de Kyoto, piétiné le Tribunal Pénal International et bafoué l'ONU, les Etat-Unis pensent peut-être vivre indéfiniment dans ce monde d'auto-impunité qu'ils aiment à se construire...
Toujours prompte à donner des leçons de démocratie au monde entier, cette amérique arrogante qui est née du hold-up d'une terre et du massacre de ses habitants légitimes (les Amérindiens), voudrait imposer au monde entier sa vision du bien et du mal... avec un pantin écervelé en guise de prophète (le satané BUSH). Ils nous prennent vraiment pour des cons...
Devenons un outil pratique de Boycott des produits américains et plus largement un vecteur d'approfondissement de l'ERRORISME "made in usa".
Car en qualité de simple citoyen du monde, nous avons une arme, une seule pour lutter contre ce nouveau fanatisme religieux du "Dollard-Dieu".
Cette arme, c'est notre porte monnaie, notre pouvoir d'achat, nous pouvons choisir de ne plus enrichir les grandes firmes américaines en arrêtant simplement d'acheter leurs produits.
Nike, Reebook ou Adidas... et d'autres dans le textile, l'habillement, mais aussi dans le jouet, le tapis, la chaussure et le cuir, fonctionnent tous selon le même modèle : le système Nike.
Ce système consiste à réduire l'entreprise à un siège social organisant la sous-traitance de la fabrication. Nike n'a pas d'usines.
D'Indonésie au Pakistan, en passant par l'Inde, Sri Lanka, le Bangladesh et la Thaïlande, les représentants de ces multinationales recherchent l'entreprise, souvent artisanale ou parfois même constituée pour l'occasion, qui offrira le meilleur prix pour la fabrication d'un lot déterminé de marchandises pré-vendues sur le marché des pays riches.
A l'autre bout de la chaîne il y a les enfants, mais aussi les femmes esclaves.
Comme, par exemple, au Pakistan, où sont fabriqués à la main la plupart des ballons de football de la planète.
Des milliers d'enfants travaillent pour presque rien, les ballons étant payé l'équivalent de 3,75 F l'unité à leur patron.
Les dizaines de millions d'enfants, au travail, que ce soit en Asie, mais aussi en Amérique Latine, où le système Nike se développe, viennent de familles les plus désunies.
Si le système Nike se développe c'est grâce à une chaîne de complicité, volontaires ou non, allant du "client" jusqu'au patron esclavagiste.
Entre les deux, le sous développement , mais aussi les gouvernements qui ont leur part de responsabilité.
Toujours prompte à donner des leçons de démocratie au monde entier, cette amérique arrogante qui est née du hold-up d'une terre et du massacre de ses habitants légitimes (les Amérindiens), voudrait imposer au monde entier sa vision du bien et du mal... avec un pantin écervelé en guise de prophète (le satané BUSH). Ils nous prennent vraiment pour des cons...
Devenons un outil pratique de Boycott des produits américains et plus largement un vecteur d'approfondissement de l'ERRORISME "made in usa".
Car en qualité de simple citoyen du monde, nous avons une arme, une seule pour lutter contre ce nouveau fanatisme religieux du "Dollard-Dieu".
Cette arme, c'est notre porte monnaie, notre pouvoir d'achat, nous pouvons choisir de ne plus enrichir les grandes firmes américaines en arrêtant simplement d'acheter leurs produits.
Nike, Reebook ou Adidas... et d'autres dans le textile, l'habillement, mais aussi dans le jouet, le tapis, la chaussure et le cuir, fonctionnent tous selon le même modèle : le système Nike.
Ce système consiste à réduire l'entreprise à un siège social organisant la sous-traitance de la fabrication. Nike n'a pas d'usines.
D'Indonésie au Pakistan, en passant par l'Inde, Sri Lanka, le Bangladesh et la Thaïlande, les représentants de ces multinationales recherchent l'entreprise, souvent artisanale ou parfois même constituée pour l'occasion, qui offrira le meilleur prix pour la fabrication d'un lot déterminé de marchandises pré-vendues sur le marché des pays riches.
A l'autre bout de la chaîne il y a les enfants, mais aussi les femmes esclaves.
Comme, par exemple, au Pakistan, où sont fabriqués à la main la plupart des ballons de football de la planète.
Des milliers d'enfants travaillent pour presque rien, les ballons étant payé l'équivalent de 3,75 F l'unité à leur patron.
Les dizaines de millions d'enfants, au travail, que ce soit en Asie, mais aussi en Amérique Latine, où le système Nike se développe, viennent de familles les plus désunies.
Si le système Nike se développe c'est grâce à une chaîne de complicité, volontaires ou non, allant du "client" jusqu'au patron esclavagiste.
Entre les deux, le sous développement , mais aussi les gouvernements qui ont leur part de responsabilité.
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